2550 familles sacrifiées par Ph.HERSANT Ce site retrace le combat de la plus grande liquidation de 2011 passée sous silence par les politiques de tous bords en pleine campagne présidentielle : De "Sarkosy à Hollande - "Moi President ! en scooter" un silence assourdissant.... Ce blog était le lien sur l'ensemble de la France pour tenir informer les sacrifiés de la Presse Gratuite d'Annonces par GMH et son actionnaire principal Philippe HERSANT - 100 eme plus grosse fortune de France
jeudi 30 janvier 2014
Lundi 30 Janvier 2014 - Insolite - DEVENEZ MEMBRE AU GOLF PARC ROBERT HERSANT
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jeudi, janvier 30, 2014
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vendredi 10 janvier 2014
Vendredi 10 Janvier 2014 - LE MONDE / AFP : Bernard Tapie injecte 6 millions d'euros dans La Provence
Bernard Tapie injecte
6 millions d'euros
dans La Provence
« Depuis le 8 janvier 2014, GBT (Groupe Bernard
Tapie) devient actionnaire majoritaire du groupe La Provence avec 80 % des
parts ». Dans un communiqué publié vendredi 10 janvier, Marc Auburtin,
président-directeur général du journal, a ainsi confirmé la reprise du journal,
assortie d'une augmentation de capital de La Provence d'un
montant de six millions d'euros, ainsi que de la sortie intégrale du groupe de
Bernard Tapie du capital de Groupe Hersant Médias (GHM).
Les
deux parties s'étaient accordées fin décembre sur un partage
des titres du groupe Hersant, qui détient la totalité de Nice
Matin, tandis que Corse Matin, actuellement détenu à parité,
reste une filiale détenue à parts égales par La Provence et Nice Matin. « C'est
acté et c'est tant mieux. On sait où on va avec un actionnaire qui recapitalise La
Provence, chose qui n'a pas été faite par le groupe Hersant Média », a
commenté le secrétaire général du comité d'entreprise, Hervé Borello, également
délégué Force ouvrière.
« Ma première réaction : un soulagement de sortir de
la gestion Hersant, qui n'a jamais mis un sous dans la maison », a déclaré
Serge Mercier délégué du Syndicat national des journalistes.
UN CHANGEMENT D'ACTIONNAIRES MAJEUR
Les actionnaires ont également ratifié la nomination, en
tant qu'administrateur et président directeur général de La Provence, de
Marc Auburtin, qui avait remplacé en décembre Dominique Bernard,
démissionnaire. Ils ont aussi nommé deux nouveaux administrateurs : Claire
Charbonnel, directrice générale adjointe, et Olivier Mazerolle, directeur
général délégué et directeur de la rédaction.
Ce changement d'actionnaires entraîne l'ouverture
automatique de la clause de cession, qui permet aux journalistes (La
Provence en compte environ 200) de quitter un
journal en bénéficiant des conditions d'un licenciement, lorsqu'un changement
majeur d'actionnaires intervient. Seules les modalités restent à définir.
Mais, pour le délégué du Syndicat national des journalistes, «
c'est beaucoup trop tôt pour dire si
l'arrivée de Bernard Tapie est une bonne nouvelle », poursuit-il,« car
avec l'ouverture de la clause de cession, un certain nombre de gens vont partir et
Bernard Tapie ne s'engage sur aucun remplacement ».
Le Monde.fr avec AFP | 10.01.2014
à 18h57 • Mis à jour le 10.01.2014 à 19h51
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mardi 31 décembre 2013
Mardi 31 Décembre 2013 - Meilleurs Voeux
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mardi, décembre 31, 2013
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vendredi 27 décembre 2013
Vendredi 27 Décembre 2013 - INFORMATIONS SYNDICALES FORCE OUVRIERE : Communiqué de Presse : Chiffres du chômage : l’inversion attendra
COMMUNIQUE
Chiffres
du chômage :
l’inversion attendra
Les
chiffres des demandeurs d’emploi inscrits à Pôle emploi pour le
mois de novembre 2013 ne constituent pas une surprise. La catégorie
A augmente de 0,5 % sur un mois. Sur un an le nombre de demandeurs
d’emploi inscrits sans aucune activité a augmenté de 5,6 %. La
situation des chômeurs de longue durée (un an ou plus + 13,4 sur un
an) et des seniors (cat. A + 11,7 sur un an) ne cessent de
s’aggraver.
Face
à la communication pour le moins alambiquée des pouvoirs publics,
force est de constater que le nombre de demandeurs d’emploi
continue sa dramatique progression. La croissance pour 2014 oscillant
vraisemblablement à moins de 1 %, elle ne suffira pas à faire
baisser durablement le chômage.
Comme
ne cesse de le répéter, Force Ouvrière, c’est bien d’un
changement de politique macro-économique dont la France et l’Europe
ont besoin.
Relance
de la consommation par la hausse des salaires, traitements et
pensions, mise en œuvre d’une politique volontariste de grands
travaux à l’échelle européenne, réforme fiscale d’ampleur
remettant au centre du système l’impôt sur le revenu, fin des
politiques de restrictions budgétaires et des coupes dans les
dépenses publiques, remise en cause du pacte budgétaire européen,
tels sont les ingrédients indispensables pour sortir de la crise.
C'est ce que Force Ouvrière rappellera lors du grand meeting qu’elle
organisera le 29 janvier 2014 à Paris
Paris,
le 27 décembre 2013
Contact :
Stéphane
LARDY
Secrétaire
Confédéral
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vendredi, décembre 27, 2013
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dimanche 22 décembre 2013
Dimanche 22 Décembre 2013 : FR3 Côte d'Azur /AFP : Journaux du Groupe Hersant Media : Protocole d'accord trouvé sur le partage entre Hersant et Tapie
Côte d'Azur
Journaux du Groupe Hersant Media :
Protocole d'accord trouvé sur le partage
entre Hersant et Tapie
© VALERY HACHE / AFP |
Bernard Tapie et la famille Hersant son parvenus à un accord
sur le partage des titres de presse de Groupe Hersant Media (GHM), entre
la famille Hersant et le groupe Bernard Tapie.
"Nous sommes parvenus à un accord mais le protocole d'accord nous impose une clause de confidentialité" a déclaré à l'AFP M. Bernard, confirmant une information des Echos. Le directeur général de GHM, qui est également PDG du groupe Nice-Matin n'a pas souhaité "faire d'autres commentaires".
Selon les Echos, le compromis prévoit la prise de contrôle du groupe La Provence par le groupe Bernard Tapie, à hauteur de 80 % tandis que GHM en conserverait 20 %. Le groupe Tapie sortant par ailleurs du capital de GHM.
Corse Matin, actuellement détenu à parité resterait une filiale détenue à 50/50 par La Provence et Nice Matin, selon les Echos.
Un projet d'accord annoncé mi-juillet prévoyait que la famille Hersant reprenait la main sur le groupe Nice-Matin, ainsi que sur France-Antilles, tandis que Bernard Tapie devenait actionnaire à 100% de La Provence.
Un administrateur-conciliateur avait ensuite été désigné, en octobre, pour trouver une solution au partage des titres de presse de GHM entre la famille Hersant et le groupe Bernard Tapie.
Le 10 décembre, Marc Auburtin, directeur général délégué du groupe La Provence a été nommé président directeur général en remplacement de M. Bernard, démissionnaire.
Dans un communiqué, le groupe avait par ailleurs annoncé qu'Olivier Mazerolle, actuel directeur de la rédaction du quotidien La Provence, serait nommé administrateur lors d'une assemblée générale des actionnaires en janvier 2014.
Selon les Echos, le compromis prévoit la prise de contrôle du groupe La Provence par le groupe Bernard Tapie, à hauteur de 80 % tandis que GHM en conserverait 20 %. Le groupe Tapie sortant par ailleurs du capital de GHM.
Corse Matin, actuellement détenu à parité resterait une filiale détenue à 50/50 par La Provence et Nice Matin, selon les Echos.
Un projet d'accord annoncé mi-juillet prévoyait que la famille Hersant reprenait la main sur le groupe Nice-Matin, ainsi que sur France-Antilles, tandis que Bernard Tapie devenait actionnaire à 100% de La Provence.
Un administrateur-conciliateur avait ensuite été désigné, en octobre, pour trouver une solution au partage des titres de presse de GHM entre la famille Hersant et le groupe Bernard Tapie.
Le 10 décembre, Marc Auburtin, directeur général délégué du groupe La Provence a été nommé président directeur général en remplacement de M. Bernard, démissionnaire.
Dans un communiqué, le groupe avait par ailleurs annoncé qu'Olivier Mazerolle, actuel directeur de la rédaction du quotidien La Provence, serait nommé administrateur lors d'une assemblée générale des actionnaires en janvier 2014.
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jeudi 12 décembre 2013
Jeudi 12 Décembre 2013 - INFORMATIONS SYNDICALES FORCE OUVRIERE - COMMUNIQUE DE PRESSE SUR LA DESINFORMATION DE LA DIRECTION DE CONFORAMA
COMMUNIQUE DE PRESSE
Les magasins Conforama ouverts tous les dimanches
ne paient pas double leurs salariés
Les magasins Conforama ouverts tous les dimanches
ne paient pas double leurs salariés
Depuis
la sortie du rapport Bailly, commandé par le gouvernement, qui vise
à transformer la loi sur le repos dominical et à abroger
l’amendement DEBRE dit loi « CONFOKEA » autorisant les magasins
de l’ameublement à ouvrir le dimanche dans toute la France, le PDG
de Conforama M. Thierry GUIBERT multiplie les interventions
radiophoniques et plaide en faveur des enseignes de l’ameublement
dont l’autorisation d’ouvrir 52 dimanches par an pourrait être
remise en cause et qualifie l’abolition de ce privilège de
véritable catastrophe pour Conforama.
Que le PDG de Conforama défende le travail du dimanche, ne l’autorise pas pour autant à faire de la désinformation auprès des journalistes, du gouvernement et des Français.
En effet, lors de ces « sorties » médiatiques, il affirme que les salariés de Conforama sont payés double le dimanche.
Que le PDG de Conforama défende le travail du dimanche, ne l’autorise pas pour autant à faire de la désinformation auprès des journalistes, du gouvernement et des Français.
En effet, lors de ces « sorties » médiatiques, il affirme que les salariés de Conforama sont payés double le dimanche.
C’est
totalement FAUX, le paiement double ne concerne que les salariés qui
travaillent exceptionnellement le dimanche.
Pour
les employés d’Ile de France et de Plan de Campagne qui peuvent
travailler tous les dimanches cela déclenche une majoration
ne dépassant pas 70 € bruts. Nous
sommes très loin, pour la grande majorité de ces employés, du
paiement double de cette journée.
Il nous explique également que les salariés sont volontaires, alors que tous les salariés de Conforama embauchés en Ile de France et sur Plan de Campagne ont une clause dans leur contrat qui stipule qu’ils peuvent être amenés à travailler le dimanche.
Les salariés qui refusent cette clause sont-ils embauchés par la direction de Conforama ?
Il nous explique également que les salariés sont volontaires, alors que tous les salariés de Conforama embauchés en Ile de France et sur Plan de Campagne ont une clause dans leur contrat qui stipule qu’ils peuvent être amenés à travailler le dimanche.
Les salariés qui refusent cette clause sont-ils embauchés par la direction de Conforama ?
Des salariés de Conforama se sont mis en grève le 27 novembre 2013 pour revendiquer notamment une augmentation de salaire de 150 € bruts par mois.
Si
les salaires étaient décents
chez Conforama, les salariés seraient-ils «
volontaires »
pour travailler le dimanche ?
Le syndicat FEC-FO de Conforama, veut par ce communiqué, rétablir la vérité sur le soi-disant paiement double du dimanche et sur le soi-disant « volontariat » des salariés.
Saint-Quentin, le 12 décembre 2013.
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mardi 3 décembre 2013
Mardi 03 Décembre 2013 - INFORMATIONS SYNDICALES FORCE OUVRIERE - COMMUNIQUE DE PRESSE CONTRE LES TENTATIVES DE TOUS BORDS POUR OFFRIR LE TRAVAIL DU DIMANCHE AU PATRONAT DU COMMERCE
COMMUNIQUE DE PRESSE
BAILLY signe un PACT avec le patronat du Commerce
Depuis 2006, seule, FO est repartie en lutte contre le travail illégal le dimanche. Au fur et à mesure d’autres se sont greffés à notre action. Jusqu’à aujourd’hui, FO a démontré que les plus grandes enseignes du commerce faisaient travailler illégalement des salariés le dimanche. Ces actions étaient menées en lieu et place des pouvoirs publics, silencieux en la matière (sauf quelques exceptions). En parallèle, Le lobbying patronal aura trouvé des oreilles parlementaires…
2008, Isabelle DEBRE, Sénatrice, propose un amendement à la loi Chatel sur la consommation et rend légal le travail illégal dans le secteur de l’ameublement. Certains appellent cet amendement CONFOKEA.
2009, Richard MALLIE, Député, propose une loi pour finir de rendre légal ce qui est illégal en créant le PUCE et de nouvelles règles pour les zones touristiques. C’est la quasi-totalité des grandes enseignes condamnées pour travail illégal le dimanche qui se frottent les mains.
2013, la loi MALLIE n’étant pas encore assez efficace, le rapport BAILLY propose d’augmenter les possibilités de rendre légal ce qui est illégal et en rajoute une couche :
• De 5 dimanches, il propose de passer à 12 dont cinq à la discrétion du patron. Aucun volontariat n’est proposé, donc le salarié non volontaire pourra sûrement être viré.
• Il propose de faire disparaître les PUCE et les ZONES TOURISTIQUES par le PACC et le PACT avec des possibilités plus importantes d’ouvrir des magasins le dimanche, en modifiant les règles de délimitation. Il suffit de 20 000 m2 de zone commerciale pour repartir avec son PACC (une grande surface d’ameublement ou de bricolage les couvre largement).
• Les salariés des TPE ne seraient plus que des salariés de seconde zone, car ils seraient exclus des majorations obligatoires. On règle les distorsions de concurrence entre les entreprises par la discrimination entre les salariés.
• La remise en cause des textes nationaux (code du travail, conventions collectives) par des accords dans les territoires, sur les sites et/ou d’entreprises…
Comme le disait JAURES : « Quand les hommes ne peuvent plus changer les choses, ils changent les mots ». Dans ce cas tout est une question de volonté. Nous allons continuer d’analyser l’impact d’une telle proposition et en particulier le risque sur les emplois CDI – TEMPS PLEIN de la semaine et dans les magasins qui n’auront pas la force d’ouvrir un 7ème jour.
TOUS les Parlementaires depuis trois législatures et les deux derniers Présidents de la République ont été régulièrement informés par FO, aux moyens de différents courriers sur les problèmes engendrés par l’amendement DEBRE et la loi MALLIE.
Aujourd’hui, la solution proposée est pire, FO continuera à informer les représentants de la République une et indivisible de l’impact anti-démocratique de cette proposition. C’est par l’appel à la grève des employés du Commerce, le 23 mai 1869, et par la constitution de syndicats prémices de la FEC FO, que 37 ans plus tard fut obtenu le repos dominical en 1906, qui permit de ratifier la convention 106 de l’OIT en 1971. C’est en 5 ans, que les patrons voudraient anéantir ce droit avec l’aide de Parlementaires peu regardant, tels que Mme DEBRE, M. MALLIE et ceux qui ont voté les textes. Qui, en connaissance de cause, portera un projet de loi qui finirait d’anéantir le REPOS HEBDOMADAIRE COMMUN ?
FO demande le respect de la convention 106 de l’OIT et de l’article L.3132-3 du Code du Travail qui dit : « Dans l'intérêt des salariés, le repos hebdomadaire est donné le dimanche. »
Paris, le 3 décembre 2013
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jeudi 21 novembre 2013
Jeudi 21 Novembre 2013 - DECLARATION DE LA COMMISSION EXECUTIVE CONFEDERALE FORCE OUVRIERE SUR LA LOI SCELERATE SUR LES RETRAITES
DECLARATION DE LA COMMISSION
EXECUTIVE CONFEDERALE
Augmentation
du nombre de plans sociaux et du chômage, baisse du pouvoir d’achat,
accroissement de la pauvreté, remise en cause du service public
républicain, recul de l’âge du départ en retraite marquent la
situation actuelle et le mécontentement des salariés, actifs,
chômeurs et retraités.
Dans
ce contexte, le rôle du syndicalisme libre et indépendant est de
représenter et défendre les intérêts matériels et moraux des
salariés, par la négociation comme par l’action.
Pour
la Commission Exécutive de FORCE OUVRIERE, il est prioritaire de
rompre avec la logique d’austérité suicidaire socialement,
économiquement et démocratiquement découlant du Pacte Budgétaire
Européen. On ne guérit pas les effets sans s’attaquer aux causes.
Il
en est de même en matière de lutte contre le racisme, la xénophobie
et l’antisémitisme, lutte consubstantielle au syndicalisme libre
et indépendant.
Sans
remise en cause de la politique économique menée au plan européen
et national, faite de rigidité économique et de flexibilité
sociale, cette lutte ne serait que de la communication politicienne.
Dans
ce contexte et sans s’immiscer dans les campagnes politiques du 1er
semestre 2014, la Commission Exécutive de FORCE OUVRIERE soutient la
manifestation devant l’Assemblée Nationale, le 26 novembre, et les
initiatives départementales contre le projet de loi sur les
retraites que FORCE OUVRIERE rejette.
Elle
décide :
- De demander à ses structures de développer des réunions et assemblées générales afin de dresser les revendications et d’alimenter le rapport de force, la Commission Exécutive étant mandatée pour décider de toute action, y compris la grève ;
- Grand Meeting National à Paris le mercredi 29 janvier 2014.
Pour
la Commission Exécutive toute action interprofessionnelle
aujourd’hui nécessaire, compte tenu de la situation sociale
tendue, doit porter sur l’augmentation des salaires, la défense de
l’emploi, le service public républicain, contre l’austérité,
la loi sur les retraites et la loi sur la sécurisation de l’emploi
issue de l’ANI du 11 janvier.
Pour
sa part, la Commission Exécutive déclare que la confédération
FORCE OUVRIERE est prête à toute initiative sur ces bases.
Adoptée
à l’unanimité
Paris,
le 21 novembre 2013
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mercredi 6 novembre 2013
Mercredi 06 Novembre 2013 - Réactions dans la Presse suite à la Conciliation
Des ex-salariés de Paru Vendu assignent Hersant Média aux prud'hommes
Les Prud'hommes de Lyon examineront le 30 septembre 2014 le dossier
opposant des ex-salariés de Comareg, l'éditeur du journal gratuit
d'annonces "Paru Vendu" liquidé fin 2011 et d'Hebdoprint à leur ancien
employeur, Groupe Hersant Médias (GHM), a-t-on appris mardi auprès de
leur avocat.
Ces quelque 356 anciens salariés de Comareg et d'Hebdoprint
contestent la validité de leur licenciement et réclament des
dommages-intérêts à GHM, propriétaire des deux sociétés liquidées.
Une audience de conciliation, qui s'est tenue mardi, n'a pas abouti
et le tribunal a donc fixé une audience de jugement au 30 septembre
prochain, a expliqué à l'AFP Me Gilles Bauer, défenseur des licenciés de
Hebdoprint.
Selon Jean-Paul Fabre, ex-secrétaire du Comité d'hygiène, de sécurité
et des conditions de travail(CHSCT) de Hebdoprint, les 217 anciens
salariés de la Comareg et les 139 de Hebdoprint font valoir leur
situation de "coemploi", puisque GHM "intervenait directement dans les
affaires de ses filiales".
Selon Me Bauer, GHM se comportait donc "comme un coemployeur" et
avait par conséquent "l'obligation de conserver" ses salariés - ou de
les licencier en respectant les critères légaux.
Les 356 requérants contestent en outre la cause de leur éviction. Les
difficultés économiques du pôle presse gratuite de GHM avaient conduit
en novembre 2011 à la liquidation judiciaire des deux entités, prélude
aux licenciements.
Les ex-salariés de "Paru-vendu" assignent le groupe Hersant aux Prud'hommes
Les 356 salariés licenciés de Comareg et Hebdoprint liquidés
fin 2011 vont assigner aux Prud'hommes le groupe Hersant Médias pour
licenciement abusif. Ces ex-salariés travaillaient pour "Paru-vendu". La
conciliation qui s'est tenue hier n'a pas abouti, l'audience est donc
fixée au 30 septembre 2014.
Les salariés de "Paru -vendu" lors d'une manifestation à Paris en Mars 2012 |
Les Prud'hommes de Lyon examineront le 30 septembre 2014 le
dossier opposant des ex-salariés de Comareg, l'éditeur du journal
gratuit d'annonces "Paru Vendu" liquidé fin 2011 et d'Hebdoprint à leur
ancien employeur, Groupe Hersant Médias (GHM), selon leur avocat,Me
Gilbert Bauer .
Ces quelque 356 anciens salariés de Comareg et d'Hebdoprint contestent la validité de leur licenciement et réclament des dommages-intérêts à GHM, propriétaire des deux sociétés liquidées. Une audience de conciliation, qui s'est tenue mardi, n'a pas abouti et le tribunal a donc fixé une audience de jugement au 30 septembre prochain.
Selon Jean-Paul Fabre, ex-secrétaire du Comité d'hygiène, de sécurité et des conditions de travail(CHSCT) de Hebdoprint, les 217 anciens salariés de la Comareg et les 139 de Hebdoprint font valoir leur situation de "coemploi", puisque GHM "intervenait directement dans les affaires de ses filiales". Selon Me Bauer, GHM se comportait donc "comme un "coemployeur" et avait par conséquent "l'obligation de conserver" ses salariés - ou de les licencier en respectant les critères légaux.
Les 356 requérants contestent en outre la cause de leur éviction. Les difficultés économiques du pôle presse gratuite de GHM avaient conduit en novembre 2011 à la liquidation judiciaire des deux entités, prélude aux licenciements.
Ces quelque 356 anciens salariés de Comareg et d'Hebdoprint contestent la validité de leur licenciement et réclament des dommages-intérêts à GHM, propriétaire des deux sociétés liquidées. Une audience de conciliation, qui s'est tenue mardi, n'a pas abouti et le tribunal a donc fixé une audience de jugement au 30 septembre prochain.
Selon Jean-Paul Fabre, ex-secrétaire du Comité d'hygiène, de sécurité et des conditions de travail(CHSCT) de Hebdoprint, les 217 anciens salariés de la Comareg et les 139 de Hebdoprint font valoir leur situation de "coemploi", puisque GHM "intervenait directement dans les affaires de ses filiales". Selon Me Bauer, GHM se comportait donc "comme un "coemployeur" et avait par conséquent "l'obligation de conserver" ses salariés - ou de les licencier en respectant les critères légaux.
Les 356 requérants contestent en outre la cause de leur éviction. Les difficultés économiques du pôle presse gratuite de GHM avaient conduit en novembre 2011 à la liquidation judiciaire des deux entités, prélude aux licenciements.
Par Philippe Bette
Publié le 06/11/2013 | 08:45, mis à jour le 06/11/2013 | 09:34
Publié le 06/11/2013 | 08:45, mis à jour le 06/11/2013 | 09:34
Mardi 5 Novembre 2013
Les Prud'hommes de Lyon examineront le 30 septembre 2014 le dossier opposant des ex-salariés de Comareg, l'éditeur du
journal gratuit d'annonces Paru Vendu liquidé fin 2011, et d'Hebdoprint, à leur ancien employeur, Groupe Hersant Médias. Ces quelque 356 anciens salariés de Comareg et d'Hebdoprint contestent la validité de leur licenciement et réclament des dommages-intérêts à GHM, propriétaire des deux sociétés liquidées.
Une audience de conciliation, qui s'est tenue ce mardi, n'a pas abouti et le tribunal a donc fixé une audience de jugement au 30 septembre prochain. Les 217 anciens salariés de la Comareg et les 139 de Hebdoprint font valoir leur situation de "co-emploi", puisque GHM "intervenait directement dans les affaires de ses filiales".
Les 356 requérants contestent en outre la cause de leur éviction. Les difficultés économiques du pôle presse gratuite de GHM avaient conduit en novembre 2011 à la liquidation judiciaire des deux entités, prélude aux licenciements.
Avec AFP
Paru Vendu : les prud’hommes régleront le contentieux entre Hersant et les anciens salariés
Ce mardi, une audience de conciliation avait lieu entre les 356 ex-salariés de Comareg et Hebdoprint et leur ancien employeur.
Et le Groupe Hersant Médias ne les a pas convaincu.
La justice se saisira alors du dossier avec une audience des prud'hommes
de Lyon le 30 septembre 2014. Ces derniers s'exprimeront sur la
validité du licenciement des anciens salariés de l'éditeur du journal
gratuit Paru Vendu.
Selon les anciens salariés, GHM, propriétaire des deux sociétés liquidées, avait pour obligation de les conserver ou bien de les licencier en respectant les critères légaux après la fin de Paru Vendu en 2011. L'avocat des ex-salariés d'Hebdoprint, Me Bauer, dans des propos relayés par l'AFP, met également en cause la "mauvaise gestion" de GHM qui absorbait les profits de Comareg et Hebdoprint sans les réinvestir pour préparer "le passage au numérique".
Pour rappel, la liquidation de Paru Vendu, journal gratuit d'annonces, avait laissé 1650 salariés sur le carreau en 2011. Trois repreneurs potentiels avaient fait preuve d'intérêt à l'époque mais l'un s'était retiré et les deux autres avaient été jugés non recevables par l'administrateur judiciaire.
Selon les anciens salariés, GHM, propriétaire des deux sociétés liquidées, avait pour obligation de les conserver ou bien de les licencier en respectant les critères légaux après la fin de Paru Vendu en 2011. L'avocat des ex-salariés d'Hebdoprint, Me Bauer, dans des propos relayés par l'AFP, met également en cause la "mauvaise gestion" de GHM qui absorbait les profits de Comareg et Hebdoprint sans les réinvestir pour préparer "le passage au numérique".
Pour rappel, la liquidation de Paru Vendu, journal gratuit d'annonces, avait laissé 1650 salariés sur le carreau en 2011. Trois repreneurs potentiels avaient fait preuve d'intérêt à l'époque mais l'un s'était retiré et les deux autres avaient été jugés non recevables par l'administrateur judiciaire.
05-11-2013 à 19:44
LYON, 5 novembre 2013 (AFP) - Les Prud'hommes de Lyon examineront
le 30 septembre 2014 le dossier opposant des ex-salariés de Comareg,
l'éditeur du journal gratuit d'annonces Paru Vendu liquidé fin 2011, et
d'Hebdoprint, à leur ancien employeur, Groupe Hersant Médias (GHM),
a-t-on appris mardi auprès de leur avocat.
Ces quelque 356 anciens salariés de Comareg et d'Hebdoprint contestent la validité de leur licenciement et réclament des dommages-intérêts à GHM, propriétaire des deux sociétés liquidées.
Une audience de conciliation, qui s'est tenue mardi, n'a pas abouti et le tribunal a donc fixé une audience de jugement au 30 septembre prochain, a expliqué à l'AFP Me Gilles Bauer, défenseur des licenciés de Hebdoprint.
Selon Jean-Paul Fabre, ex-secrétaire du CHSCT de Hebdoprint, les 217 anciens salariés de la Comareg et les 139 de Hebdoprint font valoir leur situation de "co-emploi", puisque GHM "intervenait directement dans les affaires de ses filiales".
Selon Me Bauer, GHM se comportait donc "comme un co-employeur" et avait par conséquent "l'obligation de conserver" ses salariés - ou de les licencier en respectant les critères légaux.
Les 356 requérants contestent en outre la cause de leur éviction. Les difficultés économiques du pôle presse gratuite de GHM avaient conduit en novembre 2011 à la liquidation judiciaire des deux entités, prélude aux licenciements.
Ces quelque 356 anciens salariés de Comareg et d'Hebdoprint contestent la validité de leur licenciement et réclament des dommages-intérêts à GHM, propriétaire des deux sociétés liquidées.
Une audience de conciliation, qui s'est tenue mardi, n'a pas abouti et le tribunal a donc fixé une audience de jugement au 30 septembre prochain, a expliqué à l'AFP Me Gilles Bauer, défenseur des licenciés de Hebdoprint.
Selon Jean-Paul Fabre, ex-secrétaire du CHSCT de Hebdoprint, les 217 anciens salariés de la Comareg et les 139 de Hebdoprint font valoir leur situation de "co-emploi", puisque GHM "intervenait directement dans les affaires de ses filiales".
Selon Me Bauer, GHM se comportait donc "comme un co-employeur" et avait par conséquent "l'obligation de conserver" ses salariés - ou de les licencier en respectant les critères légaux.
Les 356 requérants contestent en outre la cause de leur éviction. Les difficultés économiques du pôle presse gratuite de GHM avaient conduit en novembre 2011 à la liquidation judiciaire des deux entités, prélude aux licenciements.
Rédigé par () le Mardi 5 Novembre 2013 à 07:52
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mercredi, novembre 06, 2013
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mardi 5 novembre 2013
Mercredi 05 Novembre 2013 - LES ECHOS .FR : Petites annonces gratuites : la revanche de ParuVendu.fr
Petites annonces gratuites :
la revanche de ParuVendu.fr
Par Valérie Leboucq | 05/11 | 06:00
Racheté l'an dernier par Digital Virgo, le site de petites annonces gratuites s'est relancé grâce à son fort ancrage dans les villes petites et moyennes.
Avec
ParuVendu.fr, pas besoin de créer un compte. Une photo de l'objet
assorti de son prix, envoyée par mail au site suffit à assurer la
diffusion de l'annonce. - Photo ParuVendu
Il
y a une vie après la liquidation. Sauvée du naufrage de la Comareg,
pôle de presse gratuite du Groupe Hersant Media, la plate-forme digitale
de petites annonces ParuVendu.fr fait mieux que résister à son grand
rival Leboncoin. A l'image de l'irréductible village gaulois d'Astérix,
le site, qui revendique 3 millions de visiteurs uniques par mois
(18 millions pour Leboncoin), s'est relancé sous l'impulsion de Laurent
Radix, un des managers de son repreneur, Digital Virgo (ex-SFR).
Spécialiste de l'entertainment sur mobile, la société a grandi par croissance externe, notamment avec le rachat du catalogue musique et jeux de Virgin.
Pour
revenir dans la course, le président de ParuVendu.fr et l'équipe de 25
salariés (à ses beaux jours, la Comareg en a compté plus d'un millier !)
ont cherché à se différencier le plus possible de leurs grands rivaux.
GRATUITE TOTALE ET PRESENCE MULTISUPPORT
Sur
ParuVendu.fr, la gratuité des PA s'étend dans la durée (quand l'objet
reste longtemps en vente) ou quand le vendeur veut en modifier la teneur
(changer le prix par exemple). Une modification qu'ailleurs on peut
facturer jusqu'à 3 euros. « Sur un prix moyen de 30 à 40 euros, croyez-moi, cela compte », relève Laurent Radix.
Autre
élément différenciant : la présence multisupport des petites annonces
de ParuVendu.fr. On les consulte sur le site, mais aussi sur mobiles et
tablettes. ParuVendu.fr démultiplie de surcroît leur visibilité grâce à
la publication instantanée sur Facebook.
« Last but not least », pour les illettrés du Net ou les paresseux : la
simplicité du mode de dépose des annonces. Pas besoin de créer un
compte. Une photo de l'objet assorti de son prix, envoyée par mail au
site suffit à assurer la diffusion de son annonce.
RETOUR DU PAPIER
C'est
bien sûr la grande différence avec les « pure players ». ParuVendu.fr a
relancé des éditions papier de ses petites annonces en régions dans 70
villes petites et moyennes. Financées par les annonceurs locaux, elles
recensent toutes les promotions et bonnes affaires de la semaine. Rien
qu'à Roanne, 70.000 exemplaires sont glissés dans les boîtes au lettres
par Mediapost . « Avec un taux de prise en main de 15 %, cela reste un moyen efficace de création de trafic en magasins », se félicite Laurent Radix.
ECHANGE ET TROC
Le
manager croit au développement de l'économie collaborative.
ParuVendu.fr a donc lancé une rubrique d'échanges de biens et de
services sur lesquels aucune commission n'est prélevée. Le succès
spectaculaire de RBnB dans l'échange d'appartement et de maison offre
une piste de développement futur, estime-t-il. Un levier d'autant plus
facile à actionner que le site est déjà connecté à Facebook.
Tous ces efforts commencent à payer. « Quand nous avons repris le site, 90 % des visiteurs consultaient aussi Leboncoin. Ce taux est tombé à 60 % »,
constate le manager. ParuVendu s'est également attaqué au problème de
l'arnaque en ligne, dont le nombre a été divisé par 3 depuis la reprise
par Digital Virgo.
Autre signe
encourageant, le retour des annonceurs institutionnels sur le site, les
organismes de crédits à la consommation (Cetelem, Sofinco...) et les
réseaux immobiliers.
Valérie Leboucq
Hit-parade des PA
Immobilier Leboncoin : 8,29 millions de visiteurs
uniques (vu) par mois (m) SeLoger.com : 3,93 millions de vu/m
Particulier à Particulier : 2,7 millions de vu/m Logic-Immo.com :
1,84 million vu/m ParuVendu.fr : 1,38 million vu/m
Automobile Leboncoin : 8,14 millions de visiteurs uniques par mois Centrale/Caradisiac : 2,48 millions de vu/m Autoplus, Autoreflex : 1,84 million vu/m L'argus/321 Auto : 1,8 million vu/m
ParuVendu.fr : 1,35 million vu/m Source : Médiamétrie
Automobile Leboncoin : 8,14 millions de visiteurs uniques par mois Centrale/Caradisiac : 2,48 millions de vu/m Autoplus, Autoreflex : 1,84 million vu/m L'argus/321 Auto : 1,8 million vu/m
ParuVendu.fr : 1,35 million vu/m Source : Médiamétrie
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Anciens de ParuVendu - Groupe COMAREG filiale GHM
à
mardi, novembre 05, 2013
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Mardi 05 Novembre 2013 : Conciliation
CONSEIL
DES PRUD'HOMMES LYON
20 Boulevard Eugène Deruelle, 69003 Lyon
20 Boulevard Eugène Deruelle, 69003 Lyon
CONCILIATION
Mardi 05 NOVEMBRE à 14h30
Mardi 05 NOVEMBRE à 14h30
Pour
ceux qui ont déposé un dossier
vous pourrez y participer ... Prière de le faire savoir !
vous pourrez y participer ... Prière de le faire savoir !
Vous
êtes en train de recevoir par voie postale la convocation pour
assister à la Conciliation au Conseil des Prud'hommes.
Suite
logique à la saisine faite le 05 juillet 2013.
A
partir du moment ou votre dossier est complet (mandat,
note d'informations, convention d'honoraires et paiement le cas
échéant) nos
avocats vous représenteront et vous pourrez exprimer vos remarques/doléances. Si
vous êtes absents,
DES QU'ILS AURONT REÇU LE MANDAT AVEC COPIE DE VOTRE PIÈCE
D’IDENTITÉ ces derniers pourront vous représenter et voire concilier dans l’hypothèse la plus favorable.
Pour
ceux qui veulent y participer me le confirmer par courriel avant le
10 octobre 2013
car
je dois communiquer le chiffre au Greffe du Conseil des Prud'hommes
pour une bonne gestion des salles d'audience.
Des possibilités de co-voiturage sont possibles pour réduire les frais entre anciens de Comareg et d'Hebdoprint habitant dans la même zone géographique. Rapprochez-vous entre vous.
Pour mémoire nous sommes 357 à ce jour.
Des possibilités de co-voiturage sont possibles pour réduire les frais entre anciens de Comareg et d'Hebdoprint habitant dans la même zone géographique. Rapprochez-vous entre vous.
Pour mémoire nous sommes 357 à ce jour.
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Anciens de ParuVendu - Groupe COMAREG filiale GHM
à
mardi, novembre 05, 2013
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mardi 15 octobre 2013
Mardi 15 Octobre 2013 - Informations Syndicales FORCE OUVRIERE - CGT - SOLIDAIRES - FSU & PETITION FORCE OUVRIERE RETRAIT TEXTE SUR LES RETRAITES
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Anciens de ParuVendu - Groupe COMAREG filiale GHM
à
mardi, octobre 15, 2013
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Mardi 15 Octobre 2013 - Informations Syndicales FORCE OUVRIERE - Manifestation nationale devant l'Assemblée Nationale
Manifestation
nationale
devant l'Assemblée Nationale
le mardi 15 octobre 2013
devant l'Assemblée Nationale
le mardi 15 octobre 2013
à l'appel de la
confédération FO
pour exiger le retrait de lacontre-réforme des retraites
pour exiger le retrait de lacontre-réforme des retraites
Le système capitaliste, que les bien-pensants
appellent maintenant «économie de marché», est fondé avant toute autre chose
sur la recherche du plus grand profit. Les travailleurs louent leur force de
travail mais pas leur production. Une heure de travail aujourd’hui n’a plus
rien à voir en termes de productivité avec une heure de travail il y a 50 ans.
Sans remonter aussi loin, en 1995 il fallait 25,7 heures pour construire une
automobile. 8 ans plus tard, en 2003, il n’en faut plus que 13,7, soit presque
moitié moins !
Bavasser sur l’espérance de vie, c’est tromper
les gens. Si l’on prenait comme critère ces progrès considérables en matière de
productivité, nous pourrions travailler 10 fois, 20 fois moins longtemps. La
durée hebdomadaire pourrait descendre bien en-deçà des 35 heures, et la durée de
cotisations pour la retraite revenir aux 37,5 années d’avant la réforme
Balladur et même diminuer.
Si tel n’est pas le cas, ce n’est pas parce que
ce n’est pas possible, encore moins du fait de l’allongement de l’espérance de
vie, mais tout simplement parce que ce n’est pas l’intérêt du patronat.
Dans le système capitaliste, pour maintenir un
taux d’exploitation maximum, donc la plus grande rentabilité, il est préférable
de faire travailler les salariés le plus longtemps possible en les payant le
moins possible et parallèlement de maintenir une masse énorme de chômeurs.
Formulés ainsi, ces propos peuvent sembler
excessifs, et pourtant c’est bien ce que nous vivons chaque jour.
Par exemple, le fameux «miracle allemand», dont
on nous rebat les oreilles régulièrement, est fondé entre autres sur
l’existence de 25% de travailleurs pauvres, d’une armée de salariés importés
des pays de l’Est rémunérés 4€ de l’heure.
En France, le gouvernement a décidé d’emprunter
le même chemin. C’est le sens de l’ANI il y a quelques mois, mais aussi de
cette nouvelle contre-réforme des retraites.
Afin de désamorcer la colère des travailleurs,
le gouvernement n’a pas osé aller aussi loin que le souhaitait Bruxelles. Il a
même, semble t-il, pris en compte quelques-unes de nos remarques. Mais ces
inflexions sont marginales et parfois discutables. L’essentiel reste
inacceptable.
Cette réforme prolonge et aggrave les
précédentes. Il est donc logique que nous en exigions le retrait, comme nous
l’avons fait en particulier en 2010 pour le plan Fillon.
Pour notre part, parce que nous sommes
indépendants, nous n’avons aucune raison d’être plus conciliants avec ce
gouvernement qu’avec un autre. Son projet comme les précédents s’inscrit
pleinement dans la politique de rigueur, il doit donc être retiré purement et
simplement.
C’est pourquoi le Comité Confédéral National de
FO a décidé d’appeler à un rassemblement à Paris le 15 octobre à l’occasion du
débat parlementaire.
Le 10 septembre, nous avons manifesté pour
exiger le retrait de cette contre-réforme. Nous étions avec la CGT, la FSU et
Solidaires.
Il est normal que chaque organisation prenne ses
propres initiatives. Mais il est également souhaitable qu’à certains moments
nous nous retrouvions ensemble, dès lors que nous sommes d’accord sur les
objectifs à atteindre.
Nous savons que le gouvernement a décidé de
poursuivre la politique de rigueur, et que seul le rapport de force pourra le
faire reculer.
Le 15 octobre, pour dire
non à la rigueur, nous demanderons le retrait du projet de loi. C’est ainsi que
nous affirmerons notre place d’organisation libre et indépendante. La classe
ouvrière n’a pas d’autre issue que la mobilisation générale.
à l'appel de la
confédération FO
pour exiger le retrait de la
contre-réforme des retraites
contre-réforme des retraites
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Anciens de ParuVendu - Groupe COMAREG filiale GHM
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mardi, octobre 15, 2013
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