samedi 12 mai 2012

Vendredi 11 Mai 2012 - FR3 CHAMPAGNE ARDENNES - Groupe Hersant Média : 270 postes supprimés ? - Média-Presse - France 3 Régions - France 3

Groupe Hersant Média : 270 postes supprimés ?


On ignore quels emplois de journalistes et/ou de techniciens, et quels titres en particuliers sont concernés.
270 postes seraient supprimés au sein du groupe Champagne Picardie de Hesrant-Média. Il comprend l'Union, l'Aisne Nouvelle, l'ardennais et l'Est-Eclair.
 
Suppressions d'emplois Groupe Hersant Media 

  • Suppressions d'emplois Groupe Hersant Media :  Voir cette vidéo


    • Ces suppressions de postes auraient été annoncées hier à Paris lors d'une réunion.
      Le groupe Belge Rossel, réclamerait cette restructuration  avant une éventuelle reprise.

      Groupe Hersant Média : 270 postes supprimés ? - Média-Presse - France 3 Régions - France 3

      jeudi 10 mai 2012

      Jeudi 10 Mai 2012 - Explor'emploi Rennes


      Explor'emploi Rennes


      Infos pratiques
      Date
      Jeudi 10 mai 2012
      Horaires
      9h - 18h sans interruption
      Tarif
      Entrée gratuite sur inscription
      Lieu
      Halle Martenot
      Place des Lices
      35000 RENNES


      Les autres dates:
      NANTES 27 septembre 2012
      VANNES 25 octobre 2012
      QUIMPER 22 novembre 2012

      Renseignements sur le site

      mercredi 9 mai 2012

      Mercredi 09 Mai 2012 - MEDIAPART - Le scandale de l’exil fiscal en Suisse

      Le scandale de l’exil fiscal en Suisse.
      09 Mai 2012
      Par Fred Oberson

      Edition : A l'heure suisse

      Combien sont-ils les riches français qui ont choisi de transférer leur domicile en Suisse pour ne payer qu’un impôt dérisoire sur leurs revenus et leurs fortunes ? Trois mille, cinq mille ? c’est top secret… comme les banques !
      Ce scandale ne date pas de hier – crée en 1862 par le canton de Vaud -  et il s’est accru à la vitesse grand V depuis une quinzaine d’années alors que Chirac et Sarkozy étaient au pouvoir… Ils n’ont absolument rien entrepris envers leurs amis fortunés pour enrayer l’appauvrissement de la France.
      Le scandale est triple, tant du coté de l’Etat français, de l’Etat helvétique et des Français voyous et fraudeurs. Pour la plupart, ces revenus et ces fortunes ont été gagnés dans leurs activités marchandes, industrielles, voire sportives et culturelles en France.
      Le projet courageux de François Hollande de taxer à 75 % les revenus à partir d’un million arrive, hélas trop tard, puisque la plupart des rats ont déjà quitté le bateau ou s’empressent de le faire selon les articles du Journal Le Matin et des Inrockuptibles ci-dessous :  
      http://www.lematin.ch/suisse/exiles-francais-craquent-jura/story/26114816
      http://www.lesinrocks.com/2012/05/04/actualite/le-jura-suisse-accueille-les-exiles-fiscaux-de-la-presidentielle-11256889/

      Le fonctionnement du forfait fiscal…
      Il ne concerne qu’un nombre très restreint de personnes, car il est réservé à des contribuables aisés par les cantons suisses. Le contribuable payera un impôt en fonction de ses dépenses, en général de l’ordre du montant annuel de son loyer et de son standing laissé à la libre appréciation du taxateur !
      Quand Schumacher gagnait 100 millions de dollars par an, sa contribution fiscale, comprenant l’impôt communal, cantonal et fédéral, était de l’ordre de deux millions de francs suisses, 2% !
      A préciser que cet impôt spécifique ne s’applique pas aux seuls Français… mais compte tenu de la proximité de Paris, 3h00 de TGV, 1h00 d’avion, il n’est pas étonnant que le Lac Léman soit un havre de paix pour les fraudeurs. Ce statut ne les empêche nullement de conserver une résidence en France.
      En revanche, ils ne doivent pas exercer une quelconque activité professionnelle en Suisse... Où Aznavour compose-t-il ses rengaines et où Frédéric Dard écrivait-il ses San Antonio ?
      Fortune faite, la plupart de ces riches retraités n’ont nulle envie de rempiler et il y aura toujours la possibilité de créer des sociétés anonymes où des holdings à l’exemple de Philippe Hersant, l’héritier de l’ex-propriétaire du Figaro, qui s’active depuis Genève dans la presse.
      Ce forfait fiscal est scandaleux pour la Suisse qui n’a pas besoin de ça pour boucler ses fins de mois, puisqu’il rapporte des peanuts, de l’ordre de 60 millions d’euros par an. Il est discriminatoire à l’égard des Helvètes qui eux paient plein pot à l’exemple du tennisman  Federer par rapport à Noa… qui lui aussi a bénéficié en son temps de ce privilège. A revenu égal, Federer paie 10 fois plus que Johnny Halliday, le copain de l’ex !
      Gageons que François Hollande au pouvoir, il ne tardera pas à trouver les astuces juridiques pour faire rendre l’âme à ces mauvais Français. Peut-être, pourra-t-il compter sur le parti socialiste genevois qui a déposé une initiative pour supprimer ce scandale dans le Canton de Genève. La décision sera soumise au peuple à fin 2013, début 2014 !
      Zurich, le pays des banquiers, a montré l’exemple en supprimant ces forfaits d’un autre âge en 2009. Avec pour conséquence que les rats ont filé dans d’autres cantons !

      lundi 7 mai 2012

      Lundi 07 Mai 2012 - Mars Actu - le deal Rossel/Groupe Hersant médias toujours dans les limbes

      le deal Rossel/Groupe Hersant médias toujours dans les limbes
      La négociation en cours depuis plusieurs mois entre le groupe belge Rossel et GHM (Groupe Hersant médias) dans le but de constituer un groupe de PQR dans lequel chacun des groupes apporterait ses actifs (la Voix du Nord pour les Belges, La Provence, Nice Matin, le pôle Champagne-Ardennes-Picardie pour GHM) n'est pas encore bouclée, et semble durer. Et plus c'est long, moins c'est bon pour ce type de deal. Bien sur il y a l'élection présidentielle qui a dû quelque peu ralentir la négo. Notamment parce qu'avant de signer avec les Belges, Philippe Hersant l'actionnaire majoritaire de GHM a besoin de trouver un accord avec ses banquiers, et  d'un gros coup de pouce de Bercy pour y arriver. Mais aussi parce que les Belges auraient demandé à GHM de restructurer préalablement ses quotidiens. C'est en tout cas ce que révèle aujourd'hui la lettre d'information spécialisée Presse News, qui aurait récupéré un courrier interne signé par Dominique Bernard le patron exécutif de GHM demandant aux patrons de ses quotidiens régionaux "d'engager des négociations en vue de parvenir à un accord d'ici la mi-juin". Si toujours selon Presse News, des suppressions de postes seraient envisagées dans les journaux de l'est de la France, les journaux du sud , donc La Provence, Var-matin, Nice-Matin et Corse-Matin pourrait être épargnés par ce plan de départ, où il ne serait "seulement" question que de "modération salariale". Rossel est dans une position de force et menace toujours de ne pas signer, ce qui mettrait pour le moins GHM dans une position très inconfortable, après avoir liquidé en début d'année la Comareg et déposé le bilan de Paris Normandie il y a quelques semaines. C'est sans doute le premier dossier média "chaud" pour le futur gouvernement Hollande, et pour son futur- ou sa future - ministre de la communication. 
      Par pierre boucaud, le 7 mai 2012

      Lundi 07 Mai 2012 - Présidentielle: 7 Mai : FO appelle à un dialogue social normal

      Jour après jour - Présidentielle : 7 Mai : FO appelle à un dialogue social normal

      Le bureau confédéral fait le point sur les revendications (SMIC,Europe, Emploi et plans sociaux, Retraite) et appelle à un dialogue social "normal"

      Le bureau confédéral de FO était réuni ce matin 7 mai. Il s’agissait de faire le point comme chaque semaine sur l’actualité et bien évidemment sur les analyses, positions et action de la confédération.

      Le résultat de l’élection présidentielle, événement majeur de la vie politique, était bien évidemment au centre des réflexions. FO, attachée à la fois à la démocratie républicaine et à l’indépendance de l’organisation syndicale, avait indiqué que « Pendant la campagne électorale, les revendications continuent », éditant en février, sous ce titre, un supplément de son hebdomadaire FO Hebdo qui reprenait ses principales analyses et revendications dans le contexte de la crise économique actuelle et face aux politiques économiques et sociales mises en œuvre tant au plan national qu’européen et international.

      Interrogé par l’AFP ce lundi, Jean-Claude Mailly, secrétaire général de FO, en a appelé, en écho aux propos de M. Hollande se présentant comme un candidat normal, à un « dialogue social normal dans le respect du rôle des interlocuteurs » de la part du Président élu et de son futur gouvernement.

      Pour Jean Claude Mailly "des relations normales, cela veut dire qu'on ne soit pas critiqués, traités de corps intermédiaires, stigmatisés, car cela ne ferait qu'envenimer les choses", en référence, indique l’AFP, aux critiques adressées durant sa campagne par Nicolas Sarkozy aux syndicats.

      Mais cela veut dire aussi "qu'on n'a pas besoin d'inscrire dans la constitution qu'il faut nous consulter, avant de prendre une décision. En démocratie ça doit se faire naturellement", a-t-il jugé. Dans son projet, précise l’AFP, François Hollande prévoit d'inscrire l'obligation de concertation avec les partenaires sociaux dans la Loi fondamentale.

      Toujours "sur la méthode", M. Mailly souhaite "un président qui préside et un ou une Premier ministre qui gouverne" et « qu'on retrouve une distinction de rôle entre les uns et les autres, c'est important au plan démocratique".

      Interrogé sur, le numéro un de FO attend des réunions bilatérales pour préparer la conférence sociale prévue à la mi-juillet par M. F. Hollande

      Jean Claude Mailly, a réaffirmé à l’AFP que FO "se sent libre face au nouveau pouvoir" pour défendre les revendications.

      Sur les retraites, il relève déjà "un premier point de désaccord" avec François Hollande qui veut revenir au départ à 60 ans pour les personnes ayant "cotisé" 41 ans, alors que FO demande que soient pris en compte les trimestres "validés" c'est-à-dire y compris les périodes de chômage, de maternité, etc, sinon ce "serait discriminatoire", a affirmé M. Mailly.

      Le Smic, le traité budgétaire européen et les risques des plans sociaux sont, selon lui, les premiers gros dossiers sur la table du nouveau pouvoir.

      (avec l’AFP)

      dimanche 6 mai 2012

      Dimanche 06 Mai 2012 - Radio Londres

      Radio Londres :
      La petite ne grandira pas au château, je répète, la petite ne grandira pas au château !

      jeudi 3 mai 2012

      Jeudi 3 Mai 2012 - "Les chiffres de la protection sociale"


      Vous trouverez en annexe les chiffres de la protection sociale 2012 actualisés.

      Cet actualisation a lieu en cours d’année étant donné l’application des mesures gouvernementales votées dans la loi de financement rectificatif pour 2012 qui ont vu le décalage du 1er janvier au 1er avril 2012 de la revalorisation des prestations familiales (Allocations familiales, congé parental et prestations d’accueil du jeune enfant, etc.…)

      La même loi avait annoncé la révision des règles d’indexation des prestations familiales en les calant sur la croissance avec une indexation de 1% au lieu du taux d’inflation prévisionnel de 2.1%.

      Force Ouvrière vous rappelle qu’elle avait condamné en son temps ces deux mesures visant à pénaliser encore davantage les familles les plus modestes, déjà fragilisées par la conjoncture économique actuelle.

      Jeudi 03 Mai 2012 - Force Ouvrière SPECIAL IMPOTS 2012

      Spécial Force Ouvrière IMPÔTS 2012

      Dates François HOLLANDE

      ACTUALITES FRANCOIS HOLLANDE

      François Hollande

      Réunion Publique

      Jeudi 03 MAI  à 17h00

      Place du Capitole

      à TOULOUSE


       Nîmes le jeudi 05 avril 
      Photos droits réservés
      De droite à gauche : Patrice PRAT (Maire-Conseiller Général Laudun l'Ardoise, candidat à la députation),
      Damien ALARY (Président du Conseil Général du Gard, Vice Président de la Région Languedoc Roussillon), ,
      François HOLLANDE
      ,
      William DUMAS
      (Député du Gard), Christian BOURQUIN (Sénateur des P.O. et Président
      du conseil régional Languedoc-Roussillon)
      et
      Francoise DUMAS
      (
      vice-présidente du conseil régional Languedoc-Roussillon, candidate aux Législatives)

      mercredi 25 avril 2012

      Mercredi 25 avril 2012 - La Voix du Nord - La SCOP Inter 59 renonce à reprendre Hebdoprint à Lomme, mais rebondit - LaVoixEco.com


      La SCOP Inter 59 renonce à reprendre Hebdoprint à Lomme, mais rebondit
      A Lomme, l'imprimerie Hebdoprint qui éditait
      notamment le «Paru-Vendu»
      jusqu'à sa liquidation en novembre 2011.


      L'imprimerie Hebdoprint de Lomme ne sera pas reprise par la SCOP Inter 59. Malgré un dossier approuvé par le mandataire judiciaire, René Bétourné a été obligé de lâcher prise. Face aux lenteurs administratives et à l'enthousiasme mesuré du secteur bancaire. Mais l'ancien patron n'a pas dit son dernier mot : la SCOP se fera en modèle réduit. Elle voit le jour sous la forme d'une SARL début mai.
      « Nous avons dû réduire la voilure », avait annoncé René Bétourné, la semaine dernière. Ce moment, lorsqu'il a fallu annoncer aux 41 licenciés de la Comareg que l'entreprise s'avérait au final trop risquée à « cause de la frilosité des banques », a été « pénible et émouvant ».
      La réunion qui mettait fin au projet de reprise de l'imprimerie a été filmée par l'équipe d'Harry Roselmack, séduit par l'histoire de l'ancien patron venu au secours de ses salariés. Ces anciens de Paru-Vendu et de la Comareg devaient participer à la constitution de la SCOP sur leurs indemnités de licenciements. Ils avaient perdu leur emploi depuis novembre dernier, date de la liquidation de la Comareg et de son imprimerie Hebdoprint. Un séisme pour 1 650 personnes en France dont 150 dans la région.
      Mais qu'est-ce qui a péché dans la constitution de cette SCOP ? Pour majorer ses atouts, la SCOP devait démarrer son activité de petites annonces gratuites au plus vite. Or, si le projet d'exploitation de l'activité a été rapidement bouclé dès décembre, le montage administratif et financier a pris bien trop de temps.
      Un exemple : plus le temps passait, plus les indemnités que les anciens de la Comareg pouvaient mettre dans la coopérative diminuaient. Les commerciaux ne pouvaient plus tenir...
      Les tours de table avec les banques n'ont pas été simples. Le Crédit du Nord et la banque BNP Paribas ont été contactés en dernier ressort après une bonne dizaine d'autres établissements.
      « Que tout le monde ne regarde pas favorablement un projet, c'est normal », explique pour la BNP Paribas, Nicolas Draux. « Mais il est faux de dire qu'à la BNP Paribas, le dossier a traîné en longueur, s'insurge le responsable régional de l'établissement.
      Reçu le 10 avril, le porteur du projet a obtenu un accord favorable le 18. Je n'appelle pas cela un accord tardif ni un manque de soutien à l'activité des entreprises. ».
      « C'est vrai, reconnaît René Bétourné. Mais le problème pour les artisans de la SCOP, c'est que, sur ce prêt de 200 000 euros, je devais engager personnellement mes propres fonds pour le garantir. C'est comme si je me prêtais à moi-même... Et, plus inquiétant, cela voulait dire qu'au moindre déficit dans nos comptes, au moindre écart, les banques ne nous prêteraient pas facilement. Je ne pouvais pas prendre le risque d'envoyer mes anciens salariés dans le mur ! » D'où la décision d'abandonner la reprise de l'imprimerie lommoise. Mais... pas de la coopérative qui, cette fois, sous forme d'une SARL d'une quinzaine de personnes, va être constituée début mai. La SARL Inter 59 devrait s'installer sous peu à la ruche des 2 Lys, à Armentières.
      « On va commencer petit, et ensuite au fur et à mesure de notre développement, on réembauchera des ex-salariés de la Comareg et de Paru-Vendu. On a tout en main, et ça va marcher ! » René Bétourné a tourné une page mais ne jettera jamais le livre ! •

       mercredi 25.04.2012, 05:02
      PAR CAROLE MOCELLIN

      mardi 24 avril 2012

      Mardi 24 Avril 2012 - Le Meilleur de Marseille - La Provence / Nice Matin : 150 à 200 départs envisagés


      La Provence / Nice Matin: 150 à 200 départs envisagésLe groupe de presse belge Rossel qui devrait intégrer dans une holding commune, d’ici l’été, plusieurs titres de Groupe Hersant media en difficulté financière, a pris contact avec les personnels de La Provence et de Nice Matin/Corse Matin/Var matin. Sans attendre la signature définitive de son accord avec GHM et l’avis de la Direction de la concurrence et de la consommation, Bernard Marchant, l’administrateur délégué de Rossel, a fait le voyage de Marseille et de Nice pour présenter son groupe et sa stratégie.
      En décembre, Rossel, premier groupe de presse francophone belge, fêtera son 125e anniversaire. Créé à Bruxelles par Emile Rossel, fondateur du quotidien Le Soir, il possède aujourd’hui seize quotidiens en Belgique, dans le Nord de la France (La Voix du nord) et au Grand Duché de Luxembourg, une trentaine d’hebdomadaires et une demi-douzaine de mensuels. Il est aussi présent en Bulgarie.
      Propriété d’une famille, les Hurbain, comptant 3 500 salariés et réalisant 495 millions € de chiffre d’affaires, Rossel a accéléré son développement dans la presse écrite et les nouveaux media dès les années 1990 mais plus spécifiquement depuis 2000. Il est en passe de prendre le management de plusieurs des titres de Groupe Hersant media, notamment L’Union de Reims, La Provence, Nice Matin, Corse Matin, Var Matin et peut-être aussi Paris-Normandie.

      La Provence / Nice Matin: 250 à 200 départs envisagésA Marseille d’abord, puis à Nice, Bernard Marchant, qui était entouré de Michel Nozière, administrateur et Président du directoire de Voix du Nord investissement, et d’Eric Malrain, directeur financier, coaché par Dominique Bernard, directeur général de GHM, a exposé sa vision de l’avenir de la presse et répondu aux questions des représentants des salariés. Le maintien et l’indépendance financière des titres et des emplois ont été au centre des échanges.
      Si le projet de création d’une société holding Rossel-GHM (en juin) est mené à son terme, Rossel s’engagera à maintenir les titres et à garantir leur indépendance éditoriale. « Contrairement aux fonds de pension, nous avons les pieds sur terre, nous ne chercherons pas des rendements de folie », a dit Bernard Marchant à Marseille. Propos qu’il a ensuite précisé à Nice, indiquant que Rossel visait « un niveau de rentabilité de 10%, dans le but de dégager 3% pour le remboursement de la dette, 5% pour les investissements, 2% pour l’actionnaire ».
      Pour obtenir ce résultat, les titres du sud est plafonnant autour de 5%, avec des perspectives d’entrer dans le rouge à court terme, Rossel envisage 150 à 200 départs dans les deux ans. La modération salariale et la diminution de la RTT (réduction du temps de travail) seront également à l’ordre du jour. Un « guichet » devrait donc être ouvert au début de l’été. « Les départs se feront avec accompagnement », ont indiqué les dirigeants de Rossel.
      Tout au long de ses rencontres dites informelles, Bernard Marchant a répété l’attachement de son groupe au pluralisme de l’information et sa volonté de le développer dans les nouveaux médias « car nous sommes convaincus que le web deviendra l’extension naturelle et directe du papier », dit-il.
      Partenaire de plusieurs groupes de presse néerlandophone (Persgroep, Concentra media), Rossel s’intéresse aux Hollandais et Belges qui passent leurs vacances en Provence et a fait état de projets de publications qui leur seraient spécifiquement destinés.

      lundi 23 avril 2012

      Lundi 23 Avril 2012 - Chantepie (RENNES) va dire au revoir à IPS

      L'activité imprimerie a connu des jours meilleurs dans la région. Après les difficultés de la société Hebdoprint à Iffendic, liquidée puis finalement reprise il y a peu, c'est au tour d'IPS d'être touchée par un plan social. Filiale du groupe Spir Communication, l'un des actionnaires de 20 Minutes, l'entreprise doit fermer d'ici l'été ses studios prépresse de Chantepie, de Lens et de Saint-Dié. 75 personnes, dont 22 sur le site de Chantepie, vont être licenciées en raison d'une « baisse de l'activité de la société et de l'automatisation de l'outil de travail », selon les salariés. IPS imprime les journaux gratuits d'annonces Top et Logic-Immo. Les salariés du site breton avaient entamé un mouvement de grève la semaine dernière. Un accord avec la direction, jugé « globalement satisfaisant » par les salariés, a finalement été trouvé. Il comprend notamment le versement d'un congé de reclassement rémunéré à 75 % du salaire brut, d'indemnités supra-légales ainsi qu'un budget formation s'élevant à 412 000 € pour l'ensemble des salariés. Contactée, la direction d'IPS n'a pas souhaité réagir.J. G.

      samedi 21 avril 2012

      Samedi 21 Avril 2012 - "L'Est-Eclair" La Région inaugure une aide pour les Paru-Vendu | L'Est Eclair

      La Région CHAMPAGNE-ARDENNE inaugure une aide pour les Paru-Vendu
      Publié le samedi 21 avril 2012 à 12H22 

      La Région a voté hier un nouveau dispositif d’aide dont les Paru-Vendu, 80 emplois supprimés à Troyes, seront les premiers à bénéficier. Depuis la loi du 28 juillet 2011, grâce au contrat de sécurisation professionnelle (CSP), tous les salariés licenciés économiques peuvent suivre une formation longue. Seule limite, ce CSP ne prend pas en compte les formations dont la durée dépasse de six mois la durée du contrat (un an). La Région va donc financer en parité avec Pôle emploi les formations qui dépasseront cette durée fatidique, ce qui permettra aux licenciés économiques concernés de se préparer aux mieux à leur insertion sur le marché de l’emploi.

      Les Paru-Vendu, dont beaucoup voulaient engager des reconversions, seront logiquement les premiers à en bénéficier. Le conseil régional compte même organiser prochainement une réunion d’information à leur intention.

      La Région inaugure une aide pour les Paru-Vendu | L'Est Eclair

      Samedi 21 Avril 2012 - Lettre Ouverte à Hersant du CASC et de l'APP

      Bonjour monsieur HERSANT,
      Suite aux différents courriers adressés à Monsieur le Ministre du Travail, de l’Emploi et de la Santé Xavier BERTRAND, celui-ci nous a reçu au mois de décembre 2011 et sa Directrice de Cabinet le 07 mars 2012. Nous lui avons exprimé notre colère de voir le peu de considération que vous portiez à notre égard. Celui-ci nous a informé vous avoir sollicité par courrier afin que vous puissiez faire face à vos responsabilités en nous versant une indemnité supra légale à la hauteur du préjudice que nous avons subi.
      Monsieur le Ministre du Travail, de l’Emploi et de la Santé Xavier BERTRAND nous a lu votre réponse par laquelle vous l’informiez avoir déjà versé 14 millions à la Société Comareg. Ce versement sauf preuve du contraire, a été fait d’un actionnaire principal à une de ses Sociétés en difficulté pour l’aider dans son exploitation ! Alors quel est le rapport avec notre demande de versement d’indemnité supra légale ?
      Lors de la manifestation que nous avons organisée le 6 mars 2012 à Paris, nous avons rencontré Monsieur Dominique BERNARD, Directeur Général GHM. Il s’était engagé à être notre porte-parole auprès de vous. Il devait vous contacter afin de nous obtenir un rendez-vous, pour que nous puissions vous convaincre du bien-fondé du versement de cette indemnité supra légale. La réponse qui nous a été apportée par votre Directeur Général GHM ne nous a pas satisfaits ! Vous refusez toute communication avec nous et vous restez muet quant au versement de cette indemnité que nous vous demandons.
      Nous vous rappelons que nous sommes 1650 salariés à avoir travaillé et à s’être investis jusqu’au bout pour l’entreprise à laquelle nous appartenions. C’est pourquoi il nous semble inconcevable et injuste d’être traités de la sorte, alors que les salariés sortis lors des plans précédents ont touché une indemnité supra légale, eu  un accès à des formations longues et une aide à la création d’entreprise.
      Nous, nous sommes à la charge des contribuables, avec des moyens réduits et des formations qui ne doivent pas dépasser 15 euros de l’heure !
      Nous savons que vous avez été reçu récemment par le Président de la République en exercice à qui nous avons écrit à plusieurs reprises pour l’informer aussi de notre situation et lui demander son aide pour qu’il vous persuade de nous verser cette indemnité supra légale.
      AIDEZ-NOUS À TOURNER LA PAGE !
      Les semaines et les mois passent et une majorité de vos anciens salariés sont toujours à la recherche d’un nouvel emploi ! Nous avons créé le Collectif des Anciens Salariés de Comareg et l’Association des Anciens Salariés d’Hebdoprint pour rester dans l’action.
      AUJOURD’HUI, NOUS RÉITÉRONS NOTRE DEMANDE.
      Nous restons à votre entière disposition pour échanger avec vous. Les collectifs des Sociétés Comareg et Hebdoprint ne baisseront pas les bras et continueront à se faire entendre partout, auprès de toutes les instances possibles, afin de défendre les droits de tous les salariés ayant subi cette injuste liquidation.
      Salutations respectueuses

      vendredi 20 avril 2012

      Vendredi 20 Avril 2012 - DIGITAL VIRGO relance PARU VENDU

      Le groupe DIGITAL VIRGO (siège à Lyon, CA : 172 M€, 750 salariés) prévoit de relancer fin avril / début mai le titre de petites annonces Paru Vendu édité jusque récemment par la COMAREG, filiale du GROUPE HERSANT MEDIA aujourd'hui liquidée.

      Le titre, qui prendra la forme d'une parution A4 d'une dizaine de pages associant espaces publicitaires et florilèges des annonces accessibles sur le site Internet, remplacera ainsi dans les boîtes aux lettres le MaxAffaire de Digital Virgo, distribué à 3,5 M d'exemplaires dans 70 villes françaises moyennes.

      Cette relance a permis au repreneur de réembaucher une dizaine d'anciens salariés de la Comareg.

      Il ambitionne d'en recruter une soixantaine supplémentaire d'ici 2013.

      Source : Flash-infos

      Vendredi 20 Avril 2012 - 20 minutes.fr - L'imprimerie (de Lomme) ne repartira pas. Donner un coup de pouce aux coopératives

      Les porteurs du projet de Scop, ex-salariés d'Hebdoprint à Lomme, jettent l'éponge

      Une banque peu coopérative avec un projet de coopérative. La semaine dernière, les ex-salariés d'Hebdoprint, porteurs d'un projet de reprise de leur imprimerie de Lomme en Scop, ont dû déclarer forfait, a-t-on appris jeudi. « Il manquait 200 000 € que les banques ont trop tardés à prêter, malgré la garantie que j'offrais sur mon propre capital », regrette René Bétourné, ancien directeur du site et moteur du projet de reprise.
      Relance d'Inter 59
      L'imprimerie avait été placée en liquidation judiciaire en novembre. Depuis, 41 licenciés avaient accepté de placer leurs indemnités dans ce projet de reprise. Objectif : recréer le journal de petites annonces Inter 59. « C'est d'autant plus dommage que les pouvoirs politiques locaux s'étaient fortement engagés », témoigne Michel Ghetti, président de France Industrie & Emploi, chargé d'aider à la réindustrialisation du site. Les 200 000 € manquant, le Crédit du Nord était pourtant prêt à les avancer, mais contactée trop tard, la banque n'a rendu sa décision que la semaine dernière. « Nous avons été baladés pendant des mois par BNP Paribas », dénonce René Bétourné, qui compte néanmoins lancer Inter 59, mais avec moins d'éditions et, surtout, sans l'imprimerie. « C'était trop risqué », lance René Bétourné. Le nombre de salariés sera réduit à 11.

      Dans la famille coopérative, je demande la mère. Vendredi se tient l'assemblée générale constitutive de Replic, une société coopérative d'intérêt collectif (SCIC) chargée de dynamiser la création de coopératives dans la région. Premier défi de cette jeune coop « mère » : engendrer deux « filles » qui doivent voir le jour en septembre : une entreprise de traiteur/restauration s'appuyant sur les producteurs locaux et un service de location/entretien/vente de véhicules électriques. « Seules 5 % des entreprises de l'économie sociale et solidaire sont des coopératives, c'est trop peu », soulève Christiane Bouchart, conseillère (Verts) chargée du dossier à Lille Métropole. « Il ne s'agit pas de créer de la concurrence, mais de répondre à des besoins sociaux », précise Bernard Vigin, futur président de Replic.
      Gilles Durand 
      20 minutes.fr

      Vendredi 20 Avril 2012 - Meeting de Philippe POUTOU (NPA) à Montpellier


      jeudi 19 avril 2012

      Jeudi 19 Avril 2012 - Club de la Presse Nord-Pas-de-Calais : Le groupe belge Rossel reprend La Provence, entre autres

      Le groupe belge Rossel reprend La Provence, entre autres



      Un pas significatif semble avoir été franchi ce 16 avril dans la procédure de reprise du quotidien La Provence – propriété de GHM (Groupe Hersant Média) – par le groupe belge Rossel, qui contrôle déjà le Groupe Voix du Nord en France. Les représentants de Rossel sont venus à la rencontre des syndicats de La Provence.... Etaient présents Bernard Marchant, administrateur délégué du groupe Rossel, Michel Nozière, président du directoire de La Voix du Nord et administrateur de Rossel et Eric Malrain, directeur financier de Rossel. Selon la FILPAC, Bernard Marchand « a répondu volontiers, au titre de candidat repreneur ( ) aux questions portant sur les conditions du rapprochement GHM-Rossel en cours ». La consultation des instances représentatives du personnel en comité d’entreprise devrait intervenir en mai et la mise en place d’une holding en juin. « Les représentants syndicaux de La Provence ont redit leur attachement à la défense des emplois et des métiers, ainsi qu’au pluralisme de l’information  ».
      La situation demeure complexe cependant dans un contexte beaucoup plus vaste de restructuration/recomposition économique de la presse régionale. Si Rossel est devenu l’actionnaire de référence du quotidien provençal, tout n’est pas réglé du côté de GHM avec le dossier Paris-Normandie, en redressement judiciaire, dont les syndicats ont demandé qu’il soit pris en compte dans le projet de reprise. Les quatre quotidiens normands concernés viendraient s’ajouter dans l’escarcelle de Rossel qui, en France, outre le groupe La Voix du Nord qu’il contrôle déjà, s’apprête à engranger l’Union de Reims-l’Ardennais, Nice Matin. Par ailleurs, La Provence est délicate avec une chute de ses vents des derniers mois et certains évoquent un plan « social » pouvant concerner 500 emplois et la « modération salariale » pour l’ensemble des sociétés concernées par la reprise.
      « Nous défendrons nos emplois et nos métiers dans la holding que GHM et Rossel sont en train de constituer, a prévenu l’intersyndicale de La Provence dans une pétition adoptée fin mars. Nous n’accepterons plus d’autres suppressions d’emplois dans nos journaux. »
      Pourtant avec un ratio de 1 journaliste pour 1 000 exemplaires vendus, révélé lors de la récente fusion de La Voix du Nord et de Nord Eclair, les rédactions des titres méditerranéens seraient en « sureffectif ».

      mercredi 18 avril 2012

      Mercredi 18 Avril 2012 - Le Monde - "La Voix du Nord" fait le pari du payant sur Internet





      Le groupe de presse La Voix du Nord a décidé de miser sur le payant sur Internet. Son site, qui propose déjà une formule d'abonnement numérique, va restreindre le nombre d'articles en accès libre début mai. La partie "information en continu", constituée d'informations brèves et de dépêches, restera gratuite, tandis que les articles du journal papier basculeront dans la zone payante. Il faudra s'inscrire en laissant ses coordonnées pour en consulter gratuitement cinq, puis le site proposera à l'internaute de s'abonner. Le prix est de 79 centimes pour le passe journée et de 19,90 euro par mois pour un abonnement.

      "Actuellement, 80 % des articles issus du papier sont en accès libre, déclare Bruno Jauffret, directeur du développement numérique. L'objectif est d'éviter l'effondrement du trafic, pour ne pas faire baisser les ressources publicitaires, tout en engageant davantage l'audience qui se sent proche de notre marque." Le groupe de presse veut habituer son lectorat à payer pour de l'information en ligne. En novembre 2011, il a adopté une mesure radicale, qui était une première dans la presse française : faire basculer en tout payant le site d'un de ses quotidiens, Nord Littoral, la home page (page d'accueil) restant en accès gratuit. Le journal, situé à Calais, a une diffusion modeste de 9 224 exemplaires. Il sert souvent de laboratoire au groupe qui peut y tester certaines innovations.
      Quatre mois après le lancement de l'expérience, le bilan est en demi-teinte. La fréquentation du site ne s'est pas effondrée, passant de 8 000 visiteurs par jour à 5 000 ou 6 000. Beaucoup d'internautes se contentent de lire les titres et les quelques lignes de résumé des articles. En termes d'achats, les résultats sont modestes : entre 20 et 30 internautes sortent chaque jour leur carte bleue pour avoir accès au contenu payant. Leur préférence va au passe journée, plutôt qu'à l'abonnement payant.
      Les recettes sont de 1 000 à 1 500 euros par mois, "ce qui n'est pas anodin pour une petite entreprise de presse comme Nord Littoral", souligne son PDG, Pascal Dejean. Les exemplaires numériques payants étant pris en compte par l'OJD depuis 2011, le passage au tout payant permet au quotidien d'afficher une légère progression de sa diffusion (de l'ordre de 0,6 %). Pour l'instant, le groupe Voix du Nord, filiale de groupe belge Rossel, réalise 3 millions de chiffre d'affaires sur le numérique, sur un total de 256 millions. L'objectif est de porter cette part à 15 millions en 2015.
      Le site a de grandes ambitions sur le numérique et va se doter d'un nouveau système rédactionnel compatible Web et papier, Newsgate de l'entreprise danoise CCI. Ce système est notamment utilisé par le groupe Gannett aux Etats-Unis. L'investissement est de 6 millions d'euros pour Rossel, dont 4 millions pour La Voix du Nord. Le basculement sur Newsgate commencera en juin. Ce système devrait être étendu par la suite aux quotidiens L'Union, Nice Matin et La Provence, qui vont être bientôt détenus à parts égales par La Voix du Nord et Groupe Hersant Média, leur actuel propriétaire.
      Le quotidien va créer au cours de l'année 2012 deux salles de rédaction intégrées Web et papier, l'une de 1 500 m2 dans ses locaux situés au centre de Lille, et l'autre de 1 000 m2 à Roubaix pour Nord Eclair. Les négociations avec les syndicats de journalistes, portant sur les droits d'auteur et la réorganisation de la rédaction, qui devient bi-média, ont abouti début avril.
      La Voix du Nord a déjà lancé des sites thématiques, en lien avec sa marque : la Voix des sports, la Voix éco et la Voix des femmes. Le passage au modèle payant devrait lui permettre d'étendre son offre. "Nous n'allons plus nous contenter de mettre le journal en ligne, mais nous allons proposer des fiches d'information, en lien avec l'actualité, à partir des archives du quotidien structurées de manière intelligente", annonce Jacques Hardoin, directeur général du groupe.
      La Voix du Nord se situe au 4e rang des sites Internet de presse quotidienne régionale (hors Le Parisien-Aujourd'hui en France) en termes d'audience, avec 1,7 million de visiteurs uniques par mois, derrière Ouest France (3,3 millions), La Dépêche du Midi (2,7 millions) et Sud Ouest (1,8 million) selon Médiamétrie.
      Le Monde.fr | • Mis à jour le

      Mercredi 18 Avril 2012 - Deuxième réunion de la commission de suivi PSE

      Bonjour  à tous,
      Mercredi 18 avril 2012 se tiendra la deuxième commission de suivi du PSE de la liquidation à Lyon dans les locaux BPI.
      J’y serai NORMALEMENT présent.
      Pour faire remonter les problèmes que vous rencontrez, soit avec SODIE, soit avec Pole Emploi, prière de me faire parvenir par courriels, avant mardi 17, vos témoignages afin de signaler tous les dysfonctionnements de manière concrète.

      Comptant sur votre collaboration

      Pour les anciens salariés m'ayant signalé des dysfonctionnements fin de semaine dernière,  madame NEVEU-BOISSARD est en congé du 10 au 13 avril inclus et sera de retour le lundi 16 au matin.

      Cordialement

      COMPTE-RENDU DE LA REUNION PSE du 18 avril 2012