mardi 7 février 2012

Lundi 06 Février 2012 - Mots Croisés (Emission débat France2)

A la 59ème minute, sortie de Nathalie ARTHAUD parlant de ParuVendu, Comareg et Hebdoprint ...  
 
Lundi 6 février à 22h45
Au sommaire

Doit-on copier le modèle allemand ?  (émission en rediffusion en cliquant sur le lien)

@MotsCroises
vous invite à commenter le débat sur Twitter avec le hashtag : #motscroises
Les invités :
Laurent WAUQUIEZ
Ministre de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche
Auteur de "La lutte des classes moyennes" aux éditions Odile Jacob
Arnaud MONTEBOURG
Député et président du conseil général de Saône-et-Loire
Secrétaire national à la rénovation du Parti Socialiste
Auteur de "Votez pour la démondialisation" aux éditions Flammarion
Dominique de VILLEPIN
Ancien Premier Ministre (mai 2005 à mai 2007)
Candidat de République Solidaire à l’élection présidentielle
Auteur de "Notre vieux pays" aux éditions Plon
Nathalie ARTHAUD
Porte-parole de Lutte Ouvrière
Candidate de Lutte Ouvrière à l’élection présidentielle
Jacqueline HENARD
Journaliste et essayiste allemande



lundi 6 février 2012

Lundi 06 Février 2012 - La Marseillaise "Une page se tourne"

Une page se tourne

06-02-2012

Dernière mise à jour : ( 06-02-2012 )

2011 aura marqué un tournant dans l’histoire de la presse écrite ROBERT TERZIAN
2011 aura marqué un tournant
dans l’histoire de la presse écrite
ROBERT TERZIAN

France-Soir et La Tribune ont disparu des kiosques pour la Toile. La presse écrite française amorce un nouveau virage.

Le papier s’est envolé. Serait-il désormais prisonnier de la Toile ? Le 13 décembre, le journal de Pierre Lazareff cessait de paraître. La Tribune sortait son dernier numéro papier le 30 janvier 2012. Deux titres qui ont fait l’histoire de la presse écrite française. Mais de quoi cette histoire sera faîte demain ?
La disparition des éditions papiers de ces deux journaux en faveur d’une édition numérique est le symptôme d’une presse en crise. Crise de la diffusion, restrictions publicitaires, hausse des coûts de fabrication et de distribution, concurrence des gratuits, de la télévision, de la radio et d’Internet. Les raisons du malaise sont multiples. Les remèdes difficiles à trouver. Comme en témoigne la tenue en 2008 des Etats Généraux de la presse puis la mise en place d’un vaste plan d’aides sur trois ans.
Aujourd’hui, la réalité est telle que les quotidiens français, les moins rentables d’Europe, sont obligés de repenser leur modèle économique. Dans un tel contexte, Internet ouvre le champ des possibles. Mais la presse sur le net n’a pas encore trouvé “son” modèle.
2011 aura marqué un tournant dans l’histoire de la presse écrite. Avec de nouveaux mouvements de concentration. Le Groupe Hersant Média s’est ainsi associé au groupe Rossel. La disparition de deux titres nationaux. La réorganisation et la redéfinition des rédactions. Du print au web.

Un budget 2012 en baisse

Les conséquences sont la suppression de centaines de postes. Le danger, la fin du pluralisme de la presse et de “sa mission de service public”. C’est en ces termes qu’André Gattolin est intervenu en novembre dans le cadre du projet de loi de finances 2012. “Pourquoi aide-t-on la presse écrite ?” a rappelé le sénateur EELV des Hauts de Seine. Avant de livrer un long plaidoyer pour “répondre à l’ampleur des défis auxquels ce secteur est confronté”. Dénonçant le “manque de vision stratégique d’ensemble, cohérente et équitable sur la dépense publique (…)” du projet gouvernemental, il a rappelé que malgré tout “l’heure (..) est aux investissements d’avenir”. Au budget 2012, le recul de 6,4% des aides directes par rapport à 2011 ne marque pas une telle volonté. Tout comme la réduction de 34% des aides au portage ou encore la baisse de 8% des aides à la modernisation de la presse. Au final, la part allouée à la presse en 2012 sera de 390 millions d’euros, soit une baisse de 7%. Il y a la réalité des chiffres. Celle d’une mise en danger du pluralisme aussi. Alors comment faire pour que vive ce pluralisme ?
Dans une tribune publiée le 31 janvier dernier dans l’Humanité, le Front de Gauche a émis ses propositions. “Une loi contre les concentrations dans la presse, les médias et l’audiovisuel”, mais aussi un “Pôle Public des Médias” et un “Conseil National des médias”. Il avance également “la recapitalisation de Presstalis” (ex NMPP) et une refonte du système des aides directes et indirectes à la presse.
La veille, le Parti socialiste, par la voix de la députée de Moselle, Aurélie Filippetti, s’est prononcé en faveur “d’une réorientation de la grande majorité des aides vers la presse qui s’adresse au citoyen”.
Mais aujourd’hui, au-delà des divergences politiques et syndicales, c’est bien l’avenir de la presse qui est en jeu. Ce quatrième pouvoir qui, sous le quinquennat de Nicolas Sarkozy, a mis à jour les affaires Clearstream, Bettencourt et Karachi. Celui-là même qui permet à la liberté d’opinion et à la démocratie de s’exprimer.

S.G

dimanche 5 février 2012

Dimanche 05 février 2012 - Article Libération " Pour Xavier Bertrand la reprise de Lejaby n'est pas une opération politicienne"

05/02/2012

Pour Xavier Bertrand la reprise de Lejaby n'est pas une opération politicienne

POLITIQUE - Vendredi, Xavier Bertrand, le ministre du Travail, est venu à la rencontre des chefs d'entreprise à Villefranche-sur-Saône (Rhône). L'occasion de l'interroger sur les conditions de la reprise du site d'Yssingeaux (Haute-Loire) de Lejaby, à quelques mois de l'élection présidentielle. Et de lui demander si le copinage peut tenir lieu de politique économique.
La question peut se poser sachant que Laurent Wauquiez, le ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche est maire du Puy, ville voisine d'Yssingeaux. Qu'il est également un ancien camarade de classe du repreneur, Vincent Rabérin, PDG de Sofama. Que Sofama travaille notamment pour LVMH, dont le PDG, Bernard Arnault, est un proche de Nicolas Sarkozy. Et que le chef de l'Etat a déclaré qu'il ne «laisserait pas tomber Lejaby».
Pour Xavier Bertrand cette opération n'est pas politicienne. A preuve : «On le fait tout le temps, Madame. On ne laisse pas les gens sans rien. On se bat pour trouver des solutions. Soit pour garantir de l'activité. Soit pour garder l'activité. Et quand c'est pas possible, pour reclasser les salariés et leur retrouver une autre activité».
A propos de Lejaby, Nicolas Sarkozy avait déclaré : «Je ne serai pas M. Jospin face à Vilvorde : on n'y peut rien». Allusion à l'impuissance avouée du Premier ministre d'alors face à la fermeture, en 1997, par le groupe Renault, d'une usine, qui avait laissé 3100 ouvriers sur le carreau
Réponse copié-collé de Xavier Bertrand . «On n'est plus à l'époque de Monsieur Jospin qui disait que pour Vilvorde on peut rien faire». «C'est pas notre registre. Il est hors de question de baisser les bras. C'est pas dans notre tempérament», poursuit-il.
Et le ministre du Travail de poursuivre : «Je pourrais vous donner de nombreux exemples où l'on trouve des solutions. Sauf que lorsqu'il y a des reprises d'activités, on en parle pas toujours autant que Lejaby sur lequel il y a beaucoup d'actualité médiatique».
Illustration citée par Xavier Bertrand : la Comareg /Hebdoprint, société éditrice de ParuVendu, journal d'annonces gratuites, dont la liquidation, début novembre, a été à l'origine du plus gros plan social de l'année : 1650 salariés se sont retrouvés au chômage. «Il n'est pas question de laisser tomber ces personnes. On a mis en place un forum sur l'emploi à Lyon, qui a déjà eu de vrais résultats, et on va continuer», répond Xavier Bertrand.
Le 31 Janvier, Jean-Louis Bianco, député PS des Alpes-de-Haute-Provence, a pourtant interpellé le ministre du Travail sur ce dossier, lui reprochant de ne se pas se mobiliser suffisamment : «Alors que des aides financières complémentaires et autres mesures d'accompagnement ont été heureusement proposées dans le cas du dossier SeaFrance, (je) (m)'étonne de ne pas constater la même mobilisation du gouvernement concernant le dossier Comareg / Hebdoprint qui laisse supposer un traitement électoraliste.(Je) lui demande quelles mesures urgentes le gouvernement compte prendre pour venir en secours à ces salariés».
Pour Xavier Bertrand, la mobilisation du gouvernement contre les fermetures d'entreprises montre son efficacité : «Autrement, le chômage exploserait en France. Or, il augmente mais il n'explose pas comme dans certains pays».
Catherine Coroller

vendredi 3 février 2012

Vendredi 03 Février 2012 - Avenant n°1 portant modification de l'article 13 de la convention du 19 juillet 2011 relative au Contrat de Sécurisation Professionnelle

Vendredi 03 Février 2012 - Avenant n°1 portant modification de l'article 13 de la convention du 19 juillet 2011 relative au Contrat de Sécurisation Professionnelle



Vendredi 03 Février 2012 - Le Journal du Net : ParuVendu.fr accélère ses développements avec Digital Virgo

ParuVendu.fr accélère ses développements avec Digital Virgo Publié le 03/02/2012, 11h14

paruvendu
Le nouveau propriétaire de ParuVendu veut renforcer le leadership du site sur le marché des petites annonces immo et auto et développer ses offres autour de l'emploi, des bonnes affaires et des vacances.

Digital Virgo, qui a repris ParuVendu.fr, annonce la continuité des activités du site et l'accélération de ses développements avec des salariés ex-Comareg. Depuis début janvier, ParuVendu.fr, détenu par Digital Virgo, continue le développement de nouvelles fonctionnalités pour les professionnels et les particuliers. Une force de vente de 70 commerciaux est déployée sur le terrain ainsi qu'une équipe dédiée aux ventes en ligne. Un support client pro dédié et un service client pour les particuliers ont été mis en place.

"Avec l'acquisition de ParuVendu.fr, acteur historique des petites annonces, bien ancré et à très forte notoriété (85% de notoriété globale), Digital Virgo poursuit l'enrichissement de son bouquet de services Internet" explique Emmanuel Florent, président de ParuVendu.fr et directeur général de Digital Virgo. "Notre ambition est de renforcer le leadership de ParuVendu.fr sur le marché des petites annonces immo et auto et de développer ses offres autour de l'emploi, des bonnes affaires, des vacances... Digital Virgo dispose du savoir-faire et de moyens importants en matière de développement d'audience Internet fixe et mobile, avec près de 30 millions d'euros d'investissements publicitaires en France en 2012."

mardi 31 janvier 2012

Mardi 31 janvier 2012 - Questions au Ministre BERTRAND de la part de Jean-Louis BIANCO

Type de questions QE
Ministère interrogé : ECO - Ministère de l'économie, des finances et de l'industrie 
Question n° 04-00581 : reçue - du : date non fixée

M. Jean-Louis Bianco interroge M. le ministre de l'économie, des finances et de l'industrie sur le sort des employés de la société Comareg / Hebdoprint. Reçus par le ministre du travail, de l'emploi et de la santé le 1er décembre 2011, les élus du comité d'entreprise de cette société, dont la liquidation judiciaire avait été prononcée quelques semaines plus tôt par le tribunal de commerce de Lyon, ne s'étaient vu proposer aucune véritable mesure d'accompagnement. Aucune aide financière complémentaire n'avait été proposée par le gouvernement, laissant dans la plus grande solitude et exaspération les quelques 3.200 salariés licenciés sur les deux dernières années. Les difficultés d'indemnisation que rencontrent ces personnes (dues au retard des dossiers CSP), les retards de solde de tout compte et autres anomalies ont contribué à les placer dans une plus grande précarité encore. Alors que des aides financières complémentaires et autres mesures d'accompagnement ont été heureusement proposées dans le cas du dossier SeaFrance, il s'étonne de ne pas constater la même mobilisation du gouvernement concernant le dossier Comareg / Hebdoprint qui laisse supposer un traitement électoraliste. Il lui demande quelles mesures urgentes le gouvernement compte prendre pour venir en secours à ces salariés.

Mardi 31 janvier 2012 - Lettre Ouverte à Hersant de la part du Collectif PARUCHOMDU



lundi 30 janvier 2012

A quoi sert Sodie,
Après un appel passé le 24 janvier à Mme Sestier qui gère mon dossier sur Avignon,
j'attend toujours l'appel de son collègue qui doit prendre contact avec moi (vue que Mme Sestier est en maladie) soit disant dans les plus brefs délais . . .

dimanche 29 janvier 2012

Dimanche 29 janvier 2012 - Emission de M6 "66 minutes" avec un reportage sur l'occupation de l'Imprimerie de Tinqueux (51)

66 Minutes
(3ème reportage sur les quatre que comporte l’émission,
environ 26 minutes après le début de l'émission)

Licenciements : le dernier combat - Élise Richard
Fabrice a 45 ans, deux enfants, un crédit à payer sur sa maison… et il vient de perdre son boulot. C’est l’une des victimes du plus gros plan social de l’année : 1 600 salariés licenciés chez Paru Vendu, le journal de petites annonces entre particuliers. Les recettes publicitaires de cette presse gratuite ont fondu comme neige au soleil avec l’arrivée des sites d’annonces sur Internet, et l’imprimerie a dû cesser son activité. Alors Fabrice et ses collègues ont décidé d’occuper les locaux pour faire monter la pression. Leur objectif : arracher au propriétaire un gros chèque pour amortir le choc du chômage. Nous les avons suivis, entre révolte et résignation, pendant plusieurs semaines.

vendredi 27 janvier 2012

Vendredi 27 janvier 2012 - Réponse à la lettre du Ministre Xavier BERTRAND

Monsieur

Nous vous remercions de votre action et avons bien lu le courrier de M. X. Bertrand. Malheureusement, nous sommes tous fort déçus de la réponse de ce dernier. 

Nous avons bien noté l'effort que fait le gouvernement sur l'organisation spéciale du Pôle Emploi pour traiter rapidement les dossiers qui tardaient à être envoyés par le liquidateur ainsi que pour la mise en place d'une cellule de reclassement de six mois en sus du CSP. Mais comment se fait-il que ce soit l'Etat qui supplée à la défaillance de Groupe Hersant Média ? Nous, contribuables, payons notre propre cellule de reclassement ! C'est quand même un comble. Le gouvernement a-t'il un jour, l'intention de demander des comptes à M. Hersant ? Nous entendons beaucoup parler des sociétés Sea France, Lejaby... qui connaissent malheureusement les mêmes affres que nous. Comment se fait-il que personne au gouvernement n'évoque la situation des salariés d'Hebdoprint/Comareg ? 2600 personnes sur l'année 2011 dont 1650 lors de la liquidation! 

La réponse de M. le Ministre ne nous satisfait pas également sur un autre point : il n'est pas fait état d'une action sur l'actionnaire pour l'attribution d'indemnités supra-légales. Il y est indiqué que M. Bertrand  s'assure que M. Hersant règle bien les 14 millions d'euros qu'il s'était engagé à régler fin septembre auprès du Tribunal de Commerce. Cela permettra sans doute au liquidateur de règler les indemnités supra-légales encore dues aux salariés licenciés lors des précédents PSE. Mais quid des 1650 restants ? 

Nous voudrions rappeler également ce que nous avons demandé lors de cette dernière table ronde :
- de part le retard pris par le liquidateur dans l'envoi des dossiers au Pôle Emploi, il s'est passé un mois et demi. Certes, le côté financier sera réglé rétroactivement mais qu'en est-il de l'accompagnement par le Pôle Emploi? Ce mois et demi ne sera jamais rattrappé. Or, le but de chacun est de se reconvertir pour trouver un nouvel emploi et nous savons tous que cela sera long.
- il n'est rien mentionné sur le financement des formations nécessaires à la reconversion des salariés. Nous avons indiqué, lors de la table ronde en préfecture, que le montant de 15 euros de l'heure est loin d'être suffisant pour assurer une reconversion complète.

Ce mail peut vous sembler sévère car nous mesurons vos efforts pour défendre nos intérêts. Mais l'exaspération monte. Au désarroi de se retrouver sans emploi, se sont rajoutés les soucis pécuniers et il nous a fallu beaucoup d'actions pour les régler et faire accélérer l'arrivée des dossiers au Pôle Emploi. Nous avons besoin d'une reconnaissance du drame qui nous a tous touché car, fin 2011, l'actionnaire nous a dit : voici des cordes, la poutre est dans le hangar où vous trouverez également des tabourets à votre disposition. Il n'est pas question qu'en plus, nous fournissions les coussins pour qu'on n'entende pas les tabourets tomber.

Je vous remercie de m'avoir lu.

Bien cordialement

Maria Volponi


Vendredi 27 janvier 2012 - Lettre au Président de la République


Le 27/01/2012,
Lettre  à Monsieur le Président de la République

Monsieur le Président,
Les Collectifs des Anciens Salariés de COMAREG et d’HEBDOPRINT reviennent une nouvelle fois vers vous car nous restons sans réponse à notre lettre ouverte du 10 janvier dernier et la colère commence à gronder auprès des anciens collaborateurs de Paruvendu.

Votre absence de réponse et votre silence sont très mal vécus par les 1650 collaborateurs de Comareg et d’Hebdoprint qui ont perdu leur emploi sur 55 départements en France.
Ils sont en colère et se sentent abandonnés par les pouvoirs publics et vos ministères.
De surcroît, nous venons d’apprendre que l’Etat, quand il décide de s’intéresser au sort des salariés d’une entreprise, est tout à fait en mesure de mettre en place  des mesures exceptionnelles.
 En effet, nous constatons que le gouvernement pour certains dossiers comme SEA FRANCE a su déployer des moyens très importants (une enveloppe de 50 millions d’euro de supra-légales pour les 800 salariés, 500 reclassements etc..) alors que le dossier Comareg et Hebdoprint n’a suscité que très peu  d’intérêt de votre part et vous n’êtes même pas intervenu pour soutenir notre Entreprise.
Nous vous rappelons que Paruvendu c’était 3200 salariés il y a 2 ans et 2500 salariés il y a quelques mois encore.
Monsieur le Président, nous insistons car Paruvendu est  le plus grand plan social de France de l’année 2011 et  c’est aussi 1650 salariés abandonnés par notre actionnaire Philippe Hersant qui n’a donné aucunes indemnités supra-légales, mais c’est surtout 1650 familles qui se retrouvent dans la précarité et de surcroit 1650 personnes en colère qui par dignité ne souhaitent pas être oubliés et pour cela ont décidés de se battre.

Nous rappelons que RIEN n’a été fait  pour COMAREG et HEBDOPRINT !
Pourquoi aucunes aides de l’Etat? Parce que le groupe HERSANT est un groupe de presse influent pendant une campagne présidentielle et que Monsieur Philippe Hersant a le bras long auprès du gouvernement et de la presse?
Nous attendons toujours la réponse…

C’est pourquoi, nous souhaitons que l'Etat oblige GHM et Philippe Hersant à prendre leurs responsabilités face à ce désastre social et cette catastrophe économique, nous demandons donc à plan social exceptionnel des mesures d'autant plus exceptionnelles d'accompagnement des salariés  et pour cela nous comptons sur vous, Monsieur le Président…
Nous rappelons que les salariés de Comareg ne souhaitent pas essuyer  les erreurs de stratégie de notre actionnaire, car un tel gâchis ne peut pas rester impuni et sans mesures appropriées.....
Les Collectifs Paruvendu des entreprises Comareg et Hebdoprint ont décidé de continuer à se battre afin d’être traité avec respect et dignité, c’est pourquoi des mouvements de grandes ampleurs se préparent pour médiatiser en plus haut lieu cette affaire avec l’aide si besoin d’autres partis politiques, de préfets, de maires et de la presse.

Nous vous informons que les salariés Paruvendu ne baisseront pas les bras et leur colère se fera entendre dans les semaines à venir dans les rues, la presse, auprès des organisations syndicales et auprès de nombreux politiques prêts à nous soutenir.

Monsieur le Président nous comptons sur vous car 1650 salariés ont décidés de ne pas accepter cette injustice sociale et veulent qu’Hersant assume ses responsabilités et ses choix et ils utiliseront tous les moyens nécessaires pour se faire entendre.

Cordialement,
Les Collectif des Salariés Paruvendu
(Comareg et les 2 Hebdoprint)