Quelque 356 anciens salariés de la Comareg, l’éditeur du journal gratuit d’annonces Paru Vendu liquidé fin 2011, et de son entité d’impression Hebdoprint, ont déposé vendredi 5 juillet leur dossier au conseil de prud’hommes de Lyon. Ils contestent la validité de leur licenciement et réclament des dommages-intérêts à Groupe Hersant Médias (GHM), propriétaire des deux sociétés liquidées. Une audience de conciliation a été fixée au 5 novembre, en attendant l’éventuel passage à la phase contentieuse. La fin de Paru Vendu avait conduit au licenc iement des 1 150 salariés de la Comareg et des 500 salariés d’Hebdoprint.
2550 familles sacrifiées par Ph.HERSANT Ce site retrace le combat de la plus grande liquidation de 2011 passée sous silence par les politiques de tous bords en pleine campagne présidentielle : De "Sarkosy à Hollande - "Moi President ! en scooter" un silence assourdissant.... Ce blog était le lien sur l'ensemble de la France pour tenir informer les sacrifiés de la Presse Gratuite d'Annonces par GMH et son actionnaire principal Philippe HERSANT - 100 eme plus grosse fortune de France
mardi 9 juillet 2013
Mardi 09 Juillet 2013 - FILPAC-CGT - 356 anciens salariés de Paru Vendu assignent GHM aux prud’hommes
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lundi 8 juillet 2013
Lundi 08 Juillet 2013 - Des nouvelles de la Commission d'Enquete Parlementaire...
Vous vous souvenez tous de l'annonce faite d'une Commission d’Enquête Parlementaire sur GHM par Bruno LE ROUX, Président du Groupe Socialiste à l'Assemblée Nationale, à l’émission de BOURDIN sur RMC ?
Du texte présent sur ce blog étudié au bureau des Présidents de groupe ?
N'ayant pas de nouvelles j'ai demandé ou on en était au principal initiateur de cette dernière que nous avions rencontré début mars à Marseille dans ses bureaux.
Voici la copie de sa réponse sur mon Facebook
Je n'ai pas plus d'éléments pour apprécier les fondements de l'enquête judiciaire ....
Espérons que cela ne nous porte pas préjudice.
En effet une Commission Parlementaire auditionne tous les témoins et acteurs pendant une période maximale de six mois, ses travaux étant publics et transmettant au Parquet ce qui lui apparait opportun à poursuites.
Certes, j'aurai bien aimé que soit mis en lumière par le biais de cette commission d’enquête les dysfonctionnements. Manifestement ils sont tellement nombreux et graves que la Justice s'est emparée de la totalité du dossier tout en tenant compte de la présomption d'innocence qui est valable pour tous tant qu'un jugement n'est pas prononcé.
Certes, j'aurai bien aimé que soit mis en lumière par le biais de cette commission d’enquête les dysfonctionnements. Manifestement ils sont tellement nombreux et graves que la Justice s'est emparée de la totalité du dossier tout en tenant compte de la présomption d'innocence qui est valable pour tous tant qu'un jugement n'est pas prononcé.
Cordialement
Jean-Paul FABRE
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Lundi 08 Juillet 2013 - TRIBUNE DE LYON - PRUD’HOMMES : DÉPÔT DE 356 DOSSIERS PAR LES ANCIENS DE COMAREG ET HEBDOPRINT CONTRE LE GROUPE HERSANT MÉDIAS (GHM)
PRUD’HOMMES : DÉPÔT DE 356 DOSSIERS PAR LES ANCIENS DE COMAREG ET HEBDOPRINT CONTRE LE GROUPE HERSANT MÉDIAS (GHM)
©Olivier Chassignole |
Vendredi 5 juin, les anciens salariés de Comareg et Hebdoprint ont
déposé respectivement 218 et 138 dossiers au Conseil des
Prud’hommes de Lyon.
Pour Jean-Paul Fabre, Président de l’association Avenir Presse Publications (qui regroupe les anciens salariés d’Hebdoprint) « la machine est lancée, c’est une grande démarche qui devient concrète. » Les ex-Comareg et Hebdoprint dénoncent la situation précaire dans laquelle ils se trouvent : sur 138 personnes (qui ont déposé des dossiers) une dizaine seulement a retrouvé du travail et les autres approchent de leur fin de droits. La plupart des anciens salariés avaient entre 45 et 55 ans au moment de leur licenciement et beaucoup de couples travaillaient pour le groupe, la situation est d’autant plus précaire pour ces familles…
Selon eux, le groupe Hersant a utilisé les bénéfices de Paru-Vendu pour racheter des quotidiens tels que Nice-Matin ou La Provence. « Paru-Vendu était la vache à lait du groupe Hersant ». Pour ces anciens salariés, le groupe Hersant n’a jamais connu de problème de financement, « la liquidation d’Hebdoprint et de Comareg résulte d’un choix fait par le groupe Hersant qui a préféré ne pas pérenniser Paru-vendu au profit d’autres titres. »
Le groupe Hersant est aussi accusé d’avoir eu une mauvaise gestion financière : en cause un lien avec le golf Robert Hersant de Nantilly, filiale du groupe qui aurait bénéficié d’une « avance sur compte courant » de 15 millions d’euros de la part du groupe alors même que Paru-vendu se trouvait dans une situation plus que délicate. « 10 millions ont été remboursés, mais qu’en est-il des 5 millions restants ? » s’interroge Maitre Gauer. Les ex-Comareg et Hebdoprint attendent donc beaucoup de ce recours déposé devant le conseil de Prud’hommes puisqu’ils estiment que Paru-Vendu aurait pu continuer à dégager des bénéfices mais « le temps et les financements ont manqué » au titre.
Au vue de ces éléments, tous espèrent maintenant une revalorisation de leurs indemnités de licenciement, une conciliation aura lieu le 5 novembre prochain.
Pour Jean-Paul Fabre, Président de l’association Avenir Presse Publications (qui regroupe les anciens salariés d’Hebdoprint) « la machine est lancée, c’est une grande démarche qui devient concrète. » Les ex-Comareg et Hebdoprint dénoncent la situation précaire dans laquelle ils se trouvent : sur 138 personnes (qui ont déposé des dossiers) une dizaine seulement a retrouvé du travail et les autres approchent de leur fin de droits. La plupart des anciens salariés avaient entre 45 et 55 ans au moment de leur licenciement et beaucoup de couples travaillaient pour le groupe, la situation est d’autant plus précaire pour ces familles…
Selon eux, le groupe Hersant a utilisé les bénéfices de Paru-Vendu pour racheter des quotidiens tels que Nice-Matin ou La Provence. « Paru-Vendu était la vache à lait du groupe Hersant ». Pour ces anciens salariés, le groupe Hersant n’a jamais connu de problème de financement, « la liquidation d’Hebdoprint et de Comareg résulte d’un choix fait par le groupe Hersant qui a préféré ne pas pérenniser Paru-vendu au profit d’autres titres. »
Le groupe Hersant est aussi accusé d’avoir eu une mauvaise gestion financière : en cause un lien avec le golf Robert Hersant de Nantilly, filiale du groupe qui aurait bénéficié d’une « avance sur compte courant » de 15 millions d’euros de la part du groupe alors même que Paru-vendu se trouvait dans une situation plus que délicate. « 10 millions ont été remboursés, mais qu’en est-il des 5 millions restants ? » s’interroge Maitre Gauer. Les ex-Comareg et Hebdoprint attendent donc beaucoup de ce recours déposé devant le conseil de Prud’hommes puisqu’ils estiment que Paru-Vendu aurait pu continuer à dégager des bénéfices mais « le temps et les financements ont manqué » au titre.
Au vue de ces éléments, tous espèrent maintenant une revalorisation de leurs indemnités de licenciement, une conciliation aura lieu le 5 novembre prochain.
Anne-Sophie Ober | 08/07/2013
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Lundi 08 Juillet 2013 - Actu.ORANGE.fr- 356 ex-salariés de « Paru Vendu » assignent Hersant aux prud'hommes
356 ex-salariés de « Paru Vendu » assignent Hersant aux prud'hommes
presse : Quelque 356 anciens salariés de la Comareg, l'éditeur du journal gratuit d'annonces « Paru Vendu », liquidé fin 2011, et de son imprimerie Hebdoprint, attaquent Groupe Hersant Médias (GHM), propriétaire des deux sociétés, devant le conseil de prud'hommes de Lyon. Ils contestent la validité de leur licenciement et réclament des dommages-intérêts. Une audience de conciliation a été fixée au 5 novembre, en attendant l'éventuel passage à la phase contentieuse. La fin de « ParuVendu » avait conduit au licenciement des 1.150 salariés de la Comareg et des 500 salariés d'Hebdoprint, soit l'un des plus gros plans...
08/07/2013
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Lundi 08 Juillet 2013 - LesEchos.fr - 356 ex-salariés de « Paru Vendu » assignent Hersant aux prud'hommes
356 ex-salariés de
« Paru Vendu » assignent Hersant aux prud'hommes
presse : Quelque 356 anciens salariés de la Comareg, l'éditeur du journal gratuit d'annonces « Paru Vendu », liquidé fin 2011, et de son imprimerie Hebdoprint, attaquent Groupe Hersant Médias (GHM), propriétaire des deux sociétés, devant le conseil de prud'hommes de Lyon. Ils contestent la validité de leur licenciement et réclament des dommages-intérêts. Une audience de conciliation a été fixée au 5 novembre, en attendant l'éventuel passage à la phase contentieuse. La fin de « ParuVendu » avait conduit au licenciement des 1.150 salariés de la Comareg et des 500 salariés d'Hebdoprint, soit l'un des plus gros plans sociaux de 2011.
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dimanche 7 juillet 2013
Dimanche 07 Juillet 2013 - LIBERATION : Chiffre. Comareg. Paru-Vendu
356
C’est le nombre d’anciens salariés de la Comareg, l’éditeur du journal gratuit d’annonces Paru-Vendu liquidé fin 2011, et de son imprimerie Hebdoprint, qui ont déposé vendredi un dossier au conseil des prud’hommes de Lyon. Ils contestent la validité de leur licenciement et réclament des dommages et intérêts au Groupe Hersant Médias (GHM), alors propriétaire des deux sociétés liquidées. Une audience de conciliation a été fixée au 5 novembre, en attendant l’éventuel passage à la phase contentieuse. La fin de ParuVendu avait conduit au licenciement des 1 150 salariés de la Comareg et des 500 salariés de Hebdoprint, soit le plus gros plan social de 2011.
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Samedi 06 Juillet 2013 - jeanmarcmorandini.com - 356 anciens salariés de ParuVendu assignent le magazine aux prud'hommes
356 anciens salariés de ParuVendu assignent le magazine aux prud'hommes
Quelque 356 anciens salariés de la Comareg, l'éditeur du journal
gratuit d'annonces "Paru Vendu" liquidé fin 2011, et de son entité
d'impression Hebdoprint, ont déposé vendredi leur dossier au conseil de
prud'hommes de Lyon.
Ils contestent la validité de leur licenciement et réclament des dommages-intérêts au Groupe Hersant Médias (GHM), propriétaire des deux sociétés liquidées.
Les 218 anciens salariés de la Comareg et les 138 de Hebdoprint font d'abord valoir leur situation de "coemploi", puisque GHM "intervenait directement dans les affaires de ses filiales", explique Jean-Paul Fabre, ex-secrétaire du CHSCT de Hebdoprint.
Selon Me Gilles Gauer, qui défend les licenciés de Hebdoprint, GHM se comportait donc "comme un coemployeur" et avait par conséquent "l'obligation de conserver" ses salariés - ou de les licencier en respectant les critères légaux.
Par ailleurs, les 356 requérants contestent la cause de leur éviction.
Les difficultés économiques du pôle presse gratuite de GHM avaient conduit en novembre 2011 à la liquidation judiciaire des deux entités, prélude aux licenciements.
Mais pour Me Gauer, "ces difficultés sont dues à une mauvaise gestion", les profits de la Comareg et de Hebdoprint étant "absorbés par la maison-mère", GHM, qui s'est abstenue en retour d'investir pour favoriser "le passage au numérique".
Une audience de conciliation a été fixée au 5 novembre, en attendant l'éventuel passage à la phase contentieuse, a précisé Me Pierre Masanovic, l'avocat des anciens salariés de la Comareg.
Ils contestent la validité de leur licenciement et réclament des dommages-intérêts au Groupe Hersant Médias (GHM), propriétaire des deux sociétés liquidées.
Les 218 anciens salariés de la Comareg et les 138 de Hebdoprint font d'abord valoir leur situation de "coemploi", puisque GHM "intervenait directement dans les affaires de ses filiales", explique Jean-Paul Fabre, ex-secrétaire du CHSCT de Hebdoprint.
Selon Me Gilles Gauer, qui défend les licenciés de Hebdoprint, GHM se comportait donc "comme un coemployeur" et avait par conséquent "l'obligation de conserver" ses salariés - ou de les licencier en respectant les critères légaux.
Par ailleurs, les 356 requérants contestent la cause de leur éviction.
Les difficultés économiques du pôle presse gratuite de GHM avaient conduit en novembre 2011 à la liquidation judiciaire des deux entités, prélude aux licenciements.
Mais pour Me Gauer, "ces difficultés sont dues à une mauvaise gestion", les profits de la Comareg et de Hebdoprint étant "absorbés par la maison-mère", GHM, qui s'est abstenue en retour d'investir pour favoriser "le passage au numérique".
Une audience de conciliation a été fixée au 5 novembre, en attendant l'éventuel passage à la phase contentieuse, a précisé Me Pierre Masanovic, l'avocat des anciens salariés de la Comareg.
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dimanche, juillet 07, 2013
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samedi 6 juillet 2013
Samedi 06 Juillet 2013 - MLyon.fr - Paru Vendu : 356 anciens salariés traînent le Groupe Hersant Média devant les prud'hommes
Paru Vendu : 356 anciens salariés traînent le Groupe Hersant Média devant les prud'hommes
Ce
vendredi, le conseil de prud'hommes de Lyon a reçu le dossier
d'anciens salariés de la Comareg et d'Hebdoprint, la société
éditrice du journal disparu Paru Vendu et son centre d'impression.
356 personnes au total qui réclament des dommages et intérêts au
Groupe Hersant Média et contestent la validité de leur licenciement
en novembre 2011 grâce à leur situation de "coemploi".
Une fronde que Bernard Tapie avait vu venir l'hiver dernier lorsqu'il
racheta des titres de GHM : "Je confirme enfin avoir pris
connaissance du risque Comareg et notamment celui du co-emploi",
écrivait l'homme d'affaires à l'administrateur judiciaire.
Selon
les anciens salariés, GHM, propriétaire des deux sociétés
liquidées, avait pour obligation de les conserver ou bien de les
licencier en respectant les critères légaux.
L'avocat
des ex-salariés d'Hebdoprint, Me Bauer, dans des propos relayés par
l'AFP, met également en cause la "mauvaise gestion" de GHM
qui absorbait les profits de Comareg et Hebdoprint sans les
réinvestir pour préparer "le passage au numérique".
Le
5 novembre prochain, une audience de conciliation se tiendra. Les
avocats des anciens salariés n'excluent pas de passer ensuite à la
phase contentieuse.
Pour
rappel, la liquidation de Paru Vendu, journal gratuit d'annonces,
avait laissé 1650 salariés sur le carreau. Trois repreneurs
potentiels avaient fait preuve d'intérêt à l'époque mais l'un
s'était retiré et les deux autres avaient été jugés non
recevables par l'administrateur judiciaire.
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samedi, juillet 06, 2013
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Vendredi 05 Juillet 2013 - Lyon Premiere - 356 anciens salariés de ParuVendu assignent Hersant Media aux prud'hommes
356 anciens salariés de ParuVendu assignent Hersant Media aux prud'hommes
Vendredi 5 Juillet 2013
Quelque 356 anciens salariés de la Comareg, l'éditeur du journal gratuit d'annonces "Paru Vendu" liquidé fin 2011, et de son entité d'impression Hebdoprint, ont déposé leur dossier au conseil de prud'hommes de Lyon.
Ils contestent la validité de...
Quelque 356 anciens salariés de la Comareg, l'éditeur du journal gratuit d'annonces "Paru Vendu" liquidé fin 2011, et de son entité d'impression Hebdoprint, ont déposé leur dossier au conseil de prud'hommes de Lyon.
Ils contestent la validité de leur licenciement et réclament des dommages-intérêts au Groupe Hersant Médias (GHM), propriétaire des deux sociétés liquidées.
Les 217 anciens salariés de la Comareg et les 139 de Hebdoprint font d'abord valoir leur situation de "coemploi", puisque GHM "intervenait directement dans les affaires de ses filiales", explique Jean-Paul Fabre, ex-secrétaire du CHSCT de Hebdoprint.
Selon Me Gilles Bauer, qui défend les licenciés de Hebdoprint, GHM se comportait donc "comme un coemployeur" et avait par conséquent "l'obligation de conserver" ses salariés - ou de les licencier en respectant les critères légaux.
Par ailleurs, les 356 requérants contestent la cause de leur éviction. Les difficultés économiques du pôle presse gratuite de GHM avaient conduit en novembre 2011 à la liquidation judiciaire des deux entités, prélude aux licenciements.
Mais pour Me Bauer, "ces difficultés sont dues à une mauvaise gestion", les profits de la Comareg et de Hebdoprint étant "absorbés par la maison-mère", GHM, qui s'est abstenue en retour d'investir pour favoriser "le passage au numérique".
Une audience de conciliation a été fixée au 5 novembre, en attendant l'éventuel passage à la phase contentieuse, a précisé Me Pierre Masanovic, l'avocat des anciens salariés de la Comareg.
La fin de "ParuVendu" avait conduit au licenciement des 1.150 salariés de la Comareg et des 500 salariés de Hebdoprint, soit "le plus gros plan social de 2011", d'après Jean-Paul Fabre.
Ils contestent la validité de leur licenciement et réclament des dommages-intérêts au Groupe Hersant Médias (GHM), propriétaire des deux sociétés liquidées.
Les 217 anciens salariés de la Comareg et les 139 de Hebdoprint font d'abord valoir leur situation de "coemploi", puisque GHM "intervenait directement dans les affaires de ses filiales", explique Jean-Paul Fabre, ex-secrétaire du CHSCT de Hebdoprint.
Selon Me Gilles Bauer, qui défend les licenciés de Hebdoprint, GHM se comportait donc "comme un coemployeur" et avait par conséquent "l'obligation de conserver" ses salariés - ou de les licencier en respectant les critères légaux.
Par ailleurs, les 356 requérants contestent la cause de leur éviction. Les difficultés économiques du pôle presse gratuite de GHM avaient conduit en novembre 2011 à la liquidation judiciaire des deux entités, prélude aux licenciements.
Mais pour Me Bauer, "ces difficultés sont dues à une mauvaise gestion", les profits de la Comareg et de Hebdoprint étant "absorbés par la maison-mère", GHM, qui s'est abstenue en retour d'investir pour favoriser "le passage au numérique".
Une audience de conciliation a été fixée au 5 novembre, en attendant l'éventuel passage à la phase contentieuse, a précisé Me Pierre Masanovic, l'avocat des anciens salariés de la Comareg.
La fin de "ParuVendu" avait conduit au licenciement des 1.150 salariés de la Comareg et des 500 salariés de Hebdoprint, soit "le plus gros plan social de 2011", d'après Jean-Paul Fabre.
Gérald BOUCHON
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vendredi 5 juillet 2013
Vendredi 05 Juillet 2013 - RadioEspace.com - PARU VENDU : 356 ANCIENS SALARIÉS TRAÎNENT LE GROUPE HERSANT MÉDIA DEVANT LES PRUD'HOMMES
PARU VENDU : 356 ANCIENS SALARIÉS TRAÎNENT LE GROUPE HERSANT MÉDIA DEVANT LES PRUD'HOMMES
Ce
vendredi, le conseil de prud'hommes de Lyon a reçu le dossier
d'anciens salariés de la Comareg et d'Hebdoprint, la société
éditrice du journal disparu Paru Vendu et son centre d'impression.
356 personnes au total qui réclament des dommages et intérêts au
Groupe Hersant Média et contestent la validité de leur licenciement
en novembre 2011 grâce à leur situation de "coemploi".
Une fronde que Bernard Tapie avait vu venir l'hiver dernier lorsqu'il
racheta des titres de GHM : "Je confirme enfin avoir pris
connaissance du risque Comareg et notamment celui du co-emploi",
écrivait l'homme d'affaires à l'administrateur judiciaire. Selon
les anciens salariés, GHM, propriétaire des deux sociétés
liquidées, avait pour obligation de les conserver ou bien de les
licencier en respectant les critères légaux. L'avocat des
ex-salariés d'Hebdoprint, Me Bauer, dans des propos relayés par
l'AFP, met également en cause la "mauvaise gestion" de GHM
qui absorbait les profits de Comareg et Hebdoprint sans les
réinvestir pour préparer "le passage au numérique". Le 5
novembre prochain, une audience de conciliation se tiendra. Les
avocats des anciens salariés n'excluent pas de passer ensuite à la
phase contentieuse. Pour rappel, la liquidation de Paru Vendu,
journal gratuit d'annonces, avait laissé 1650 salariés sur le
carreau. Trois repreneurs potentiels avaient fait preuve d'intérêt
à l'époque mais l'un s'était retiré et les deux autres avaient
été jugés non recevables par l'administrateur judiciaire.
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vendredi, juillet 05, 2013
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Vendredi 05 Juillet 2013 - finances.net - 356 anciens salariés de ParuVendu assignent Hersant Media aux prud'hommes
356 anciens salariés de ParuVendu assignent Hersant Media aux prud'hommes
LYON, 05 juil 2013 (AFP) -: Quelque 356 anciens salaries de la Comareg, l'editeur du journal gratuit d'annonces "Paru Vendu" liquide fin 2011, et de son entite d'impression Hebdoprint, ont depose...vendredi leur dossier au conseil des prud'hommes de Lyon.
Ils contestent la validité de leur licenciement et réclament des dommages-intérêts au Groupe Hersant Médias (GHM), propriétaire des deux sociétés liquidées.
Les 217 anciens salariés de la Comareg et les 139 de Hebdoprint font d'abord valoir leur situation de "coemploi", puisque GHM "intervenait directement dans les affaires de ses filiales", explique Jean-Paul Fabre, ex-secrétaire du CHSCT de Hebdoprint.
Selon Me Gilles Bauer, qui défend les licenciés de Hebdoprint, GHM se comportait donc "comme un coemployeur" et avait par conséquent "l'obligation de conserver" ses salariés - ou de les licencier en respectant les critères légaux.
Par ailleurs, les 356 requérants contestent la cause de leur éviction. Les difficultés économiques du pôle presse gratuite de GHM avaient conduit en novembre 2011 à la liquidation judiciaire des deux entités, prélude aux licenciements.
Mais pour Me Bauer, "ces difficultés sont dues à une mauvaise gestion", les profits de la Comareg et de Hebdoprint étant "absorbés par la maison-mère", GHM, qui s'est abstenue en retour d'investir pour favoriser "le passage au numérique".
Une audience de conciliation a été fixée au 5 novembre, en attendant l'éventuel passage à la phase contentieuse, a précisé Me Pierre Masanovic, l'avocat des anciens salariés de la Comareg.
La fin de "ParuVendu" avait conduit au licenciement des 1.150 salariés de la Comareg et des 500 salariés de Hebdoprint, soit "le plus gros plan social de 2011", d'après Jean-Paul Fabre.
cfe/ppy/ide
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vendredi, juillet 05, 2013
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Vendredi 05 Juillet 2013 - Tahiti Infos - 356 anciens salariés de ParuVendu assignent Hersant Media aux prud'hommes
LYON, 5 juillet 2013 (AFP) - Quelque 356 anciens salariés de la Comareg, l'éditeur du journal gratuit d'annonces "Paru Vendu" liquidé fin 2011, et de son entité d'impression Hebdoprint, ont déposé vendredi leur dossier au conseil de prud'hommes de Lyon.
Ils contestent la validité de leur licenciement et réclament des dommages-intérêts au Groupe Hersant Médias (GHM), propriétaire des deux sociétés liquidées.
Les 217 anciens salariés de la Comareg et les 139 de Hebdoprint font d'abord valoir leur situation de "coemploi", puisque GHM "intervenait directement dans les affaires de ses filiales", explique Jean-Paul Fabre, ex-secrétaire du CHSCT de Hebdoprint.
Selon Me Gilles Bauer, qui défend les licenciés de Hebdoprint, GHM se comportait donc "comme un coemployeur" et avait par conséquent "l'obligation de conserver" ses salariés - ou de les licencier en respectant les critères légaux.
Par ailleurs, les 356 requérants contestent la cause de leur éviction. Les difficultés économiques du pôle presse gratuite de GHM avaient conduit en novembre 2011 à la liquidation judiciaire des deux entités, prélude aux licenciements.
Mais pour Me Bauer, "ces difficultés sont dues à une mauvaise gestion", les profits de la Comareg et de Hebdoprint étant "absorbés par la maison-mère", GHM, qui s'est abstenue en retour d'investir pour favoriser "le passage au numérique".
Une audience de conciliation a été fixée au 5 novembre, en attendant l'éventuel passage à la phase contentieuse, a précisé Me Pierre Masanovic, l'avocat des anciens salariés de la Comareg.
La fin de "ParuVendu" avait conduit au licenciement des 1.150 salariés de la Comareg et des 500 salariés de Hebdoprint, soit "le plus gros plan social de 2011", d'après Jean-Paul Fabre.
Ils contestent la validité de leur licenciement et réclament des dommages-intérêts au Groupe Hersant Médias (GHM), propriétaire des deux sociétés liquidées.
Les 217 anciens salariés de la Comareg et les 139 de Hebdoprint font d'abord valoir leur situation de "coemploi", puisque GHM "intervenait directement dans les affaires de ses filiales", explique Jean-Paul Fabre, ex-secrétaire du CHSCT de Hebdoprint.
Selon Me Gilles Bauer, qui défend les licenciés de Hebdoprint, GHM se comportait donc "comme un coemployeur" et avait par conséquent "l'obligation de conserver" ses salariés - ou de les licencier en respectant les critères légaux.
Par ailleurs, les 356 requérants contestent la cause de leur éviction. Les difficultés économiques du pôle presse gratuite de GHM avaient conduit en novembre 2011 à la liquidation judiciaire des deux entités, prélude aux licenciements.
Mais pour Me Bauer, "ces difficultés sont dues à une mauvaise gestion", les profits de la Comareg et de Hebdoprint étant "absorbés par la maison-mère", GHM, qui s'est abstenue en retour d'investir pour favoriser "le passage au numérique".
Une audience de conciliation a été fixée au 5 novembre, en attendant l'éventuel passage à la phase contentieuse, a précisé Me Pierre Masanovic, l'avocat des anciens salariés de la Comareg.
La fin de "ParuVendu" avait conduit au licenciement des 1.150 salariés de la Comareg et des 500 salariés de Hebdoprint, soit "le plus gros plan social de 2011", d'après Jean-Paul Fabre.
Rédigé par () le Vendredi 5 Juillet 2013 à 07:01
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vendredi, juillet 05, 2013
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Vendredi 05 Juillet 2013 - EUROPE1/AFP - 356 ex-salariés assignent Hersant Medias
Par Europe1.fr avec AFP
Publié le 5 juillet 2013 à 18h15
Quelque 356 anciens salariés de la Comareg, l'éditeur du journal gratuit d'annonces "Paru Vendu" liquidé fin 2011, et de son entité d'impression Hebdoprint, ont déposé vendredi leur dossier au conseil de prud'hommes de Lyon. Ils contestent la validité de leur licenciement et réclament des dommages-intérêts au Groupe Hersant Médias (GHM), propriétaire des deux sociétés liquidées. Les 217 anciens salariés de la Comareg et les 139 de Hebdoprint font d'abord valoir leur situation de "coemploi", puisque GHM "intervenait directement dans les affaires de ses filiales", explique Jean-Paul Fabre, ex-secrétaire du CHSCT de Hebdoprint.
Selon Me Gilles Bauer, qui défend les licenciés de Hebdoprint, GHM se comportait donc "comme un coemployeur" et avait par conséquent "l'obligation de conserver" ses salariés - ou de les licencier en respectant les critères légaux. Par ailleurs, les 356 requérants contestent la cause de leur éviction. Les difficultés économiques du pôle presse gratuite de GHM avaient conduit en novembre 2011 à la liquidation judiciaire des deux entités, prélude aux licenciements. Mais pour Me Bauer, "ces difficultés sont dues à une mauvaise gestion", les profits de la Comareg et de Hebdoprint étant "absorbés par la maison-mère", GHM, qui s'est abstenue en retour d'investir pour favoriser "le passage au numérique". Une audience de conciliation a été fixée au 5 novembre, en attendant l'éventuel passage à la phase contentieuse, a précisé Me Pierre Masanovic, l'avocat des anciens salariés de la Comareg. La fin de "ParuVendu" avait conduit au licenciement des 1.150 salariés de la Comareg et des 500 salariés de Hebdoprint, soit "le plus gros plan social de 2011", d'après Jean-Paul Fabre.
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vendredi, juillet 05, 2013
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Vendredi 05 Juillet 2013 - Echo du Frioul - 356 anciens employés du groupe Hersant veulent faire banquer Tapie
356 anciens employés du groupe Hersant veulent faire banquer Tapie
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Les ennuis s’accumulent autour du groupe Hersant médias (GHM). Le nouvel actionnaire Bernard Tapie, va devoir faire face à une première salve du « risque Comareg » qu’il avait lui-même accepté de prendre. En effet, vendredi, 356 anciens salariés de Paru Vendu déposent leur dossier devant les Prud’hommes de Lyon
C’est un grand coup que s’apprêtent à frapper les anciens de Paru Vendu en déposant conjointement 356 dossiers devant les Prud’hommes de Lyon. Ces salariés d’Hebdo Print et de la Comareg, deux filiales du groupe Hersant médias (GHM), éditaient ces journaux spécialisés dans les petites annonces jusqu’à leur liquidation en 2011. À l’époque, les 1650 employés étaient partis avec le minimum légal en termes d’indemnités de licenciement, payées par la puissance publique.
L’hiver dernier, les tractations autour du rachat des titres de Hersant médias leur avaient donné une lueur d’espoir. En décembre, le futur actionnaire, Bernard Tapie, avait clairement indiqué dans un courrier [voir le courrier] qu’il était prêt à assumer « le risque Comareg ». Dans une lettre adressée à l’administrateur judiciaire Christophe Thévenod en décembre, le futur cador des médias du sud écrivait en toutes lettres :
Je confirme enfin avoir pris connaissance du risque Comareg et notamment celui du co-emploi.
Ce « risque Comareg » était celui-là même qui avait fait reculer le groupe belge Rossel candidat à l’entrée dans le capital groupe Hersant. En janvier, un proche du dossier chez Rossel avait indiqué à Marsactu : « Il y avait un risque de co-emploi évalué par nos avocats ». Même si ce risque est difficile à mesurer, il va vite se chiffrer en millions d’euros. Et c’est bien sur cette notion de co-emploi que l’avocat des anciens d’Hebdoprint, Gilles Gauer et ceux des anciens de la Comareg, Pierre Masanovic, ont bâti les dossiers individuels qu’ils déposent conjointement ce vendredi. En cas de liquidation d’une filiale, ce principe du co-emploi permet aux salariés licenciés de se retourner contre la société mère en qualité de co-employeur à partir du moment où ces derniers arrivent à prouver qu’il y a confusion « d’intérêts, d’activités et de direction » entre la maison mère et ladite filiale.
« Vaches à lait du groupe Hersant »
« Certes, il existait des difficultés économiques au sein des sociétés Comareg et Hebdoprint mais ces sociétés ont été utilisées comme des vaches à lait par le groupe Hersant médias notamment pour racheter les journaux du sud de la France, plaide maître Gauer. Les profits de Paru Vendu ont été utilisés pour payer les dettes alors qu’ils auraient pu servir à payer le passage sur internet de ces journaux ». Un jeu de vases communicants admis par le directeur général Dominique Bernard dans une interview sur le site du Figaro. Depuis, GHM a bénéficié, lors de l’entrée de Bernard Tapie au capital, d’un effacement de dettes qui les place en position financière favorable. « Or, il y avait une confusion d’intérêt entre GHM et ses filiales. C’est le directeur général de GHM qui présidait la Comareg ». Pour l’avocat, on se trouve bien dans une situation de co-emploi et c’est en sens qu’il compte argumenter au profit des 356 anciens salariés réunis dans cette procédure. Du côté de GHM, la réponse habituelle est de renvoyer la balle vers le liquidateur du groupe comme Dominique Bernard l’avait fait dans Les Echos en janvier. Pour les anciens Paru Vendu, il a fallu convaincre et patiemment construire les dossiers de cette action collective.
Un travail de fourmi
« Nous avons fait un travail de fourmi, très administratif, raconte Jean-Paul Fabre, ancien d’Hebdoprint qui a monté une association pour défendre les anciens salariés des imprimeries de Paru Vendu. Nous avons contacté les anciens collègues, pour rassembler les preuves que GHM était bien à la manoeuvre au sein de ses filiales. Au bout du compte, nous avons récolté pas mal d’éléments. Nous avons donc de nombreuses présomptions de co-emploi ». La justice tranchera. Bien entendu, tous n’ont pas emboîté le pas de l’action collective. Pour Hebdoprint, seuls 138 présenteront un dossier ce vendredi. « C’est souvent pour des raisons financières. Le dépôt d’un dossier coûte environ 300 euros. Pour beaucoup, c’est déjà trop ».
Ancienne secrétaire du comité d’entreprise de la Comareg, Corinne Bélorgeot est la cheville ouvrière du collectif éponyme qui rassemble près de 650 anciens salariés dont 218 se tournent vers les Prud’hommes.« Tous n’ont pas souhaité nous accompagner. Certains ont entamé des démarches individuelles, d’autres n’ont pas répondu à temps. Il a bien fallu se résoudre à mettre une date butoir à notre action collective. Mais, déjà, un ancien salarié a eu gain de cause devant les prud’hommes qui ont reconnu le co-emploi ».
Pour autant, elle n’affiche pas une confiance à toute épreuve. Côté épreuves justement, les anciens Comareg ont tous des souvenirs amers. En 2011, dans la foulée d’un plan social, ils avaient vu le chiffre d’affaires remonter avant que la liquidation ne mette1650 personnes à la porte « avec, en poche, juste ce que prévoit le droit du travail ». Au-delà de la procédure judiciaire et des indemnités « plus justes » qu’elle pourrait leur apporter, ils aimeraient que toute la lumière soit faite sur la façon dont l’ancienne « vache à lait » du groupe Hersant a été liquidée. Une information qui pourrait être utile aux autres salariés du groupe Hersant qui ne savent pas du tout de quoi leur avenir sera fait. Une tuile de plus pour Bernard Tapie qui n’avait pas vraiment besoin de cela.
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Anciens de ParuVendu - Groupe COMAREG filiale GHM
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vendredi, juillet 05, 2013
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Vendredi 05 Juillet 2013 - Conseil des Prudhommes de Lyon - 14h
Nous avons le plaisir de vous annoncer que
356 dossiers ont été déposés
au Conseil des Prudhommes de Lyon
20 Boulevard Eugène Deruelle, 69003 Lyon
contre GHM
ce vendredi 5 juillet à 14h
Pour HEBDOPRINT il y a 138 dossiers complets.
Pour COMAREG il y a 218 dossiers complets.
Nous attaquons plus principalement sur le "co-emploi"
Sans vous et votre mobilisation
Pour COMAREG il y a 218 dossiers complets.
Nous attaquons plus principalement sur le "co-emploi"
Sans vous et votre mobilisation
sans le soutien de la première heure
de différents élus,
ou représentants de la société civile,
et leurs
conseils avisés,
nous ne serions jamais arrivés à ce résultat.
Au nom des deux associations des anciens salariés
Au nom des deux associations des anciens salariés
COMAREG (CASC) et HEBDOPRINT (APP)
nous vous en remercions.
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Anciens de ParuVendu - Groupe COMAREG filiale GHM
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vendredi, juillet 05, 2013
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jeudi 4 juillet 2013
Jeudi 04 Juillet 2013 - MEDIAPART - Des anciens de Paru Vendu veulent faire banquer Tapie
Des anciens de Paru Vendu veulent faire banquer Tapie
04 JUILLET 2013 | PAR LA RÉDACTION DE MEDIAPARTLe nouvel actionnaire du groupe Hersant médias Bernard Tapie va devoir faire face à une première salve du «risque Comareg» qu'il avait lui-même accepté de prendre.
Les ennuis s'accumulent
autour du groupe Hersant médias (GHM). Le nouvel actionnaire Bernard
Tapie va, selon le site d'information marseillais Marsactu, devoir
faire face à une première salve du « risque Comareg »
qu'il avait lui-même accepté de prendre. En effet, vendredi, 356
anciens salariés d'Hebdo Print et de la Comareg, deux filiales
du groupe Hersant médias (GHM) liquidées en 2011, déposent
leur dossier devant les prud'hommes de Lyon. « Ces
sociétés ont été utilisées comme des vaches à lait par le
groupe Hersant médias notamment pour racheter les journaux du
sud de la France, plaide maître Gauer, leur avocat. Les
profits de Paru Vendu ont été utilisés pour payer
les dettes alors qu'ils auraient pu servir à payer le passage sur
internet de ces journaux. »
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Les ennuis s'accumulent
autour du groupe Hersant médias (GHM). Le nouvel actionnaire Bernard
Tapie va, selon le site d'information marseillais Marsactu, devoir
faire face à une première salve du « risque Comareg »
qu'il avait lui-même accepté de prendre. En effet, vendredi, 356
anciens salariés d'Hebdo Print et de la Comareg, deux filiales
du groupe Hersant médias (GHM) liquidées en 2011, déposent
leur dossier devant les prud'hommes de Lyon. « Ces
sociétés ont été utilisées comme des vaches à lait par le
groupe Hersant médias notamment pour racheter les journaux du
sud de la France, plaide maître Gauer, leur avocat. Les
profits de Paru Vendu ont été utilisés pour payer
les dettes alors qu'ils auraient pu servir à payer le passage sur
internet de ces journaux. »
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jeudi, juillet 04, 2013
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mercredi 3 juillet 2013
Mercredi 03 Juillet 2013 - Lyon-Communiqués.com - communiqué de pressse en direct
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mercredi, juillet 03, 2013
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Mercredi 03 Juillet 2013 - LA MARSEILLAISE - Breves
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mercredi, juillet 03, 2013
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Mercredi 03 Juillet 2013 - TOUTE L'ACTUALITE DE LA PACA - 356 anciens employés du groupe Hersant veulent faire banquer Tapie
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mercredi, juillet 03, 2013
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mardi 2 juillet 2013
Mardi 02 Juillet 2013 - MarsActu - 356 anciens employés du groupe Hersant veulent faire banquer Tapie
356 anciens employés du groupe Hersant veulent faire banquer Tapie
C'est un grand coup que s'apprêtent à frapper les anciens de Paru Vendu en déposant conjointement 356 dossiers
devant les Prud'hommes de Lyon. Ces salariés d'Hebdo Print et de la
Comareg, deux filiales du groupe Hersant médias (GHM), éditaient ces
journaux spécialisés dans les petites annonces jusqu'à leur liquidation en 2011.
À l'époque, les 1650 employés étaient partis avec le minimum légal en
termes d'indemnités de licenciement, payées par la puissance publique.
L'hiver dernier, les tractations
autour du rachat des titres de Hersant médias leur avaient donné une
lueur d'espoir. En décembre, le futur actionnaire, Bernard Tapie, avait
clairement indiqué dans un courrier [voir le courrier] qu'il était prêt à assumer "le risque Comareg".
Dans une lettre adressée à l'administrateur judiciaire Christophe
Thévenod en décembre, le futur cador des médias du sud écrivait en
toutes lettres :
Je confirme enfin avoir pris connaissance du risque Comareg et notamment celui du co-emploi.
Ce "risque Comareg" était celui-là même qui avait fait
reculer le groupe belge Rossel candidat à l'entrée dans le capital
groupe Hersant. En janvier, un proche du dossier chez Rossel avait
indiqué à Marsactu : "Il y avait un risque de co-emploi évalué par nos avocats".
Même si ce risque est difficile à mesurer, il va vite se chiffrer en
millions d'euros. Et c'est bien sur cette notion de co-emploi que
l'avocat des anciens d'Hebdoprint, Gilles Gauer et ceux des anciens de
la Comareg, Pierre Masanovic, ont bâti les dossiers individuels qu'ils
déposent conjointement ce vendredi. En
cas de liquidation d'une filiale, ce principe du co-emploi permet aux
salariés licenciés de se retourner contre la société mère en qualité de
co-employeur à partir du moment où ces derniers arrivent à prouver qu'il
y a confusion "d'intérêts, d'activités et de direction" entre la maison
mère et ladite filiale.
"Vaches à lait du groupe Hersant"
"Certes, il existait des
difficultés économiques au sein des sociétés Comareg et Hebdoprint mais
ces sociétés ont été utilisées comme des vaches à lait par le groupe
Hersant médias notamment pour racheter les journaux du sud de la France, plaide maître Gauer. Les
profits de Paru Vendu ont été utilisés pour payer les dettes alors
qu'ils auraient pu servir à payer le passage sur internet de ces
journaux". Un jeu de vases communicants admis par le directeur général Dominique Bernard dans une interview sur le site du Figaro.
Depuis, GHM a bénéficié, lors de l'entrée de Bernard Tapie au capital,
d'un effacement de dettes qui les place en position financière
favorable. "Or, il y avait une confusion d'intérêt entre GHM et ses filiales. C'est le directeur général de GHM qui présidait la Comareg".
Pour l'avocat, on se trouve bien dans une situation de co-emploi et
c'est en sens qu'il compte argumenter au profit des 356 anciens salariés
réunis dans cette procédure. Du côté de GHM, la réponse habituelle est
de renvoyer la balle vers le liquidateur du groupe comme
Dominique Bernard l'avait fait dans Les Echos en
janvier. Pour les anciens Paru Vendu, il a fallu convaincre et
patiemment construire les dossiers de cette action collective.
Un travail de fourmi
"Nous avons fait un travail de fourmi, très administratif, raconte Jean-Paul Fabre, ancien d'Hebdoprint qui a monté une association pour défendre les anciens salariés des imprimeries de Paru Vendu. Nous
avons contacté les anciens collègues, pour rassembler les preuves que
GHM était bien à la manoeuvre au sein de ses filiales. Au bout du
compte, nous avons récolter pas mal d'éléments. Nous avons donc de
nombreuses présomptions de co-emploi". La justice tranchera. Bien
entendu, tous n'ont pas emboîté le pas de l'action collective. Pour
Hebdoprint, seuls 138 présenteront un dossier ce vendredi. "C'est souvent pour des raisons financières. Le dépôt d'un dossier coûte environ 300 euros. Pour beaucoup, c'est déjà trop".
Ancienne
secrétaire du comité d'entreprise de la Comareg, Corinne Bélorgeot est
la cheville ouvrière du collectif éponyme qui rassemble près de 650
anciens salariés dont 218 se tournent vers les Prud'hommes. "Tous
n'ont pas souhaité nous accompagner. Certains ont entamé des démarches
individuelles, d'autres n'ont pas répondu à temps. Il a bien fallu se
résoudre à mettre une date butoir à notre action collective. Mais, déjà,
un ancien salarié a eu gain de cause devant les prud'hommes qui ont
reconnu le co-emploi".
Pour autant, elle n'affiche pas une
confiance à toute épreuve. Côté épreuves justement, les anciens Comareg
ont tous des souvenirs amers. En 2011, dans la foulée d'un plan social,
ils avaient vu le chiffre d'affaires remonter avant que la liquidation
mettent 1650 personnes à la porte "avec, en poche, juste ce que prévoit le droit du travail". Au-delà de la procédure judiciaire et des indemnités "plus justes"
qu'elle pourrait leur amener, ils aimeraient que toute la lumière soit
faite sur la façon dont l'ancienne "vache à lait" du groupe Hersant a
été liquidée. Une information qui pourrait être utile aux autres
salariés du groupe Hersant qui ne savent pas du tout de quoi leur avenir sera fait. Une tuile de plus pour Bernard Tapie qui n'avait pas vraiment besoin de cela.
Lire la lettre de Bernard Tapie sur le site de MarsActu, lien sur le logo en haut de page
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Anciens de ParuVendu - Groupe COMAREG filiale GHM
à
mardi, juillet 02, 2013
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