jeudi 21 novembre 2013

Jeudi 21 Novembre 2013 - DECLARATION DE LA COMMISSION EXECUTIVE CONFEDERALE FORCE OUVRIERE SUR LA LOI SCELERATE SUR LES RETRAITES



DECLARATION DE LA COMMISSION
EXECUTIVE CONFEDERALE



Augmentation du nombre de plans sociaux et du chômage, baisse du pouvoir d’achat, accroissement de la pauvreté, remise en cause du service public républicain, recul de l’âge du départ en retraite marquent la situation actuelle et le mécontentement des salariés, actifs, chômeurs et retraités.



Dans ce contexte, le rôle du syndicalisme libre et indépendant est de représenter et défendre les intérêts matériels et moraux des salariés, par la négociation comme par l’action.



Pour la Commission Exécutive de FORCE OUVRIERE, il est prioritaire de rompre avec la logique d’austérité suicidaire socialement, économiquement et démocratiquement découlant du Pacte Budgétaire Européen. On ne guérit pas les effets sans s’attaquer aux causes.



Il en est de même en matière de lutte contre le racisme, la xénophobie et l’antisémitisme, lutte consubstantielle au syndicalisme libre et indépendant.



Sans remise en cause de la politique économique menée au plan européen et national, faite de rigidité économique et de flexibilité sociale, cette lutte ne serait que de la communication politicienne.



Dans ce contexte et sans s’immiscer dans les campagnes politiques du 1er semestre 2014, la Commission Exécutive de FORCE OUVRIERE soutient la manifestation devant l’Assemblée Nationale, le 26 novembre, et les initiatives départementales contre le projet de loi sur les retraites que FORCE OUVRIERE rejette.



Elle décide :



  • De demander à ses structures de développer des réunions et assemblées générales afin de dresser les revendications et d’alimenter le rapport de force, la Commission Exécutive étant mandatée pour décider de toute action, y compris la grève ;



  • Grand Meeting National à Paris le mercredi 29 janvier 2014.



Pour la Commission Exécutive toute action interprofessionnelle aujourd’hui nécessaire, compte tenu de la situation sociale tendue, doit porter sur l’augmentation des salaires, la défense de l’emploi, le service public républicain, contre l’austérité, la loi sur les retraites et la loi sur la sécurisation de l’emploi issue de l’ANI du 11 janvier.



Pour sa part, la Commission Exécutive déclare que la confédération FORCE OUVRIERE est prête à toute initiative sur ces bases.



Adoptée à l’unanimité

Paris, le 21 novembre 2013


mercredi 6 novembre 2013

Mercredi 06 Novembre 2013 - Réactions dans la Presse suite à la Conciliation

http://www.jeanmarcmorandini.com/article-312194-des-ex-salaries-de-paru-vendu-assignent-hersant-media-aux-prud-hommes.html

Des ex-salariés de Paru Vendu assignent Hersant Média aux prud'hommes 

Les Prud'hommes de Lyon examineront le 30 septembre 2014 le dossier opposant des ex-salariés de Comareg, l'éditeur du journal gratuit d'annonces "Paru Vendu" liquidé fin 2011 et d'Hebdoprint à leur ancien employeur, Groupe Hersant Médias (GHM), a-t-on appris mardi auprès de leur avocat.
Ces quelque 356 anciens salariés de Comareg et d'Hebdoprint contestent la validité de leur licenciement et réclament des dommages-intérêts à GHM, propriétaire des deux sociétés liquidées.
Une audience de conciliation, qui s'est tenue mardi, n'a pas abouti et le tribunal a donc fixé une audience de jugement au 30 septembre prochain, a expliqué à l'AFP Me Gilles Bauer, défenseur des licenciés de Hebdoprint.
Selon Jean-Paul Fabre, ex-secrétaire du Comité d'hygiène, de sécurité et des conditions de travail(CHSCT) de Hebdoprint, les 217 anciens salariés de la Comareg et les 139 de Hebdoprint font valoir leur situation de "coemploi", puisque GHM "intervenait directement dans les affaires de ses filiales".
Selon Me Bauer, GHM se comportait donc "comme un coemployeur" et avait par conséquent "l'obligation de conserver" ses salariés - ou de les licencier en respectant les critères légaux.
Les 356 requérants contestent en outre la cause de leur éviction. Les difficultés économiques du pôle presse gratuite de GHM avaient conduit en novembre 2011 à la liquidation judiciaire des deux entités, prélude aux licenciements. 


http://rhone-alpes.france3.fr/2013/11/06/le-groupe-hersant-assigne-aux-prud-hommes-par-les-ex-salaries-de-paru-vendu-352415.html

Les ex-salariés de "Paru-vendu" assignent le groupe Hersant aux Prud'hommes

Les 356 salariés licenciés de Comareg et Hebdoprint liquidés fin 2011 vont assigner aux Prud'hommes le groupe Hersant Médias pour licenciement abusif. Ces ex-salariés travaillaient pour "Paru-vendu". La conciliation qui s'est tenue hier n'a pas abouti, l'audience est donc fixée au 30 septembre 2014.

Les salariés de "Paru -vendu" lors d'une manifestation à Paris en Mars 2012
Les salariés de "Paru -vendu" lors d'une manifestation à Paris en Mars 2012
Les Prud'hommes de Lyon examineront le 30 septembre 2014 le dossier opposant des ex-salariés de Comareg, l'éditeur du journal gratuit d'annonces "Paru Vendu" liquidé fin 2011 et d'Hebdoprint à leur ancien employeur, Groupe Hersant Médias (GHM), selon leur  avocat,Me Gilbert Bauer .

Ces quelque 356 anciens salariés de Comareg et d'Hebdoprint contestent la validité de leur licenciement et réclament des dommages-intérêts à GHM, propriétaire des deux sociétés liquidées. Une audience de conciliation, qui s'est tenue mardi, n'a pas abouti et le tribunal a donc fixé une audience de jugement au 30 septembre prochain.

Selon Jean-Paul Fabre, ex-secrétaire du Comité d'hygiène, de sécurité et des conditions de travail(CHSCT) de Hebdoprint, les 217 anciens salariés de la Comareg et les 139 de Hebdoprint font valoir leur situation de "coemploi", puisque GHM "intervenait directement dans les affaires de ses filiales". Selon Me Bauer, GHM se comportait donc "comme un "coemployeur" et avait par conséquent "l'obligation de conserver" ses salariés - ou de les licencier en respectant les critères légaux.

Les 356 requérants contestent en outre la cause de leur éviction. Les difficultés économiques du pôle presse gratuite de GHM avaient conduit en novembre 2011 à la liquidation judiciaire des deux entités, prélude aux licenciements.

Par Philippe Bette
Publié le 06/11/2013 | 08:45, mis à jour le 06/11/2013 | 09:34

 
http://www.lyonpremiere.com/Des-ex-salaries-de-Paru-Vendu-assignent-Hersant-Media-aux-prud-hommes_a2960.html

Des ex-salariés de Paru Vendu assignent Hersant Média aux prud'hommes

Mardi 5 Novembre 2013


Les Prud'hommes de Lyon examineront le 30 septembre 2014 le dossier opposant des ex-salariés de Comareg, l'éditeur du
journal gratuit d'annonces Paru Vendu liquidé fin 2011, et d'Hebdoprint, à leur ancien employeur, Groupe Hersant Médias.
 
Ces quelque 356 anciens salariés de Comareg et d'Hebdoprint contestent la validité de leur licenciement et réclament des dommages-intérêts à GHM, propriétaire des deux sociétés liquidées.
 
Une audience de conciliation, qui s'est tenue ce mardi, n'a pas abouti et le tribunal a donc fixé une audience de jugement au 30 septembre prochain. Les 217 anciens salariés de la Comareg et les 139 de Hebdoprint font valoir leur situation de "co-emploi", puisque GHM "intervenait directement dans les affaires de ses filiales".
 
Les 356 requérants contestent en outre la cause de leur éviction. Les difficultés économiques du pôle presse gratuite de GHM avaient conduit en novembre 2011 à la liquidation judiciaire des deux entités, prélude aux licenciements.

Avec AFP


 





Paru Vendu : les prud’hommes régleront le contentieux entre Hersant et les anciens salariés

Ce mardi, une audience de conciliation avait lieu entre les 356 ex-salariés de Comareg et Hebdoprint et leur ancien employeur.

Et le Groupe Hersant Médias ne les a pas convaincu. La justice se saisira alors du dossier avec une audience des prud'hommes de Lyon le 30 septembre 2014. Ces derniers s'exprimeront sur la validité du licenciement des anciens salariés de l'éditeur du journal gratuit Paru Vendu.

Selon les anciens salariés, GHM, propriétaire des deux sociétés liquidées, avait pour obligation de les conserver ou bien de les licencier en respectant les critères légaux après la fin de Paru Vendu en 2011. L'avocat des ex-salariés d'Hebdoprint, Me Bauer, dans des propos relayés par l'AFP, met également en cause la "mauvaise gestion" de GHM qui absorbait les profits de Comareg et Hebdoprint sans les réinvestir pour préparer "le passage au numérique".

Pour rappel, la liquidation de Paru Vendu, journal gratuit d'annonces, avait laissé 1650 salariés sur le carreau en 2011. Trois repreneurs potentiels avaient fait preuve d'intérêt à l'époque mais l'un s'était retiré et les deux autres avaient été jugés non recevables par l'administrateur judiciaire.

 

http://www.tahiti-infos.com/Des-ex-salaries-de-Paru-Vendu-assignent-Hersant-Media-aux-prud-hommes-le-30-septembre_a87293.html?com

Des ex-salariés de Paru Vendu assignent Hersant Média aux prud'hommes
le 30 septembre


Des ex-salariés de Paru Vendu assignent Hersant Média aux prud'hommes le 30 septembre
LYON, 5 novembre 2013 (AFP) - Les Prud'hommes de Lyon examineront le 30 septembre 2014 le dossier opposant des ex-salariés de Comareg, l'éditeur du journal gratuit d'annonces Paru Vendu liquidé fin 2011, et d'Hebdoprint, à leur ancien employeur, Groupe Hersant Médias (GHM), a-t-on appris mardi auprès de leur avocat.

Ces quelque 356 anciens salariés de Comareg et d'Hebdoprint contestent la validité de leur licenciement et réclament des dommages-intérêts à GHM, propriétaire des deux sociétés liquidées.

Une audience de conciliation, qui s'est tenue mardi, n'a pas abouti et le tribunal a donc fixé une audience de jugement au 30 septembre prochain, a expliqué à l'AFP Me Gilles Bauer, défenseur des licenciés de Hebdoprint.

Selon Jean-Paul Fabre, ex-secrétaire du CHSCT de Hebdoprint, les 217 anciens salariés de la Comareg et les 139 de Hebdoprint font valoir leur situation de "co-emploi", puisque GHM "intervenait directement dans les affaires de ses filiales".

Selon Me Bauer, GHM se comportait donc "comme un co-employeur" et avait par conséquent "l'obligation de conserver" ses salariés - ou de les licencier en respectant les critères légaux.

Les 356 requérants contestent en outre la cause de leur éviction. Les difficultés économiques du pôle presse gratuite de GHM avaient conduit en novembre 2011 à la liquidation judiciaire des deux entités, prélude aux licenciements.

Rédigé par () le Mardi 5 Novembre 2013 à 07:52

mardi 5 novembre 2013

Mercredi 05 Novembre 2013 - LES ECHOS .FR : Petites annonces gratuites : la revanche de ParuVendu.fr

http://www.lesechos.fr/entreprises-secteurs/medias/actu/0203085477023-petites-annonces-gratuites-la-revanche-de-paruvendu-fr-625482.php

Petites annonces gratuites :
la revanche de ParuVendu.fr

Par Valérie Leboucq | 05/11 | 06:00

Racheté l'an dernier par Digital Virgo, le site de petites annonces gratuites s'est relancé grâce à son fort ancrage dans les villes petites et moyennes.

Avec ParuVendu.fr, pas besoin de créer un compte. Une photo de l\'objet assorti de son prix, envoyée par mail au site suffit à assurer la diffusion de l\'annonce. - Photo ParuVendu
Avec ParuVendu.fr, pas besoin de créer un compte. Une photo de l'objet assorti de son prix, envoyée par mail au site suffit à assurer la diffusion de l'annonce. - Photo ParuVendu

Il y a une vie après la liquidation. Sauvée du naufrage de la Comareg, pôle de presse gratuite du Groupe Hersant Media, la plate-forme digitale de petites annonces ParuVendu.fr fait mieux que résister à son grand rival Leboncoin. A l'image de l'irréductible village gaulois d'Astérix, le site, qui revendique 3 millions de visiteurs uniques par mois (18 millions pour Leboncoin), s'est relancé sous l'impulsion de Laurent Radix, un des managers de son repreneur, Digital Virgo (ex-SFR). Spécialiste de l'entertainment sur mobile, la société a grandi par croissance externe, notamment avec le rachat du catalogue musique et jeux de Virgin.
Pour revenir dans la course, le président de ParuVendu.fr et l'équipe de 25 salariés (à ses beaux jours, la Comareg en a compté plus d'un millier !) ont cherché à se différencier le plus possible de leurs grands rivaux.

GRATUITE TOTALE ET PRESENCE MULTISUPPORT

Sur ParuVendu.fr, la gratuité des PA s'étend dans la durée (quand l'objet reste longtemps en vente) ou quand le vendeur veut en modifier la teneur (changer le prix par exemple). Une modification qu'ailleurs on peut facturer jusqu'à 3 euros. « Sur un prix moyen de 30 à 40 euros, croyez-moi, cela compte », relève Laurent Radix.
Autre élément différenciant : la présence multisupport des petites annonces de ParuVendu.fr. On les consulte sur le site, mais aussi sur mobiles et tablettes. ParuVendu.fr démultiplie de surcroît leur visibilité grâce à la publication instantanée sur Facebook. « Last but not least », pour les illettrés du Net ou les paresseux : la simplicité du mode de dépose des annonces. Pas besoin de créer un compte. Une photo de l'objet assorti de son prix, envoyée par mail au site suffit à assurer la diffusion de son annonce.

RETOUR DU PAPIER

C'est bien sûr la grande différence avec les « pure players ». ParuVendu.fr a relancé des éditions papier de ses petites annonces en régions dans 70 villes petites et moyennes. Financées par les annonceurs locaux, elles recensent toutes les promotions et bonnes affaires de la semaine. Rien qu'à Roanne, 70.000 exemplaires sont glissés dans les boîtes au lettres par Mediapost . « Avec un taux de prise en main de 15 %, cela reste un moyen efficace de création de trafic en magasins », se félicite Laurent Radix.

ECHANGE ET TROC

Le manager croit au développement de l'économie collaborative. ParuVendu.fr a donc lancé une rubrique d'échanges de biens et de services sur lesquels aucune commission n'est prélevée. Le succès spectaculaire de RBnB dans l'échange d'appartement et de maison offre une piste de développement futur, estime-t-il. Un levier d'autant plus facile à actionner que le site est déjà connecté à Facebook.
Tous ces efforts commencent à payer. « Quand nous avons repris le site, 90 % des visiteurs consultaient aussi Leboncoin. Ce taux est tombé à 60 % », constate le manager. ParuVendu s'est également attaqué au problème de l'arnaque en ligne, dont le nombre a été divisé par 3 depuis la reprise par Digital Virgo.
Autre signe encourageant, le retour des annonceurs institutionnels sur le site, les organismes de crédits à la consommation (Cetelem, Sofinco...) et les réseaux immobiliers.
Valérie Leboucq

Hit-parade des PA
Immobilier Leboncoin : 8,29  millions de visiteurs uniques (vu) par mois (m) SeLoger.com : 3,93 millions de vu/m Particulier à Particulier : 2,7 millions de vu/m Logic-Immo.com : 1,84 million vu/m ParuVendu.fr : 1,38 million vu/m
Automobile Leboncoin : 8,14  millions de visiteurs uniques par mois Centrale/Caradisiac : 2,48 millions de vu/m Autoplus, Autoreflex : 1,84 million vu/m L'argus/321 Auto : 1,8 million vu/m
ParuVendu.fr : 1,35 million vu/m Source : Médiamétrie

Mardi 05 Novembre 2013 : Conciliation



CONSEIL DES PRUD'HOMMES LYON
20 Boulevard Eugène Deruelle, 69003 Lyon 

CONCILIATION
Mardi 05 NOVEMBRE à 14h30
Pour ceux qui ont déposé un dossier
vous pourrez y participer
... Prière de le faire savoir !

Vous êtes en train de recevoir par voie postale la convocation pour assister à la Conciliation au Conseil des Prud'hommes.
Suite logique à la saisine faite le 05 juillet 2013.
A partir du moment ou votre dossier est complet (mandat, note d'informations, convention d'honoraires et paiement le cas échéant) nos avocats vous représenteront et vous pourrez exprimer vos remarques/doléances. Si vous êtes absents, DES QU'ILS AURONT REÇU LE MANDAT AVEC COPIE DE VOTRE PIÈCE D’IDENTITÉ ces derniers pourront vous représenter et voire concilier dans l’hypothèse la plus favorable.
Pour ceux qui veulent y participer me le confirmer par courriel avant le 10 octobre 2013 car je dois communiquer le chiffre au Greffe du Conseil des Prud'hommes pour une bonne gestion des salles d'audience.
Des possibilités de co-voiturage sont possibles pour réduire les frais entre anciens de Comareg et d'Hebdoprint habitant dans la même zone géographique.
Rapprochez-vous entre vous.
Pour mémoire nous sommes 357 à ce jour.