2550 familles sacrifiées par Ph.HERSANT Ce site retrace le combat de la plus grande liquidation de 2011 passée sous silence par les politiques de tous bords en pleine campagne présidentielle : De "Sarkosy à Hollande - "Moi President ! en scooter" un silence assourdissant.... Ce blog était le lien sur l'ensemble de la France pour tenir informer les sacrifiés de la Presse Gratuite d'Annonces par GMH et son actionnaire principal Philippe HERSANT - 100 eme plus grosse fortune de France
mardi 6 mars 2012
La Cause du Peuple - le journal du FRAP: Les Paru Vendu manifestent à Paris
La Cause du Peuple - le journal du FRAP: Les Paru Vendu manifestent à Paris: C’est devant le siège d’Hersant, que les PARU VENDU s’étaient donné rendez-vous à 11h30, ce mardi 6 mars 2012, mais l’immeuble ...
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Anciens de ParuVendu - Groupe COMAREG filiale GHM
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mardi, mars 06, 2012
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France 3 a diffusé la manif du 6 dans le 12/13 et le 19/20
Voici le lien pour le 12/13 reportage vers 15'40
JT 12-13 Edition Nationale - pluzz.fr - voir ou revoir les programmes de france télévisions - France Télévisions
Pour le 19/20 reportage vers 11'20
JT 19-20 Edition Nationale - pluzz.fr - voir ou revoir les programmes de france télévisions - France Télévisions
JT 12-13 Edition Nationale - pluzz.fr - voir ou revoir les programmes de france télévisions - France Télévisions
Pour le 19/20 reportage vers 11'20
JT 19-20 Edition Nationale - pluzz.fr - voir ou revoir les programmes de france télévisions - France Télévisions
Mardi 06 Mars 2012 - GRANDE MANIFESTATION à PARIS
Banderole 1 ---------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- |
INFOS PRATIQUES :
11h30 devant le siège GHM - 12 rue de Presbourg (au rond point Charles de Gaulle/avenue de la Grande Armée). Métro 6 depuis Montparnasse-Bienvenue, direction Charles de Gaulle Etoile jusquà Kléber. Trajet 25 mn environ.
13h30 à 17h Place Edouard Herriot
devant l’Assemblée Nationale (métro 12 depuis Montparnasse-Bienvenue, direction Porte de la Chapelle, jusqu’à Assemblée Nationale, aller jusqu’à Place du Président Edouard Herriot. Trajet environ 15 mn).
devant l’Assemblée Nationale (métro 12 depuis Montparnasse-Bienvenue, direction Porte de la Chapelle, jusqu’à Assemblée Nationale, aller jusqu’à Place du Président Edouard Herriot. Trajet environ 15 mn).
METHODE FLASHMOB
Pour avoir encore plus de visibilité et pour marquer une fois de plus les esprits, Une flashmob est organisée :
Principe de base de cette Flashmob :
les singes du temple de Nikko.
« Je ne vois pas, je n’entends pas et je ne parle pas ».
les singes du temple de Nikko.
« Je ne vois pas, je n’entends pas et je ne parle pas ».
Vous entendrez une sirène.
A ce signal, immobilisez-vous.
Vous entendrez :
« le Groupe Hersant Média
a décidé de ne pas nous entendre ».
a décidé de ne pas nous entendre ».
A ce signal, bouchez-vous les oreilles.
Vous entendrez :
« le Groupe Hersant Média
ne parle pas des 2 500 salariés licenciés ».
ne parle pas des 2 500 salariés licenciés ».
A ce signal, muselez-vous la bouche.
Vous entendrez :
« le Groupe Hersant Média
a décidé de ne pas nous entendre ».
a décidé de ne pas nous entendre ».
A ce signal, cachez-vous les yeux.
Une seconde sirène retentira, nous pourrons alors tous retourner à une forme de mobilisation plus classique.
---------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------Nous organisons un GRAND RASSEMBLEMENT des ex-salariés ParuVendu (Comareg et Hebdoprint) le 6 mars 2012 à Paris....
Nous avons besoin d'un grand nombre de personnes ce jour là pour venir réclamer vos indemnités "supra-légales" et pour crier notre colère contre l'Etat et Hersant qui nous ont abandonnés...
Rassemblement
Place Edouard Herriot
13 heures 30 à 17 heures
avec
déplacement possible
rue de Bourgogne, rue de Grenelle, rue de Constantine.
rue de Bourgogne, rue de Grenelle, rue de Constantine.
Retour par la rue Saint-Dominique
et rue de Bourgogne (sur le trottoir)
et rue de Bourgogne (sur le trottoir)
Les participants peuvent réaliser des écriteaux originaux pour
manifester leur colère contre HERSANT voire plus....
le 6 Mars, TOUS A PARIS
pour dire NON
à ces magouilles politiques avec Hersant et défendre nos droits !!!!
à ces magouilles politiques avec Hersant et défendre nos droits !!!!
Banderole 2 |
lundi 5 mars 2012
Lundi 05 mars 2012 - Midi Libre "Hebdoprint : les licenciés vont se faire entendre à Paris " 05/03/2012, 06 h 00
Les licenciés d'Hebdoprint aux Angles poursuivent leur combat. Contre
le groupe Hersant GHM, propriétaire de la Comareg Hebdoprint et
responsable, selon eux, du "meurtre social prémédité" de 1650 employés
dans l'Hexagone et contre l'amnésie qui touche le monde politique.
Depuis
l'annonce officielle de la liquidation de leur entreprise locale, le
3 novembre 2011, les 110 employés anglois survivent entre espoirs et
désillusions. Indemnités payées avec un retard incompréhensible, projet
de société coopérative Scop avorté, ils sont tous devenus des stagiaires
en formation professionnelle de Pôle Emploi sans garantie qu'une
reconversion leur offre... un emploi.
Une situation qui s'aggrave lorsqu'un des leurs, spécialisé en
informatique, demande une formation de haut niveau refusée pour cause de
coût élevé. Les politiques de tous bords ont bien essayé de
sensibiliser les hautes sphères, avec peu de résultat, si ce n'est
l'obtention d'une formation accordée plus longue.
À ce jour,
aucun employé du site anglois n'a pu se reconvertir. Alors l'union
faisant la force, un collectif de trois associations d'anciens employés
Comareg Hebdoprint s'est constitué pour se faire entendre face au groupe
GHM et son propriétaire Philippe Hersant.
L'heure est venue
d'avoir "un point d'orgue", annonce Jean-Paul Fabre, un syndicaliste
fourbu mais combatif. Ce sera pour le 6 mars à Paris où près de 400
licenciés de toutes régions manifesteront. Une date qui correspond à la
dernière séance à l'Assemblée nationale avant les vacances. "On veut
briser l'omerta qui règne entre les médias qui parlent très peu de ce
désastre social et chez les politiques préoccupés par les élections à
venir. S'il le faut, on mettra la panique partout, quitte à faire le
tour de France", annoncent les organisateurs anglois.
Sont prévus
un rendez-vous devant le siège de GHM à 11 h 30 puis un grand
rassemblement à 13 h 30 devant l'Assemblée nationale où ils espèrent
approcher Mélenchon, Montebourg ou Aubry ainsi que des membres des
groupes parlementaires de droite. Le lendemain, une délégation se rendra
au ministère du Travail pour évoquer le financement de formations
longues et les indemnités supra légales.
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Anciens de ParuVendu - Groupe COMAREG filiale GHM
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lundi, mars 05, 2012
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vendredi 2 mars 2012
Vendredi 02 mars 2012 - Vente de matériel d'agence ParuVendu sur le BonCoin
http://www.leboncoin.fr/ameublement/289385082.htm?ca=10_s
Copie du courriel envoyé en ligne ce soir :
Bonjour,
Vous avez d'autres agence de ParuVendu en portefeuille concernant la vente de mobilier ?
Avez vous l'accord du juge du Tribunal de Commerce et de Maitre WALCZAK Bruno, liquidateur judiciaire pour faire cette transaction ?
Cordialement
Jean-Paul FABRE
Président association
"Avenir Presse Publications"
Association des Anciens Salariés HEBDOPRINT
http://avenirpressepublications.blogspot.com/
06-21-01-48-97
Réponse recue ce soir :
bonjour
Copie du courriel envoyé en ligne ce soir :
Bonjour,
Vous avez d'autres agence de ParuVendu en portefeuille concernant la vente de mobilier ?
Avez vous l'accord du juge du Tribunal de Commerce et de Maitre WALCZAK Bruno, liquidateur judiciaire pour faire cette transaction ?
Cordialement
Jean-Paul FABRE
Président association
"Avenir Presse Publications"
Association des Anciens Salariés HEBDOPRINT
http://avenirpressepublications.blogspot.com/
06-21-01-48-97
Réponse recue ce soir :
bonjour
on a l'accord oral de l'ancien gerant mais on attend un accord écrit
en attendant on ne peu vendre
on prend les coordonnées des personnes interressées seulement pour le
moment
cordialement
Arnaque signalée au site dans l'attente de la réponse du Bon Coin Coin
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Anciens de ParuVendu - Groupe COMAREG filiale GHM
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vendredi, mars 02, 2012
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jeudi 1 mars 2012
Jeudi 01 Mars 2012 - Appel FO pour la manifestation du 06 mars
GRANDE MANIFESTATION A PARIS
LE MARDI 6 MARS 2012
Nous organisons un GRAND RASSEMBLEMENT des ex-salariés de ParuVendu (Comareg et Hebdoprint)
VENEZ NOUS REJOINDRE !
Nous avons besoin d'un grand nombre de personnes ce jour-là pour venir réclamer les indemnités "supra-légales" pour les salariés et pour crier notre colère contre l'Etat et Hersant qui les ont abandonnés !
Rassemblement
Place Edouard Herriot – 75007 PARIS
De 13 heures 30 à 17 heures
avec déplacement possible rue de Bourgogne, rue de Grenelle, rue de Constantine.
Retour par la rue Saint-Dominique et rue de Bourgogne (sur le trottoir)
Les participants peuvent réaliser des écriteaux originaux pour manifester leur colère contre HERSANT
Le 6 Mars, TOUS A PARIS pour dire NON ! à ces magouilles politiques avec Hersant et défendre les droits des salariés !!!!
Le 3 novembre 2011, le Tribunal de Commerce de Lyon a fait tomber le couperet en décidant la liquidation judiciaire de la COMAREG et, du même coup, l’extinction de tout espoir quant à la survie des 1650 emplois restants :
soit 1150 salariés de la COMAREG et 500 salariés du pôle imprimerie HEBDOPRINT
Sous le coup de cette décision et pendant quelques heures, certains grands titres de presse (pas gratuite celle-là) ont enfin daigné relayer l’information sur la situation économique et sociale du premier groupe de presse gratuite, en titrant :
« La descente aux enfers de ParuVendu »
« Le plus gros plan social de l’année »
Quel bilan devons-nous tirer de cette tragédie sociale ?
Rappelons qu’en 2002, le patron de presse Philippe HERSANT a joué au Monopoly en se payant un beau joujou qui, à l’époque rapportait gros, ce qui lui a permis de constituer le groupe Hersant Media sur les décombres de France Antilles.
Tout va bien au niveau de la rentabilité et du chiffre d’affaires jusqu’en 2008 : la COMAREG sert de « vache à lait » pour le groupe de presse.
Mais dans le même temps survient le tournant irréversible de l’ascension des petites annonces sur Internet et, face à cette menace bien réelle, les dirigeants préfèrent jouer l’immobilisme et n’engagent aucun investissement pour adapter l’outil de production. A partir de là, c’est la chute inexorable du chiffre d’affaires et l’amoncellement des pertes d’exploitation.
Et comme toujours, ce sont les salariés qui payent la note :
- l’effectif du groupe qui était de 3000 salariés en 2008 est tombé à 1650 en novembre 2010.
La descente aux enfers a commencé depuis longtemps pour les salariés auxquels on a imposé pendant trois longues années des saignées énormes sur les emplois en les maintenant dans l’espoir d’un redressement judiciaire dans l’expectative d’un repreneur et d’un plan de continuation de plus en plus hypothétique.
A l’annonce de la liquidation, il fut proprement scandaleux d’entendre clamer qu’il s’agissait « plus gros plan social de l’année 2011 », alors que pendant des mois :
- les pouvoirs publics et les politiques, bien qu’alertés par les organisations syndicales, n’ont pas bougé le petit doigt ;
- la presse d’information a préféré passer sous silence ce désastre annoncé ; rappelons que les médias n’ont pas jugé opportun de se déplacer pour passer dans leurs infos la manifestation des salariés de la COMAREG, à Lyon dans le contexte du dernier PSE !
- quant aux vaines promesses du Ministre Xavier Bertrand, les ex-salariés de la Comareg – Hebdoprint attendent toujours…. La période électorale n’était pas encore ouverte !!
Et maintenant : HERSANT et PARIS NORMANDIE !!
La direction du Pôle Normand du Groupe Hersant Media (GHM) demandera officiellement ce mercredi 29 février l'ouverture d'une procédure de redressement judiciaire pour la société éditrice (SNPEI) de ses différents titres (les quotidiens Paris Normandie, Havre Libre, Havre Presse, Progrès de Fécamp et l'hebdomadaire Liberté dimanche) et sa régie publicitaire.
Après avoir jeté les salariés de la Comareg à la rue, vendu ses journaux Polynésiens quelque temps plus tard, voilà Philippe Hersant qui annonce le dépôt de bilan du Pôle Normand du groupe Hersant Media.
Demain, à qui le tour ?
Nous comptons sur votre soutien et votre présence le Mardi 6 mars prochain !!
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jeudi, mars 01, 2012
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mardi 28 février 2012
Mardi 28 février 2012 - F3C CFDT / Communiqué n°7/ Paris le 28/02/2012 à 15h00
Communiqué de Presse
Paris le 28/02/2012 à 15h00
La F3C CFDT soutient les salariés de ParuVendu lors de leur mobilisation du 6 mars 2012 ParuVendu : le plus grand PSE de l’année 2011
Avec 2 500 licenciements annoncés lors de la liquidation judiciaire du 3 novembre dernier, le groupe Comareg (ParuVendu et Hebdoprint) détient ce triste record. Ce PSE est totalement scandaleux pour la F3C CFDT : pas de cellule de reclassement, pas de budget de formation prévu et pas d’indemnités supra-légales.
Les salariés de Comareg et d’Hebdoprint n’ont pas dit leur dernier mot : lettres au président de la république, lettres aux députés et sénateurs…toutes sont restées sans réponse ! Ces salariés ont donc décidé de frapper fort.
Le 6 mars : deux rendez-vous pour défendre les 2 500 salariés sacrifiés en 2011.
Le collectif Paru Chomdu composé du collectif des Anciens salariés de Comareg (CASC), de l’ADAS Hebdoprint et l’association des anciens salariés et de l’Avenir Presse Publications appelle à une grande manifestation le mardi 6 mars.
Un premier RDV est fixé pour s’échauffer la voix le 6 mars à 11h30 devant le siège de GHM. Le grand rassemblement est prévu, le même jour, à 13h30 Place Edouard Herriot derrière l’Assemblée Nationale. A cette occasion les manifestants sont appelés à venir habillés en rouge et noir…en plus de la traditionnelle couleur orange de la CFDT. Une nouvelle fois les anciens salariés de Comareg et Hebdoprint feront entendre leur voix.
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mardi, février 28, 2012
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vendredi 24 février 2012
Vendredi 24 février 2012 - Article Lutte Ouvriere - Lutte Ouvrière n°2273 du 24 février 2012
Paru Vendu - La Chapelle-Saint-Luc (Aube) Un rendez-vous à Troyes sans résultat, le prochain à Paris
Vendredi 10 février, la délégation des 94 salariés du site de La
Chapelle-Saint-Luc, aujourd'hui tous au chômage, n'a pas obtenu de
rendez-vous avec François Baroin, maire de Troyes, mais surtout
ministre de l'Économie, des Finances et de l'Industrie. Ils n'ont été
reçus que par le préfet et le député de la circonscription, qui n'ont
donné aucune réponse satisfaisante.
Ces 94 licenciés du centre d'appel de La Chapelle font pourtant
partie des 1650 travailleurs licenciés par le groupe Comareg, lors de la
liquidation de tout le personnel du centre d'édition de la
presse gratuite d'annonces et son secteur impression Hebdoprint,
propriétés du groupe Hersant, le 3 novembre dernier. Cette vague de
licenciements, la plus importante du pays en 2011, n'a guère ému le
ministre. Cela a choqué tous les licenciés de Paru Vendu et
d'Hebdoprint, surtout avec toute la mise en scène de Sarkozy à propos de
Sea France et Lejaby. Mais ministre comme président ne doivent pas
être gênés que Hersant se soit rempli les poches pendant des années avec
les petites annonces et se débarrasse aujourd'hui de tout ce secteur,
tout comme ils laissent Hersant continuer de restructurer
son groupe de presse.
Depuis qu'ils ont été licenciés, avec des primes de licenciement des
plus réduites, pour beaucoup dans le cadre d'un « Contrat (dit) de
sécurisation professionnelle », les salariés de Paru Vendu
piétinent avec Pôle emploi et les cellules de reclassement Sodie ou de
l'AFPA-Transition.
Voilà pourquoi ils réclament des primes de licenciement plus
importantes, l'accès à de vraies formations que le budget prévu ne
permet pas actuellement, la prolongation à 24 mois des contrats de
sécurisation professionnelle, comme pour les licenciés d'Aérospace à
Reims.
Ils se feront à nouveau entendre, le mardi 6 mars, lors de la manifestation nationale de tous ceux de Comareg et Hebdoprint.
Correspondant LO
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vendredi, février 24, 2012
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jeudi 23 février 2012
Jeudi 23 février 2012 - leclaireur-ladepeche.fr- Point sur Paris Normandie
Paris Normandie : soutien critique des Verts, inquiétude des journalistes
Alors que la SNPEI, pôle normand de presse quotidienne régionale du groupe GMH (comprenant Paris-Normandie, Havre-Libre, Havre-Presse et Le Progrès de Fécamp), s’apprête à déposer le bilan (lire notre article ici) et qu’un meeting de soutien aux salariés est organisé ce vendredi à Déville, Laure Leforestier (Conseillère régionale) et Laetitia Sanchez, secrétaire régionale d’Europe Ecologie Les Verts de Haute-Normandie, apportent au salariés le soutien de leur mouvement : “Si ces journaux venaient à disparaître, c’est un morceau de démocratie qui s’évanouirait avec eux“, écrivent-elles. “Nous sommes partisans d’une pluralité de l’information et conscients que la vie politique locale perdrait là l’une de ses caisses de résonance. Nous appuyons les revendications des organisations syndicales qui réclament que le GHM et son actionnaire principal, Philippe Hersant, assument leur responsabilité dans cette crise“
Critiques
Ceci étant, qui aime bien, châtie bien. Et les représentantes d’Europe écologie ne sont pas tendres avec le quotidien haut-normand : “Nous avons pu constater depuis plusieurs années, par le départ prématuré de plusieurs journalistes,
que leur indépendance et leur expertise n’avaient pas toujours été respectées par la rédaction en chef qui a préféré privilégier un « consensus mou » parfois loin des préoccupations des citoyens, ce qui a aussi contribué à décourager le lectorat.“
Et de conclure : “nous espérons qu’une solution respectant les emplois pourra émerger de cette situation de crise. Nous serons présents le vendredi 24 mars à Déville pour témoigner de notre implication.“
Du côté des journalistes…
Du côté du syndicat des journalistes de Paris-Normandie, on constate que “la restructuration annoncée depuis des semaines aura sans doute bien lieu, mais sous la pression du tribunal de Commerce. Une stratégie déjà expérimentée au sein de Groupe Hersant Média (GHM), ayant conduit tout simplement, il y a quelques mois, au plus grand plan social français de 2011, avec la liquidation judiciaire de la Comareg et d’Hebdoprint (Paru Vendu), et 1600 salariés du pôle de presse gratuite laissés sur le carreau (…) Au-delà de la question de l’emploi, c’est l’avenir de la presse écrite en Normandie qui s’inscrit désormais en pointillés, et un signal effrayant envoyé aux milliers de salariés des entreprises de presse quotidienne régionale.” Et de demander que“l’actionnaire principal de GHM, Philippe Hersant, assume enfin ses responsabilités dans cette crise.”
zclaireur Le 23/02/2012 - 16:04.
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Jeudi 23 février 2012 - Paris-Normandie: réaction des Verts - Tendance Ouest Rouen
Paris-Normandie: réaction des Verts |
Dans un communiqué de presse en date du 23 février, les élus Europe Ecologie les Verts ont tenu à exprimer leur soutien au 365 employés de la SNPEI, la société qui édite, entre autre, Paris-Normandie.
"Si ces journaux venaient à disparaître, c’est un morceau de démocratie qui s’évanouirait avec eux. Nous sommes
partisans d’une pluralité de l’information et conscients que la vie
politique locale perdrait là l’une de ses caisses de résonance.
Nous appuyons les revendications des organisations syndicales qui réclament que le GHM et son ac-
tionnaire principal, Philippe Hersant, assument leur responsabilité dans cette crise. L’absence d’inves-
tissements, le manque de vision et de développement ont contribué largement à la dégradation de
l’entreprise."
Paris-Normandie: réaction des Verts - Tendance Ouest Rouen
Nous appuyons les revendications des organisations syndicales qui réclament que le GHM et son ac-
tionnaire principal, Philippe Hersant, assument leur responsabilité dans cette crise. L’absence d’inves-
tissements, le manque de vision et de développement ont contribué largement à la dégradation de
l’entreprise."
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jeudi, février 23, 2012
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Jeudi 23 février 2012 - Le Parisien - Laurent Fabius dénonce les menaces qui pèsent sur Paris Normandie
Le président PS de la Communauté d'agglomération de Rouen, Laurent Fabius,
a dénoncé jeudi les menaces pesant sur la société éditrice du quotidien
régional Paris-Normandie qui se prépare, selon les syndicats, à un
prochain dépôt de bilan.
"Alors que la presse écrite dans son ensemble (...) subit de plein fouet l'explosion de l'information en ligne, nous ne pouvons laisser des journaux disparaître sur le seul autel de la Finance", affirme Laurent Fabius dans un communiqué signé également d'autres élus socialistes de Haute-Normandie.
L'ancien Premier ministre assure que la disparition de Paris-Normandie et les titres qui lui sont associés (Havre Libre, Le Havre Presse et le Progrès de Fécamp) ferait de la Seine-Maritime et de l'Eure "les premiers départements de France sans presse quotidienne régionale.
"Alors que la presse écrite dans son ensemble (...) subit de plein fouet l'explosion de l'information en ligne, nous ne pouvons laisser des journaux disparaître sur le seul autel de la Finance", affirme Laurent Fabius dans un communiqué signé également d'autres élus socialistes de Haute-Normandie.
L'ancien Premier ministre assure que la disparition de Paris-Normandie et les titres qui lui sont associés (Havre Libre, Le Havre Presse et le Progrès de Fécamp) ferait de la Seine-Maritime et de l'Eure "les premiers départements de France sans presse quotidienne régionale.
Laurent Fabius affirme qu'il ne s'agit
pas "de remettre en cause" les stratégies du Groupe Hersant Médias
(GHM), dont dépendent ces titres, mais "de rappeler à ses dirigeants
qu'ils sont dépositaires des principes de la Révolution et de la
Libération, à savoir les libertés d'information et d'expression".
Selon
les syndicats, le dépôt de bilan figure à l'ordre du jour d'une réunion
extraordinaire, convoquée lundi prochain, du comité d'entreprise de la
Société normande de presse d'édition et d'impression (SNPEI) qui édite
ces titres et emploie 365 salariés. Le tribunal de commerce du Havre
pourrait, selon eux, être saisi de ce dossier, dès mercredi prochain.
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jeudi, février 23, 2012
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lundi 20 février 2012
Lundi 20 Février 2012 - Message de soutien de madame Michèle FOURNIER-ARMAND Vice-Présidente du Conseil Général de Vaucluse
Compte-tenu de ses
contraintes d’agenda, Mme Michèle FOURNIER-ARMAND, Vice Présidente du Conseil
général, regrette de ne pouvoir être présente le 6 mars, à
Paris.
Néanmoins, elle tenait
à vous exprimer tout son soutien à votre action. Il s’agit, pour vous, de faire
respect vos droits et votre dignité.
Mme FOURNIER-ARMAND
considère qu’il n’est pas acceptable que des comportements de mépris envers les
salariés et leur travail soient passés sous
silence.
Il est temps que les
choses changent. Il est nécessaire de prendre des mesures pour développer
l’emploi industriel et lutter contre la casse volontaire de notre outil de
production et les licenciements de convenance.
Recevez les
encouragements et la pleine solidarité de Mme
FOURNIER-ARMAND.
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lundi, février 20, 2012
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jeudi 16 février 2012
Jeudi 16 Février 2012 - Lettre aux candidats à la Présidence de la République
Mesdames, Messieurs les candidats à la Présidence de la République,
Nous voulons attirer votre attention sur la situation des salariés du groupe Comareg éditeur des journaux de PGA (Presse d’Annonces Gratuites) ParuVendu. Cette société, ainsi que sa filiale technique, Hebdoprint, ont été mises en liquidation le 3 novembre dernier, mettant au chômage 1600 personnes auxquelles se rajoutent 750 salariés partis lors du PSE du premier semestre et 150 départs “naturels”. Nous avons le triste record d’être le plus gros plan social de l’année 2011.
Cette liquidation a été décidée par notre maison-mère, la société GHM Groupe Hersant Media, également propriétaire de quotidiens régionaux d’informations en métropole (La Provence, L’Union, Nice Matin, Paris Normandie,…) et dans les DOM TOM. Et pourtant nous étions le fleuron de GHM. C’est grâce à nos bénéfices que GHM a acheté La Provence et une participation dans Nice Matin. Mais lorsque nous avons connu quelques difficultés, plus question de remettre une partie de cet argent pour permettre une réorganisation de notre société. Nous sommes allés de plan social en plan social, puis en redressement judiciaire pour apprendre le 28 Octobre 2011 au matin que l’audience prévue au tribunal fin novembre était avancée au 3 Novembre et que l’administrateur judiciaire, également mandataire ad hoc de GHM demanderait la liquidation. En moins d’une semaine, 1600 salariés, disséminés sur toute la France, se sont retrouvés sans activité.
A cet acte d’une violence inouïe, se rajoute le fait que ce dernier “PSE”, fait dans le cadre d’une liquidation est proprement scandaleux : pas de cellule de reclassement, pas d’indemnités supra-légales, pas de budget formation prévus.
Nous avons été sacrifiés pour que M. Hersant puisse faire un accord avec le groupe belge Rossel pour céder la plupart de ses titres de métropole.
Quelques uns de vous se sont intéressés à notre sort et ont posé des questions au gouvernement, mais quatre mois plus tard, nous en sommes quasiment au même point et nous refusons que cela perdure.
Nous nous sommes structurés en collectif de défense des salariés Comareg et Hebdoprint et avons entrepris plusieurs actions au niveau d’assemblées départementales et régionales, de représentants de l’état au travers de préfets. Certains de nous ont rencontré M. Xavier Bertrand, d’autres des conseillers de l’Elysée. Notre but est de demander au Gouvernement et aux acteurs politiques d’obliger notre ex-actionnaire à mettre en place des conditions de sortie décentes. Pour exemple, les 500 salariés de la filiale d’impression Hebdoprint dépendaient de la convention collective des Imprimeries de Labeur et des Arts Graphiques. Or cette convention, contrairement à celle de la Presse, est en deçà de ce que prévoit le Code du Travail. Un imprimeur ayant 20 ans d’ancienneté (ce qui est la moyenne) touchera comme indemnité légale de licenciement, l’équivalent d’un peu plus de quatre mois de salaires comme le prévoit le code du travail.
Selon le Ministre du Travail, de l’Emploi et de la Santé en exercice, Xavier Bertrand, il est impossible de changer la loi : pas de possibilité de rallonger le CSP, limité à 12 mois. Les financements prévus dans le cadre du Contrat de Sécurisation Professionnel sont bien trop bas pour permettre des formations à des salariés qui ont besoin de changer de métier. Sa seule action, pour l’instant, a été la mise en place d’une cellule de reclassement de six mois, payée par l’Etat. Ce devait être “un PSE exemplaire” d’après ses déclarations à l’Assemblée Nationale.
Pourtant, si, pour l’instant, le gouvernement ne semble pas touché par la détresse de 1650 personnes, il peut intervenir sur d’autres choses :
- Lors de discussions à Bercy, les 17 banques de M. Hersant lui ont fait cadeau de 50 millions d’euros et reporté le remboursement de 50 autres millions de plusieurs années.
- GHM a perçu, comme d’autres groupes de presse, des subventions pour sa PQR et, à ce titre, devrait être redevable de ses actes envers la collectivité. Est-il normal que la liquidation de Comareg/Hebdoprint soit également payée par l’Etat?
Ce sont nos impôts qui financent la cellule de reclassement mise en place par M. Xavier Bertrand. Philippe Hersant est la centième fortune de France et réside en Suisse. Il vient d’y bâtir au cours des dernières années, un nouvel empire de presse très prospère en veillant bien à ce qu’il n’y ait pas de communication entre celui-ci et ses affaires en France.
Où est la morale dans ces actes pourtant tout à fait légaux ? Nous sommes indignés, révoltés. Quelles seront les actions que vous envisagez de prendre et dans quels délais, pour que, dans le futur, un “patron-voyou” avec des relations ne puisse plus générer tant de misère humaine sans devoir rendre des comptes aussi bien sur le plan financier que sur le plan pénal ? M. Hersant est gagnant sur trois points : apurement de sa dette, perception de subventions, gestion de la casse sociale par les pouvoirs publics alors qu’il a mis à la rue des milliers de familles…. Pourtant, d’autres solutions, moins radicales, existaient.
Le silence des médias, l’absence de réponse à nos interpellations écrites au Président de la République et aux Ministres (M. François Baroin vient de décliner, pour la deuxième fois, et au dernier moment, un rendez-vous avec une de nos délégations), le non-accompagnement à la hauteur de ce drame humain, voire de versement d’indemnités “supra-légales” pour compenser le préjudice subi, sont vécus par les salariés de ParuVendu et Hebdoprint comme une injure. A leur désarroi si soudain de se retrouver sans emploi, se rajoute la non-reconnaissance de leur mort professionnelle et de leur vie antérieure.
Les interventions du gouvernement et la médiatisation qui en a été faite, sur les dossiers de Sea France et Lejaby ont été très mal vécues. Notre propos n’est pas de critiquer les emplois “sauvés” ou les financements d’indemnités supra-légales possibles. Nous ne pouvons que nous réjouir pour ces salariés, d’autant que cela montre que des solutions peuvent être trouvées. Alors, pourquoi ne pas se pencher sur notre sort ?
Bien que dispersés sur 55 départements, nous voulons nous faire entendre aussi bien dans la campagne présidentielle que dans celle des législatives qui suivront.
Tenant compte de tous ces éléments, du mépris de notre actionnaire et de l’autisme sélectif des ministres en situation, nous viendrons exprimer notre colère et réclamer notre dû le 6 mars à Paris, à l’Assemblée Nationale. Nous comptons sur votre soutien public dans notre combat pour le respect de nos droits et notre dignité.
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jeudi, février 16, 2012
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mardi 14 février 2012
Mardi 14 février 2012 - Liquidation Comareg NR
14 février 2012 - Liquidation COMAREG NR
le 14 février COMAREG NR se retrouve en liquidation judiciaire:
Ils appartenaient à 50 % à la Comareg et leur survie, depuis quelques mois, était donc fragile, malgré les ultimes tentatives de l'autre actionnaire, le groupe Nouvelle République.
69 employés se retrouvent au chômage: ce chiffre vient se rajouter à celui de 1650 de PARU VENDU.
Ils appartenaient à 50 % à la Comareg et leur survie, depuis quelques mois, était donc fragile, malgré les ultimes tentatives de l'autre actionnaire, le groupe Nouvelle République.
69 employés se retrouvent au chômage: ce chiffre vient se rajouter à celui de 1650 de PARU VENDU.
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mardi, février 14, 2012
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lundi 13 février 2012
Lundi 13 février 2012 - Lettre au Président de la République
Mr
RIEU Jean Pierre
90
Chemin d’Eguilles
84270
Vedène
Vedène,
le 12 février 2012
Monsieur
le Président de la République,
Je
me permets de vous adresser ce courrier car je suis âgé de 58 ans
et j’ai toujours travaillé depuis l’âge de 14 ans.
Malheureusement, le 23 décembre 2011, j’ai
été licencié de la société COMAREG-HEBDOPRINT après 20 ans de
services comme mes 1650 collègues.
Le plus grand plan social de licenciement en
France en 2011.
Hélas,
je n’ai pas choisi cette situation et ayant entendu votre
proposition sur un référendum sur les chômeurs, offusqué, je
tiens à vous préciser que je ne pense pas profiter du système.
En
effet, ayant été licencié à trois ans de ma retraite, on me prive
d’un départ digne avec mes collègues que je côtoyais tous les
jours depuis plusieurs années.
Si Mr HERSANT, ne nous avait pas démunis de
notre trésorerie pour s’offrir le pôle sud (La Provence, Nice
Matin, etc…), nous ne serions pas à pôle emploi aujourd’hui.
Ne
serait-il pas plus juste que des « patrons-voyous »
profitant du système pour licencier des ouvriers sans aucune
indemnité supra- légale puissent rendre des comptes à l’Etat et
se justifier d’un tel acte auprès de ses employés, surtout quand
ces mêmes patrons touchent de l'argent public ?.
Je
tenais à vous exprimer mon ressenti car depuis la mise en
liquidation judiciaire de COMAREG-HEBDOPRINT, j’ai le sentiment que
personne n’a eu conscience de la gravité de la situation dans
laquelle nous sommes.
Entendre votre proposition, n’a fait
qu’attiser mon désarroi, car à 58 ans, je n’ai pas grand espoir
de retrouver un emploi malgré mes recherches.
Dans l’attente d’une réponse de votre
part, veuillez agréer, Monsieur le Président de la République,
l’expression de mes salutations distinguées.
Mr RIEU Jean-Pierre
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lundi, février 13, 2012
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samedi 11 février 2012
Samedi 11 Février 2012 - « Que fait le ministre François Baroin ? » | L'Est Eclair
Le 3 novembre dernier, le tribunal de commerce de Lyon prononçait la
liquidation judiciaire de la Comareg, premier éditeur français de presse
gratuite de petites annonces avec « ParuVendu ».
Cette liquidation du pôle presse gratuite du Groupe Hersant Médias (GHM) a entraîné le licenciement de 1 650 salariés en France (dont 94 à La Chapelle-Saint-Luc). C'est le plus important plan social réalisé en France en 2011.
C'est justement ce que met en avant Bruno Rossi, délégué CGT, pour critiquer l'attitude du ministre-maire François Baroin : « Il intervient sur des grands dossiers internationaux, mais ne se mobilise pas sur le plus gros plan social en France qui concerne, en plus, 94 personnes dans son département. Que fait le ministre François Baroin ? »
« Que fait le ministre François Baroin ? » | L'Est Eclair
Cette liquidation du pôle presse gratuite du Groupe Hersant Médias (GHM) a entraîné le licenciement de 1 650 salariés en France (dont 94 à La Chapelle-Saint-Luc). C'est le plus important plan social réalisé en France en 2011.
C'est justement ce que met en avant Bruno Rossi, délégué CGT, pour critiquer l'attitude du ministre-maire François Baroin : « Il intervient sur des grands dossiers internationaux, mais ne se mobilise pas sur le plus gros plan social en France qui concerne, en plus, 94 personnes dans son département. Que fait le ministre François Baroin ? »
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samedi, février 11, 2012
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Samedi 11 février 2012 - Polynésie: Le rachat du groupe Hersant Média en cours de finalisation
Polynésie: Le rachat du groupe Hersant Média en cours de finalisation
PAPEETE, 11 février 2012 (AFP) - Le directeur délégué d'Hersant
Média en Polynésie, Richard Brozat, a annoncé, vendredi à Tahiti, le
rachat imminent du groupe par Albert Moux, un homme d'affaires PDG de la
Pacific Petroleum Company (Shell).
"Nous sommes toujours en phase de négociations car il y a un certain nombre de conditions suspensives à lever mais le processus se déroule normalement", a-t-il expliqué à l'AFP.
Vendredi, le directeur délégué de GHM Polynésie a informé les élus du comité d'entreprise de la situation et les a "rassurés" sur leur devenir, le repreneur n'ayant pas l'intention de procéder à des suppressions de poste. Le rachat devrait être effectif "fin février ou début mars", a ajouté Richard Brozat.
GHM en Polynésie, qui compte 166 salariés, possède les quotidiens La Dépêche de Tahiti et Les Nouvelles de Tahiti, l'antenne locale de la radio NRJ ainsi que le gratuit Paru Vendu. Il édite également trois magazines.
Pour racheter le groupe, Albert Moux, magnat des hydrocarbures qui se lance aujourd'hui sur le marché de la téléphonie mobile, s'est associé à deux autres hommes d'affaires qui devraient chacun détenir 10% des parts de la société. Albert Moux était déjà actionnaire depuis 27 ans des Nouvelles de Tahiti.
La vente des actifs Outre-mer d'Hersant Média s'inscrit dans un processus de désendettement et de rapprochement avec le groupe belge Rossel.
"Nous sommes toujours en phase de négociations car il y a un certain nombre de conditions suspensives à lever mais le processus se déroule normalement", a-t-il expliqué à l'AFP.
Vendredi, le directeur délégué de GHM Polynésie a informé les élus du comité d'entreprise de la situation et les a "rassurés" sur leur devenir, le repreneur n'ayant pas l'intention de procéder à des suppressions de poste. Le rachat devrait être effectif "fin février ou début mars", a ajouté Richard Brozat.
GHM en Polynésie, qui compte 166 salariés, possède les quotidiens La Dépêche de Tahiti et Les Nouvelles de Tahiti, l'antenne locale de la radio NRJ ainsi que le gratuit Paru Vendu. Il édite également trois magazines.
Pour racheter le groupe, Albert Moux, magnat des hydrocarbures qui se lance aujourd'hui sur le marché de la téléphonie mobile, s'est associé à deux autres hommes d'affaires qui devraient chacun détenir 10% des parts de la société. Albert Moux était déjà actionnaire depuis 27 ans des Nouvelles de Tahiti.
La vente des actifs Outre-mer d'Hersant Média s'inscrit dans un processus de désendettement et de rapprochement avec le groupe belge Rossel.
Rédigé par AFP le Samedi 11 Février 2012 à 16:40
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samedi, février 11, 2012
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Samedi 11 Février 2012 - « ParuVendu » : les licenciés désespèrent du plan social | L'Est Eclair
À défaut de rencontrer le ministre-maire François
Baroin, les licenciés de « ParuVendu » ont obtenu du préfet et du député
Menuel des assurances sur la formation
La Chapelle-Saint-Luc- Les 94 salariés chapelains licenciés de « ParuVendu » en ont appelé, hier, au préfet et au député Menuel pour obtenir un vrai plan social
Partagés entre dégoût et révolte, les 94 licenciés aubois de Paru Vendu ont,
hier encore, exprimé leur ras-le-bol devant un plan social qu'ils
estiment au rabais. C'est en tout cas ce qu'ils ont dit de vive voix au
préfet Christophe Bay et au député-maire adjoint, Gérard Menuel, hier
après-midi. « Nous devions rencontrer également le ministre-maire
François Baroin. On espérait que le ministre de l'Économie intervienne
au niveau national, comme cela a été fait pour les salariés licenciés de Lejaby ou de SeaFrance.
Mais, pour la deuxième fois, François Baroin a annulé le rendez-vous.
On se sent aujourd'hui laissés pour compte », regrettait, la déléguée du
personnel, Séverine Perret. Accompagnée par le maire chapelain Olivier
Girardin, une délégation de quatre salariés de ParuVendu a tout de même
été reçue à la préfecture, hier à 16 h. Les salariés licenciés ont
exprimé leurs inquiétudes.
Plus d'argent et de temps pour rebondir
« Le plan social est financièrement insuffisant pour que les licenciés puissent se former et se reconvertir. Le cabinet Sodie chargé du reclassement n'est là que pour six mois. Et cela coince aussi à Pôle emploi : beaucoup de formations ne sont pas financées. Une deuxième cellule de reclassement a été mise en place par l'AFPA-Transition, mais on ne voit pas bien ce qu'elle va nous apporter en plus. Ce que l'on attend, insiste Séverine Perret, ce sont surtout des mesures nationales avec des indemnités de licenciement plus élevées et des contrats de sécurisation professionnelle (CSP) prolongés sur 24 mois comme pour les licenciés d'Aérospace à Reims. Cela nous donnerait plus du temps pour rebondir. »
Sur ces deux sujets, la délégation n'a rien obtenu de son entrevue avec le préfet et le député.
Assurances sur la formation
Pour autant, Séverine Perret est ressortie plutôt rassurée de la préfecture : « Un dialogue s'est instauré. On a été écouté et on a eu des assurances sur une reconversion au cas par cas, avec en particulier des formations. »
Quant à un rendez-vous avec le ministre-maire François Baroin pour débloquer des mesures plus importantes au niveau national, il semble pour l'heure éloigné : « Gérard Menuel, précise Séverine Perret, nous a indiqué qu'il fallait faire la demande de rendez-vous auprès du ministère à Paris. »
À Paris où justement se manifesteront, le 6 mars prochain, les 1 650 salariés licenciés de ParuVendu.
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samedi, février 11, 2012
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Samedi 11 Février 2012 - Comareg : Que sont devenus les autres ? | L'UNION
Comme Fabien, une quarantaine de commerciaux qui œuvraient pour Paru
Vendu à Reims et dans le département de la Marne se sont retrouvés à la
porte de l'entreprise. Cependant, quelques semaines après leur
licenciement, une proportion intéressante de ces commerciaux a, soit
retrouvé un emploi, soit effectué le choix de prendre la CSP, un
dispositif qui propose, pendant un an, des formations.
« Je suis encore en contact avec des commerciaux. Notre avantage, c'est notre réseau. On connaît souvent une personne, qui connaît une personne qui aurait besoin d'un commercial. C'est notre avantage. Une grande proportion des quadras de chez nous a fait le choix de la formation », confie un ancien collègue de Laurent. Ce sont les plus jeunes qui s'en tirent le mieux en tout cas.
Le point négatif pour les institutions, est que la plupart de ces personnes licenciées et qui ont retrouvé un boulot ne sont pas passées par Pôle Emploi. Elles ont préféré se débrouiller seules plutôt que de suivre le cursus normal des rendez-vous de suivi avec les conseillers de l'ex-ANPE.
Rien d'étonnant quand on sait que le suivi des demandeurs d'emploi, pour la ville de Reims, ne se fait plus tous les mois comme il est normalement prévu, mais tous les deux mois comme nous le révélait le directeur départemental de Pôle Emploi dans notre édition d'hier.
« Je suis encore en contact avec des commerciaux. Notre avantage, c'est notre réseau. On connaît souvent une personne, qui connaît une personne qui aurait besoin d'un commercial. C'est notre avantage. Une grande proportion des quadras de chez nous a fait le choix de la formation », confie un ancien collègue de Laurent. Ce sont les plus jeunes qui s'en tirent le mieux en tout cas.
Le point négatif pour les institutions, est que la plupart de ces personnes licenciées et qui ont retrouvé un boulot ne sont pas passées par Pôle Emploi. Elles ont préféré se débrouiller seules plutôt que de suivre le cursus normal des rendez-vous de suivi avec les conseillers de l'ex-ANPE.
Rien d'étonnant quand on sait que le suivi des demandeurs d'emploi, pour la ville de Reims, ne se fait plus tous les mois comme il est normalement prévu, mais tous les deux mois comme nous le révélait le directeur départemental de Pôle Emploi dans notre édition d'hier.
Comareg : Que sont devenus les autres ? | L'Union
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samedi, février 11, 2012
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Samedi 11 Février 2012 - L'EST REPUBLICAIN « La rencontre avec le préfet est porteuse d'espoir »
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samedi, février 11, 2012
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