mardi 31 décembre 2013

Mardi 31 Décembre 2013 - Meilleurs Voeux


Croyons en l'union de nos forces dans ce même objectif :

NOTRE RÉUSSITE
DANS NOTRE COMBAT COMMUN


Meilleurs Vœux

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vendredi 27 décembre 2013

Vendredi 27 Décembre 2013 - INFORMATIONS SYNDICALES FORCE OUVRIERE : Communiqué de Presse : Chiffres du chômage : l’inversion attendra







COMMUNIQUE



Chiffres du chômage : 
l’inversion attendra
 
Les chiffres des demandeurs d’emploi inscrits à Pôle emploi pour le mois de novembre 2013 ne constituent pas une surprise. La catégorie A augmente de 0,5 % sur un mois. Sur un an le nombre de demandeurs d’emploi inscrits sans aucune activité a augmenté de 5,6 %. La situation des chômeurs de longue durée (un an ou plus + 13,4 sur un an) et des seniors (cat. A + 11,7 sur un an) ne cessent de s’aggraver.

Face à la communication pour le moins alambiquée des pouvoirs publics, force est de constater que le nombre de demandeurs d’emploi continue sa dramatique progression. La croissance pour 2014 oscillant vraisemblablement à moins de 1 %, elle ne suffira pas à faire baisser durablement le chômage.

Comme ne cesse de le répéter, Force Ouvrière, c’est bien d’un changement de politique macro-économique dont la France et l’Europe ont besoin.

Relance de la consommation par la hausse des salaires, traitements et pensions, mise en œuvre d’une politique volontariste de grands travaux à l’échelle européenne, réforme fiscale d’ampleur remettant au centre du système l’impôt sur le revenu, fin des politiques de restrictions budgétaires et des coupes dans les dépenses publiques, remise en cause du pacte budgétaire européen, tels sont les ingrédients indispensables pour sortir de la crise. 
 C'est ce que Force Ouvrière rappellera lors du grand meeting qu’elle organisera le 29 janvier 2014 à Paris



Paris, le 27 décembre 2013

Contact :

Stéphane LARDY

Secrétaire Confédéral

dimanche 22 décembre 2013

Dimanche 22 Décembre 2013 : FR3 Côte d'Azur /AFP : Journaux du Groupe Hersant Media : Protocole d'accord trouvé sur le partage entre Hersant et Tapie

 
Côte d'Azur

Journaux du Groupe Hersant Media :
Protocole d'accord trouvé sur le partage
entre Hersant et Tapie


© VALERY HACHE / AFP

Bernard Tapie et la famille Hersant son parvenus à un accord sur le partage des titres de presse de Groupe Hersant Media (GHM), entre la famille Hersant et le groupe Bernard Tapie.

"Nous sommes parvenus à un accord mais le protocole d'accord nous impose une clause de confidentialité" a déclaré à l'AFP M. Bernard, confirmant une information des Echos. Le directeur général de GHM, qui est également PDG du groupe Nice-Matin n'a pas souhaité "faire d'autres commentaires". 

Selon les Echos, le compromis prévoit la prise de contrôle du groupe La Provence par le groupe Bernard Tapie, à hauteur de 80 % tandis que GHM en conserverait 20 %. Le groupe Tapie sortant par ailleurs du capital de GHM. 

Corse Matin, actuellement détenu à parité resterait une filiale détenue à 50/50 par La Provence et Nice Matin, selon les Echos.

Un projet d'accord annoncé mi-juillet prévoyait que la famille Hersant reprenait la main sur le groupe Nice-Matin, ainsi que sur France-Antilles, tandis que Bernard Tapie devenait actionnaire à 100% de La Provence.
Un administrateur-conciliateur avait ensuite été désigné, en octobre, pour trouver une solution au partage des titres de presse de GHM entre la famille Hersant et le groupe Bernard Tapie. 

Le 10 décembre, Marc Auburtin, directeur général délégué du groupe La Provence a été nommé président directeur général en remplacement de M. Bernard, démissionnaire.

Dans un communiqué, le groupe avait par ailleurs annoncé qu'Olivier Mazerolle, actuel directeur de la rédaction du quotidien La Provence, serait nommé administrateur lors d'une assemblée générale des actionnaires en janvier 2014.
  • AFP
  • Publié le 22/12/2013 | 10:00, mis à jour le 22/12/2013 | 10:57

jeudi 12 décembre 2013

Jeudi 12 Décembre 2013 - INFORMATIONS SYNDICALES FORCE OUVRIERE - COMMUNIQUE DE PRESSE SUR LA DESINFORMATION DE LA DIRECTION DE CONFORAMA

https://drive.google.com/file/d/0B_UDL0pm46iRMnYyY1JoN1RidGc/edit?usp=sharing
COMMUNIQUE DE PRESSE
Les magasins Conforama ouverts tous les dimanches
ne paient pas double leurs salariés


Depuis la sortie du rapport Bailly, commandé par le gouvernement, qui vise à transformer la loi sur le repos dominical et à abroger l’amendement DEBRE dit loi « CONFOKEA » autorisant les magasins de l’ameublement à ouvrir le dimanche dans toute la France, le PDG de Conforama M. Thierry GUIBERT multiplie les interventions radiophoniques et plaide en faveur des enseignes de l’ameublement dont l’autorisation d’ouvrir 52 dimanches par an pourrait être remise en cause et qualifie l’abolition de ce privilège de véritable catastrophe pour Conforama.
Que le PDG de Conforama défende le travail du dimanche, ne l’autorise pas pour autant à faire de la désinformation auprès des journalistes, du gouvernement et des Français.
En effet, lors de ces « sorties » médiatiques, il affirme que les salariés de Conforama sont payés double le dimanche.
C’est totalement FAUX, le paiement double ne concerne que les salariés qui travaillent exceptionnellement le dimanche.
Pour les employés d’Ile de France et de Plan de Campagne qui peuvent travailler tous les dimanches cela déclenche une majoration ne dépassant pas 70 € bruts. Nous sommes très loin, pour la grande majorité de ces employés, du paiement double de cette journée.
Il nous explique également que les salariés sont volontaires, alors que tous les salariés de Conforama embauchés en Ile de France et sur Plan de Campagne ont une clause dans leur contrat qui stipule qu’ils peuvent être amenés à travailler le dimanche.
Les salariés qui refusent cette clause sont-ils embauchés par la direction de Conforama ?

Des salariés de Conforama se sont mis en grève le 27 novembre 2013 pour revendiquer notamment une augmentation de salaire de 150 € bruts par mois.
Si les salaires étaient décents chez Conforama, les salariés seraient-ils « volontaires » pour travailler le dimanche ?

Le syndicat FEC-FO de Conforama, veut par ce communiqué, rétablir la vérité sur le soi-disant paiement double du dimanche et sur le soi-disant « volontariat » des salariés.
Saint-Quentin, le 12 décembre 2013.

mardi 3 décembre 2013

Mardi 03 Décembre 2013 - INFORMATIONS SYNDICALES FORCE OUVRIERE - COMMUNIQUE DE PRESSE CONTRE LES TENTATIVES DE TOUS BORDS POUR OFFRIR LE TRAVAIL DU DIMANCHE AU PATRONAT DU COMMERCE



COMMUNIQUE DE PRESSE
BAILLY signe un PACT avec le patronat du Commerce

Depuis 2006, seule, FO est repartie en lutte contre le travail illégal le dimanche. Au fur et à mesure d’autres se sont greffés à notre action. Jusqu’à aujourd’hui, FO a démontré que les plus grandes enseignes du commerce faisaient travailler illégalement des salariés le dimanche. Ces actions étaient menées en lieu et place des pouvoirs publics, silencieux en la matière (sauf quelques exceptions). En parallèle, Le lobbying patronal aura trouvé des oreilles parlementaires… 

2008, Isabelle DEBRE, Sénatrice, propose un amendement à la loi Chatel sur la consommation et rend légal le travail illégal dans le secteur de l’ameublement. Certains appellent cet amendement CONFOKEA.

2009, Richard MALLIE, Député, propose une loi pour finir de rendre légal ce qui est illégal en créant le PUCE et de nouvelles règles pour les zones touristiques. C’est la quasi-totalité des grandes enseignes condamnées pour travail illégal le dimanche qui se frottent les mains.

2013, la loi MALLIE n’étant pas encore assez efficace, le rapport BAILLY propose d’augmenter les possibilités de rendre légal ce qui est illégal et en rajoute une couche :
De 5 dimanches, il propose de passer à 12 dont cinq à la discrétion du patron. Aucun volontariat n’est proposé, donc le salarié non volontaire pourra sûrement être viré.
• Il propose de faire disparaître les PUCE et les ZONES TOURISTIQUES par le PACC et le PACT avec des possibilités plus importantes d’ouvrir des magasins le dimanche, en modifiant les règles de délimitation. Il suffit de 20 000 m2 de zone commerciale pour repartir avec son PACC (une grande surface d’ameublement ou de bricolage les couvre largement).
• Les salariés des TPE ne seraient plus que des salariés de seconde zone, car ils seraient exclus des majorations obligatoires. On règle les distorsions de concurrence entre les entreprises par la discrimination entre les salariés.
• La remise en cause des textes nationaux (code du travail, conventions collectives) par des accords dans les territoires, sur les sites et/ou d’entreprises… 

Comme le disait JAURES : « Quand les hommes ne peuvent plus changer les choses, ils changent les mots ». Dans ce cas tout est une question de volonté. Nous allons continuer d’analyser l’impact d’une telle proposition et en particulier le risque sur les emplois CDI – TEMPS PLEIN de la semaine et dans les magasins qui n’auront pas la force d’ouvrir un 7ème jour.

TOUS les Parlementaires depuis trois législatures et les deux derniers Présidents de la République ont été régulièrement informés par FO, aux moyens de différents courriers sur les problèmes engendrés par l’amendement DEBRE et la loi MALLIE.

Aujourd’hui, la solution proposée est pire, FO continuera à informer les représentants de la République une et indivisible de l’impact anti-démocratique de cette proposition. C’est par l’appel à la grève des employés du Commerce, le 23 mai 1869, et par la constitution de syndicats prémices de la FEC FO, que 37 ans plus tard fut obtenu le repos dominical en 1906, qui permit de ratifier la convention 106 de l’OIT en 1971. C’est en 5 ans, que les patrons voudraient anéantir ce droit avec l’aide de Parlementaires peu regardant, tels que Mme DEBRE, M. MALLIE et ceux qui ont voté les textes. Qui, en connaissance de cause, portera un projet de loi qui finirait d’anéantir le REPOS HEBDOMADAIRE COMMUN ?

FO demande le respect de la convention 106 de l’OIT et de l’article L.3132-3 du Code du Travail qui dit : « Dans l'intérêt des salariés, le repos hebdomadaire est donné le dimanche. »

Paris, le 3 décembre 2013