jeudi 29 mars 2012

Jeudi 29 mars 2012 - Reponse Xavier BERTRAND à monsieur VIDALIES Député des Landes


Et la marmotte, en suisse,
emballait toujours le chocolat....
Pas d'avancée concrète depuis fin novembre 2011, l'impression de lire et de relire les mêmes phrases...

Jeudi 29 Mars 2012 - Hersant licencie le PDG de son pôle de presse Champagne-Ardenne-Picardie

Hersant licencie le PDG de son pôle de presse Champagne-Ardenne-Picardie :


Le Groupe Hersant Media (GHM) a décidé de licencier le PDG de son pôle de presse régionale Champagne-Ardenne-Picardie (CAP) Jacques Tillier pour "motif économique", a-t-on appris mercredi de source proche du journal.
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Hersant licencie le PDG de son pôle de presse Champagne-Ardenne-Picardie
champagne-ardenne.france3.fr

mardi 27 mars 2012

Mardi 27 Mars 2012 - Assemblée Nationale - Question de Jean-Michel BOUCHERON publiée au JO le : 27/03/2012 page : 2539


M. Jean-Michel Boucheron attire l'attention de M. le ministre du travail, de l'emploi et de la santé sur la liquidation judiciaire, intervenue en novembre 2011, de la société Comareg, éditeur des gratuits ParuVendu et filiale du groupe Hersant média (GHM). La question du reclassement des salariés pose question alors que 1 650 personnes se retrouvent aujourd'hui licenciées sur 55 départements en France. La prise en charge du reclassement des salariés licenciés a été confiée à Sodie, cabinet de reclassement et conseil en ressources humaines. Afin de bénéficier des services et de l'expertise de ce cabinet, les salariés ont accepté un contrat de sécurisation professionnelle (CSP) et ont, pour ce faire, renoncé à trois mois de préavis sur leurs indemnités de licenciement. À ce jour, il apparaît que la prise en charge par la Sodie des employés licenciés tarde à être mise en place. En conséquence, il lui demande quelles mesures il compte prendre pour assurer aux anciens salariés du gratuit ParuVendu un reclassement rapide et digne, conforme aux engagements visés par le CSP.

Mardi 27 Mars 2012 - Communiqué de Presse AFOC "SNCF : LE VOYAGE GARANTI !"


Mardi 27 Mars 2012 - SODIE/CCI de Nimes - Une opportunité d'être formé... (pour le 30,84,34)


Mr Vincent GARCIA, de la CCI de Nîmes dispense une formation complète sur les métiers de la vente, du commerce qui peut être intéressante pour les salariés COMAREG/HEBDOPRINT.
Quelle formation ? 
Attaché commercial (BAC +2).
Ci dessous, la plaquette de formation. Elle est en plus reconnue par les professionnels.
Elle comprend 480 heures en centre et 280 en entreprise.
C’est une formation animée par des professionnels :
80% de pratique, 20% de théorie pendant environ 6 mois.
Ils ont un taux de placement de 85% sur les 3 dernières années et de 100% sur la dernière session.
Les stagiaires bénéficieront du réseau d’entreprises de la CCI, et de son propre réseau. Aussi, il inclut dans la formation une plateforme emploi.
Mr GARCIA se propose de venir vous rencontrer vous et vos candidats pour parler de cette formation ; il vous invite également de venir passer une journée à la CCI, avec les stagiaires actuels , pour voir comment ça se passe, poser toutes les questions possibles et inimaginables.
Quelles conditions ?
Pour pouvoir mettre en place une session de formation, il faut avoir au minimum 8 personnes (max 12) .
Il faut en théorie avoir au minimum un Bac pour intégrer cette formation, je lui ai précisé que pour la plupart, ils sont autodidactes, et il est prêt à faire quelques concessions sur le niveau requis.
Si éventuellement des personnes sont intéressées par cette formation.
Je reste à votre disposition en cas de besoin,
Cordialement,
Ps : vu le temps de traitement des demandes de financements de formation, je compte sur vous pour avoir une réponse d’ici la semaine prochaine…

Jihane LAMRINI
Consultante RH SODIE

lundi 26 mars 2012

Lundi 26 Mars 2012 - CARACTERE - Deux sites d’Hebdoprint pourraient retrouver une activité


Deux sites d’Hebdoprint pourraient retrouver une activité
Écrit par La rédaction   
Lundi, 26 Mars 2012 09:00
L’avenir de Lomme et d’Iffendic est suspendu à la décision du tribunal de commerce de Lyon. Tinqueux et Les Angles sont condamnés.
Après la liquidation judiciaire, fin novembre 2011, de la Comareg (Groupe Hersant Média) et de son pôle d’impression Hebdoprint et le licenciement de 1650 salariés, quelques lueurs d’espoir se font jour, même si rien n’est encore gagné. Avant la liquidation de la Comareg, Hebdoprint comptait quatre centres d’impression : à Lomme (59), à Iffendic (35), à Tinqueux (51) et aux Angles (30).

Pour ces deux derniers sites, la possibilité d’une reprise semble définitivement exclue. En revanche, les sites de Lomme et d’Iffendic pourraient bien trouver une solution si les repreneurs qui se sont déclarés obtiennent les financements dont ils ont besoin et l’aval du tribunal de commerce de Lyon.

À Lomme, l’histoire pourrait repasser les plats. En 1971, Henri Bétourné y avait créé « Inter 59 », un journal d’annonces gratuites qui connut son heure de gloire dans les années 70-80 avec 1,8 million de journaux imprimés et plus de 230 salariés. En 1989, Henri Bétourné cède le titre et son imprimerie à la Comareg, qui, en 2003, est rachetée par le Groupe Hersant Média.

Avec la liquidation de la Comareg, les 150 salariés de l’entreprise ont été licenciés. L’histoire aurait pu s’arrêter là si Henri Bétourné n’avait décidé de venir au secours de l’entreprise et de ses salariés avec l’aide de la Fédération des Scop de la communication. Une Scop baptisée « Inter 59 », qui éditerait un gratuit du même nom et un site Web en attendant de lancer une application sur les mobiles, devrait ainsi voir le jour avec une quarantaine de salariés. D’ici l’audience devant le tribunal de commerce de Lyon, le 30 mars, la future Scop devra avoir trouvé 1,8 million d’euros pour boucler son tour de table. Devraient notamment y participer le mouvement coopératif, deux banques, la Région Nord-Pas-de-Calais et les anciens salariés décidés à investir les aides publiques dévolues aux demandeurs d’emploi ayant un projet de création d’entreprise.

Le site d’Iffendic fait, quant à lui, l’objet d’une proposition de reprise d’un imprimeur de l’Ouest, ex-cadre de GHM, Armel Dubourg. Celui-ci propose de reconvertir la rotative à l’impression de prospectus avec l’aide des collectivités locales et de créer, dès le départ, une quinzaine d’emplois. Le tribunal de commerce de Lyon devrait statuer sur cette offre le 2 avril prochain, alors qu’une seconde offre émanant d’un repreneur extérieur à la profession s’est également manifestée. Avant la liquidation de la Comareg, le site d’Iffendic employait une soixantaine de salariés.

Lundi 26 Mars 2012 - Interpellation contre Philippe HERSANT en pays de Gex

Bonjour messieurs,
Nous souhaitions vous interpeller en tant que Secrétaire du Comité d'Entreprise et représentante des ex-salariés de la société Comareg sur un évènement que nous trouvons choquant !
Alors qu'il a été prononcé la liquidation de notre société en novembre dernier, laissant à la charge de l'Etat 1650 salariés, nous apprenons aujourd'hui que notre actionnaire principal, Philippe Hersant, se permet de revenir en pays de Gex sur les cendres du paru Vendu pour commercialiser auprès de nos anciens clients et faire paraitre un nouveau journal au départ de sa société Suisse !
Comment peut-on laisser faire de tels agissements ! Le papier n'est donc pas mort ! Alors pourquoi ne pas avoir cru en nous ? En notre volonté de rebondir !
Nous trouvons cela profondément injuste et vous demandons d'intervenir rapidement pour mettre fin à cette situation.
Nous précisons que lors de l'entretien le 7 mars 2012 au Ministère du travail avec la chef de cabinet du Ministre du travail: Mme Bérard-Andrieu et Monsieur Bruno Dupuis, nous avions déjà alerté sur la création de ce journal en pays de Gex par Monsieur Hersant car nous trouvions plus qu'illégal cette ouverture de journal alors que l'Entreprise Comareg/ Paruvendu venait d'être liquidée avec plus de 2500 personnes licenciées dont 1650 salariés sans indemnités supra légales.
Salutations respectueuses

samedi 24 mars 2012

Samedi 24 Mars 2012 - OUEST FRANCE - La relance de l'imprimerie d'Iffendic se complique

OUEST FRANCE - La relance de l'imprimerie d'Iffendic se complique

Deux sociétés proposent de racheter le site d'Hebdoprint. Le mandataire judiciaire préfère celle qui promet plus d'argent à celle qui propose plus d'embauches. Ce qui condamnerait l'imprimerie à fermer.
Qui reprendra le site d'Hebdoprint, à Iffendic ? Le tribunal de commerce de Lyon étudiera la question le 2 avril prochain. Il aura le choix entre deux offres. Une de la société Diamen France Imprimeries, qui propose de remettre les machines en route et de relancer l'activité existante. L'autre de la SAS Demeuré, entreprise voisine d'Hebdoprint, dont elle voudrait utiliser les terrains pour créer tout autre chose.L'offre de SAS Demeuré, grosse société de négoce agricole, transport, fioul, jardinerie et quincaillerie, est une surprise. Christophe Martins, maire d'Iffendic et conseiller général (PRG), n'en a pris connaissance qu'hier : « Je n'étais pas au courant et ça ne m'arrange pas du tout. Je me suis battu pendant plusieurs mois pour trouver un repreneur, mobiliser les élus, les salariés, monter un dossier... Si j'avais su, je ne l'aurais pas fait ! »
20 créations d'emplois promises
Le maire espérait que l'imprimerie de la commune, filiale de la Comareg, société éditrice du journal d'annonces gratuites Paru Vendu, survive à la liquidation du groupe, prononcée en novembre dernier. Ce fut le plus gros plan social de France en 2011, avec plus de 1 600 licenciements au niveau national. Dont 60 à Iffendic.
En décembre, « sollicité par un ami », Armel Dubourg, président de Diamen France Imprimeries, propriétaire de plusieurs imprimeries dans l'Ouest, s'est intéressé à l'affaire. Après trois mois d'études conduites en étroite collaboration avec les élus locaux, il propose 25 000 € pour racheter les actifs d'Hebdoprint. En complément, Monfort Communauté offre de devenir propriétaire des terrains et bâtiments à hauteur de 200 000 €.
190 000 € de différence
« Le fonds de revitalisation des entreprises est prêt à participer, de même que le conseil général et le conseil régional, complète Armel Dubourg. Toutes les conditions sont réunies pour relancer l'activité, avec 11 créations d'emplois au démarrage, plus quatre au bout de quatre mois et cinq autres dans les deux ans qui suivent. »
Le projet Diamen promet donc 20 créations d'emplois en deux ans, dans les métiers de l'imprimerie, ce qui devrait permettre à une partie des 60 salariés d'Hebdoprint d'Iffendic de retrouver du travail. Mais ce projet, qui a le soutien des élus, ne permettra à l'État de ne récupérer que 225 000 € pour régler les dettes de la Comareg. La SAS Demeuré, elle, propose de créer cinq emplois en cinq ans sur le site, en y développant une nouvelle activité de logistique. Et offre 415 000 € pour reprendre les bâtiments et les terrains. Soit 190 000 € de plus que la proposition de Diamen.
Cette différence a convaincu le mandataire judiciaire désigné pour liquider Hebdoprint de recommander au tribunal de commerce de Lyon de préférer l'offre de la SAS Demeuré à celle de Diamen. Au grand dam de Christophe Martins et d'Armel Dubourg. Ni l'un ni l'autre n'ont de griefs contre l'entreprise Demeuré, dont ils comprennent et respectent la démarche. Mais tous deux disent ne pas comprendre le choix du mandataire, « qui privilégie une rentrée d'argent à la poursuite de l'activité et à la sauvegarde de l'emploi ».
« Les machines seront perdues »
« Je suis très déçu, mais je me battrai jusqu'au bout, insiste Armel Dubourg. Même si je sais que le tribunal suit la recommandation du mandataire dans 98 % des cas, je continue ! »
Christophe Martins connaît lui aussi cette statistique. « Je voudrais vraiment que l'imprimerie, qui fait partie de notre histoire, continue, conclut-il, dépité. Là, les machines seront perdues et les créations d'emplois pas du tout à la hauteur de ce que nous attendions. Je vais voir ce qu'on peut faire : surenchérir, préempter, discuter... Si tout cela tenait à une simple question d'argent, il aurait mieux valu nous le dire dès le départ. »
Stéphane VERNAY.  Ouest-France  

vendredi 23 mars 2012

Vendredi 23 Mars 2012 - le PDG de l’ Union remercié (Reflets Actuels.fr)

  le PDG de l’ Union remercié

Vendredi 23 mars 2012
par refletsactuels.fr
Jacques Tillier, Le PDG du quotidien de Reims l’ Union devrait être remercié dans les jours qui viennent , selon l’agence Tercominfo.


Nommé en 2008 , Jacques Tillier dirige le pôle CAP ( l’est Eclair, Liberation Champagne, l’union, l’Ardennais l’Aisne nouvelle) du groupe Hersant Media (GHM) .  Jacques Tillier est opposé à son employeur devant le Conseil des Prud’hommes de Reims et le jugement est attendu début juin. Son départ n’est donc pas une surprise, analyse Tercominfo.
Son départ intervient au moment où le groupe Hersant négocie avec le Groupe belge Rossel pour céder son pôle presse et parvenir à se désendetter. Le Groupe Hersant Média était aussi propriétaire du groupe de presse gratuite Paru-Vendu placé en liquidation judiciaire l’année dernière et du pôle Paris-Normandie en redressement judiciaire depuis début mars.
Ancien de la Direction de la surveillance du territoire (DST), ancien journaliste à Minute, laissé pour mort par Mesrine qu’il souhaitait interviewer et qui lui reprochait  d’avoir écrit des articles mensongers , Jacques Tillier a ensuite  dirigé le journal de l’île de la Réunion avant de rejoindre l’Union à Reims où la ligne éditoriale « musclée »  qu’il a imposée, n’a pas toujours fait l’unanimité.

 

jeudi 22 mars 2012

Jeudi 22 Mars 2012 - SENAT Question écrite JO Sénat page 725 n°23070 de M.Maurice VINCENT (Loire-SOC)


Situation des salariés licenciés des 3 Suisses et de Paru Vendu
13 ème législature

Question écrite n° 23070 de M. Maurice Vincent (Loire - SOC)

publiée dans le JO Sénat du 22/03/2012 - page 725 




M. Maurice Vincent appelle l'attention de M. le ministre du travail, de l'emploi et de la santé sur les 247 suppressions d'emplois décidées par le groupe 3 Suisses International (groupe 3SI), entreprise qui commercialise les marques 3 Suisses, Blancheporte, Becquet et Vitrine magique.
Ces suppressions d'emplois ont été décidées dans le cadre d'un plan de modernisation et de réorganisation des activités (priorité donnée au e-commerce, fermeture de 35 boutiques) pensé par le nouveau propriétaire des 3 Suisses International, le groupe Otto Versand, leader mondial de la vente par correspondance.
Une majorité des salariés concernés a entamé une action en justice pour licenciement abusif et non-justification de licenciements économiques.
Il lui demande s'il considère justifié des licenciements pour motif économique alors que l'entreprise concernée appartient à un groupe bénéficiaire, qui plus est leader mondial de ce secteur, et alors que cette entreprise ne dispose pas d'une réelle autonomie de direction au sein de ce groupe.
Dans l'affaire MIC (Mécanique industrie chimie), la chambre sociale de la Cour de cassation a énoncé clairement que des licenciements effectués pour motif économique au sein d'une entreprise appartenant à un groupe bénéficiaire (l'allemand Jungheinrich Finances Holding, JFH, en l'espèce) étaient invalides, notamment du fait que le groupe pouvait être considéré co-employeur des salariés et du fait qu'il existait une confusion d'intérêts et d'activités entre le groupe et sa filiale. Cet arrêt du 18 janvier 2011 confirmait ainsi la décision prise au fond par les juges en appel. Il lui demande comment il analyse la situation des salariés des 3 Suisses au regard de cette jurisprudence.
Il lui demande que l'État se penche en détail sur les mesures d'accompagnement de ces salariés afin que chacun puisse réellement bénéficier d'une formation adaptée, que le congé de reclassement proposé soit suffisamment long pour permettre aux salariés licenciés de suivre une formation intéressante à l'issue de leur bilan de compétence.
Il attire également son attention sur la situation des 1 650 salariés ayant perdu leur emploi suite à la mise en liquidation de Paru Vendu, éditeur des journaux de presse d'annonces gratuites, et de sa filiale technique Hebdoprint, toutes deux propriétés de la société Groupe Hersant Media (GHM), par ailleurs propriétaire de nombreux titres de presse quotidienne régionale (PQR). D'après le collectif des salariés licenciés, ces licenciements organisés dans le cadre de cette liquidation judiciaire se feraient sans la mise en place d'une cellule de reclassement, sans indemnités supra légales et sans budget de formation.
Alors que le groupe GHM perçoit des aides publiques au titre du soutien à la PQR, alors que la mise en place d'une cellule de reclassement des salariés de Paru Vendu annoncée par l'État sera financée par le contribuable, cette affaire semble illustrer le principe cynique de privatisation des recettes et de mutualisation des pertes.
Il lui demande plus globalement comment il entend encourager fortement les entreprises à mettre en place, sur le long terme, une gestion prévisionnelle des emplois et des compétences (GPEC) afin de permettre aux salariés de s'adapter aux mutations économiques des entreprises et d'éviter de telles situations dramatiques notamment pour des personnes qui passent des dizaines d'années dans une entreprise et sont ensuite victimes de licenciements le jour où la stratégie ou le propriétaire de l'entreprise change.
Il lui demande pourquoi la situation très difficile des salariés des 3 Suisses et de Paru Vendu semble jusqu'ici avoir été négligée par les pouvoirs publics.

En attente de réponse du Ministère du travail, de l'emploi et de la santé.

Jeudi 22 Mars 2012 - Ventes aux Enchères Publiques....




dimanche 18 mars 2012

Dimanche 18 Mars 2012 - Capital sur M6

Dimanche sur Capital...
le "candidat-sortant" réagit à des cas très concrets, des témoignages et des questions précises de téléspectateurs sur son programme mais aussi sur toutes les réformes entreprises depuis cinq ans et sur tout ce qui a changé depuis son élection. 
...Et si nous posions nos questions ????
Copie de ma question :
Monsieur le candidat, Nous vous avons écrit plusieurs fois directement pour attirer votre attention sur le plus grand plan social de 2011. Vous n'avez jamais daigné nous répondre. Ce 14 mars le Député Maire UMP ROUBAUD de Villeneuve lez Avignon et Madame VAUTRIN Vice Présidente de l'Assemblée Nationale vous exhortent à prendre ce dossier personnellement en mains...Comment peut on tolérer en France qu'un riche exilé suisse puisse remonter un groupe de presse autour du Lac Leman tout en continuant à toucher les aides publiques de l?État Français et remplissant le Pôle Emploi alors que la société liquidée faisant 140 millions d'euros de CA mensuel et qu'avec un PSE de réajustement en réduisant de 80 à 90% de la structure, on aurait pu sauver de manière pérenne les Paru Vendu ? comment pouvez vous tolérer la mise a mort de 1650 personnes en 2011 sans aucune indemnité supra légales ? Auxquels s'ajoutent les 900 de l?Été 2011 ? Sachant que pour un imprimeur ayant 20 ans d'ancienneté celui part avec seulement 4 mois d'indemnités ? Que Pôle Emploi peine a reclasser ces gens qu'il faut totalement former car leurs métiers se meurent ? Que votre ministre Xavier BERTRAND avait déclaré à l'Assemblée que ce serait un PSE exemplaire ? Nous avons juste droit au strict minimum légal. Certes l?État prend en charge une cellule de reclassement de six mois sans aucun moyen et dans une anarchie telle que ses résultats sont décevants...
Je suis Jean-Paul agent de maitrise, président d'une association des anciens d'Hebdoprint, 50 ans, sans avenir ni garantie de retrouver un travail avec un salaire décent...
 

vendredi 16 mars 2012

Vendredi 16 Mars 2012 - La Tribune - La presse gratuite en mauvaise posture

Comment va la presse gratuite ?
Pas si bien, selon le centre d'études Xerfi, qui prédit la disparition dans les prochaines années de la presse gratuite d'annonces (PGA). La presse gratuite d'information (PGI), dont le quotidien 20 Minutes est le porte-étendard, se porte un peu mieux mais va devoir investir, notamment dans le numérique, pour survivre.

Ce n'est pas la presse gratuite qui signera l'arrêt de mort des médias "traditionnels", c'est-à-dire payant. Contrairement aux craintes nées lors de son apparition, la presse gratuite, qu'elle soit d'annonces ou d'information, n'a pas réussi à chambouler l'ordre établi et son avenir ne se présente pas sous les meilleurs auspices. Les experts du centre d'études Xerfi, dans leur étude intitulée "La presse gratuite à l'horizon 2015", prédisent même de grosses difficultés dans les prochaines années. Selon eux, la presse gratuite d'annonce file tout droit vers une mort certaine "dans les dix prochaines années".

Le chiffre d'affaires de la presse gratuite d'annonces en recul de 52% depuis 2007
Si les modèles économiques des journaux de presse gratuite d'annonce et d'information sont très proches - ils sont tous deux basés uniquement sur les revenus liés à la publicité -, leurs résultats en matière de rentrées d'argent diffèrent considérablement. Du côté de la presse d'annonce, les choses vont de mal en pis. Le chiffre d'affaires du secteur, qui a chuté de 52% depuis 2007, devrait encore être divisé par plus de deux en 2012, selon les prévisions du groupe Xerfi. Ce type de presse subit de plein fouet la concurrence des supports numériques, les petites annonces basculant massivement sur la Toile. Par ailleurs, la liquidation judiciaire de la Comareg, société éditrice de "Paru Vendu", pèse lourdement dans le bilan de la presse gratuite d'annonces. Alors que le secteur de la presse d'annonce rapportait encore plus de 510 millions d'euros en 2010, ils ne devraient plus générer qu'un chiffre d'affaires de quelque 70 millions d'euros en 2015.
La presse gratuite d'information résiste...
Pour la presse gratuite d'information en revanche, le tableau n'est pas si noir. Bien que la conjoncture ne soit pas favorable à la presse, le chiffre d'affaires du secteur des journaux d'information gratuits n'a cessé de progresser depuis son apparition, exception faite de l'année 2009. L'effondrement du marché publicitaire en 2009, qui avait durement frappé la plupart des entreprises de presse écrite avec un recul de 9,2% en presse professionnelle et 7,1% en presse nationale, a relativement épargné la presse gratuite d'information qui n'avait subi une baisse que de 3,5% de ses revenus publicitaires. En 2010, le chiffre d'affaires de la presse gratuite d'information s'élevait à un peu plus de 320 millions d'euros, selon les données provisoires de la DGMIC (Direction générale des médias et des industries culturelles).

... mais peine à être rentable
Ce faible recul avait alors attiré les annonceurs. Aujourd'hui, certains journaux gratuits comme "20 minutes" et "Direct matin" tirent a plus d'un million d'exemplaires. La direction de "Métro" a quant à elle préféré s'étendre de manière géographique sans pour autant augmenter son tirage. Mais après des années de pertes, le modèle paraît encore bien fragile. Il n'existe pour l'instant qu'un seul quotidien d'information gratuit rentable en France : "20 Minutes". "Direct matin" vise la rentabilité pour 2013 et "Métro" compte sur son rachat par TF1 et donc les synérgies avec la régie publicitaire et la rédaction de la chaîne de télévision pour atteindre l'équilibre.
Des investissements indispensables
Pour poursuivre sur la voie de la rentabilité, la presse gratuite d'information n'a pas d'autre choix que de nouveaux investissements et levées de fonds. Le numérique s'impose comme un enjeu majeur des années à venir, notamment car le mode de consommation des médias tend à évoluer (mobiles, tablettes, applications smartphones...). "Si tel n'est pas le cas, un arrêt de la parution de "Metro" ou de "Direct Matin" n'est pas à exclure", selon Xerfi. Les voilà prévenus.

jeudi 15 mars 2012

Jeudi 15 Mars 2012 - Rencontre avec Martine AUBRY Première secrétaire du Parti Socialiste à Nîmes

Ce jeudi 15 mars 2012, lors de l'inauguration du local de campagne de François HOLLANDE à Nîmes nous avons pu avoir un rendez-vous avec Martine AUBRY.
Nous remercions Joseph FERRE secrétaire de la Section Cantonale de Villeneuve lez Avignon, les élus départementaux Patrice PRAT maire-conseiller général de Laudun l'Ardoise et candidat sur la troisième circonscription du Gard, Damien ALARY Président du Conseil Général du Gard et la fédération du Parti Socialiste du Gard d'avoir pu organiser cette rencontre.
Martine AUBRY, en tant que Députée-Maire de Lille, première secrétaire du Parti Socialiste connait bien notre problème et nous avons insisté qu'en cas de victoire de la Gauche en 2012, il ne fallait plus que ce type de situation puisse se reproduire : un "patron-voyou", exilé doré en Suisse, touchant de l'argent public et remplissant impunément le Pôle Emploi pour pallier à ses erreurs de gestion.
La délégation Paru Vendu était composée de Corinne BELORGEOT, présidente de l'association des anciens salariés COMAREG Maria VOLPONI, ancienne directrice des Imprimeries HEBDOPRINT et Jean-Paul FABRE Président de l'association des anciens salariés HEBDOPRINT. 
Des anciens collaboratrices de Paru Vendu du Centre d'Appels de Nîmes étaient présentes pour soutenir la délégation. 

mercredi 14 mars 2012

Mercredi 14 Mars 2012 - Courrier envoyé par les députés ROUBAUD et VAUTRIN au Président de la République

Courrier envoyé le 14 mars par les députés UMP au candidat-président, manifestement toujours autiste à notre encontre. Dans l'attente d'une prise de position du locataire actuel de l’Élysée et DES ACTES CONCRETS DE SA PART NOUS PERMETTANT D'OBTENIR AU PLUS VITE NOS SUPRA LEGALES.

samedi 10 mars 2012

Vendredi 09 Mars 2012 - Intervention au meeting de Philippe POUTOU (NPA) à Nîmes dans le cadre de sa campagne pour l'élection présidentielle 2012

Nous avons été invités à participer au meeting se tenant sur Nîmes du NPA dans le cadre de la campagne de Philippe POUTOU, potentiel candidat aux Présidentielles 2012. Une délégation HEBDOPRINT était présente. Nous avons ouvert, à côté du candidat, le débat en expliquant de manière concise à l'auditoire la situation des Paru Vendu. Refaisant un bref historique, rappelant les dates importantes, du "30" en passant par Bonjour et pour finir par Paru Vendu. Nous avons resitué dans le temps les points forts de notre histoire. Nous avons insisté sur la chronologie des évènements nous amenant tous au Pôle Emploi à cause d'un "patron-voyou". Philippe HERSANT n'a pas su gérer notre société et pour des raisons de gestion de son groupe de presse français nous a sciemment liquidé "au plus bas coût". Faisant supporter à l’État les conséquences de sa mauvaise gestion et continuant à toucher des subventions publiques tout en développant son groupe de presse suisse très rentable sur les ruines fumantes de notre société. Deux intervenants ont à tour de rôle pris la parole : sur le combat contre l'exploitation du gaz de schiste et sur les mécanismes de la Dette. Philippe POUTOU pendant une heure a expliqué les grandes lignes de son combat et les raisons de sa candidature aux Présidentielles. Des échanges avec la salle ont eu lieu pour clore ce moment fort.
De manière spontanée une collecte a été faite pour nous soutenir dans notre combat parmi les auditeurs. Nous les remercions vivement autant pour ce geste de solidarité que pour l'accueil chaleureux que nous avons eu de leur part.
 

vendredi 9 mars 2012

Jeudi 08 Mars 2012 - Extraits du discours de François HOLLANDE à Reims

- L'extrait du discours de François Hollande :

"(...) Je veux saluer aussi les femmes qui luttent en ce moment pour leur emploi, à Lejaby. Et je remercie la présence de Nicole Mendez. Mais je veux aussi évoquer les salariées du journal Paru-vendu, 2 500 licenciements, ou plutôt 2 500 dans un plan social, conçu pour les commodités financières d’un grand groupe. Et le plus important plan social de 2011.  Curieuse expression que le « plan social ». C’est comme la TVA sociale. Chaque fois qu’on met « social » avec une mauvaise intention, ça ne la rend pas plus pure, ça la rend confuse. Un plan « social », c’est d’abord des licenciements, des pertes d’emploi, des angoisses pour celles et ceux qui en sont les victimes (...)"

Une délégation de Tinqueux c'est entretenue avec monsieur NASSER responsable de campagne au niveau social et a pu échanger avec François HOLLANDE à la fin du meeting !

jeudi 8 mars 2012

Jeudi 08 Mars 2012 - réponse de l'Elysée au courrier de jean-Pierre RIEU

Manifestement, ils ont l'art et la manière pour se foutre de notre gueule !!!

mercredi 7 mars 2012

Mercredi 07 mars 2012 - Paris - Communiqué des députés socialistes : Aurélie FILIPETTI, William DUMAS, Jean‐René MARSAC, Alain ROUSSET et Alain VIDALIES

Les salariés de Paru‐vendu ne doivent pas être oubliés. 
Lors du rassemblement qu’ils organisaient devant l’Assemblée Nationale, les licenciés de Paru‐vendu et de sa filiale Hebdoprint ont été reçus mardi 6 mars, par les députés du Groupe socialiste radical et citoyen.
Face au désarroi et à la colère de ces salariés et de leurs familles qui vivent, dans l’indifférence générale, le plus vaste plan social de l’année 2011 (plus de 2500 suppressions de postes en un an), les députés socialistes ont souhaité leur témoigner leur entière solidarité et leur soutien. 
Ces salariés, en grosse majorité des femmes, ont été privés de salaires pendant 2 mois et n'ont pas reçu d'indemnités supra‐légales. Le seul accompagnement dont ils bénéficient est le Contrat de Sécurisation Professionnelle, avec toutes les limites qu'il comporte. Nous sommes attentifs aux difficultés d'application de ce CSP, qui ne permet pas une vraie reconversion et n'encourage pas toujours le retour au travail, en particulier pour des CDD et périodes d'essai.
Au moment où Nicolas Sarkozy annonce un référendum sur le chômage, les licenciés de Paru Vendu ne sont même pas comptabilisées dans les chiffres du chômage mais personne n'est en mesure de leur offrir de vraies formations professionnelles pour se reconvertir. Encore une fois, par manque d’anticipation et de vision stratégique, le Gouvernement assiste passivement à la destruction d’emplois et à ses conséquences sociales dramatiques.
 Pourtant le Groupe Hersant Media, qui a décidé cette liquidation, réalise des bénéfices.
La situation de ces salariés témoigne de cinq ans d’injustice, d’incohérence et d’inconstance. C’est la raison pour laquelle François Hollande entend engager le redressement de notre pays et notamment son redressement économique.
Pour favoriser la création d’emplois sur nos territoires, il souhaite orienter les financements, les aides publiques et les allégements fiscaux vers les entreprises qui localiseront leurs activités et investiront
sur notre territoire et demandera aux entreprises qui délocalisent, le remboursement des aides publiques reçues.
Par ailleurs, avec sa proposition de loi visant à garantir la poursuite de l’activité des établissements viables, une entreprise qui envisage la fermeture d’un site au sein de son groupe devra avoir non seulement l’obligation d’examiner les procédures de reprise qui lui sont soumises, mais aussi l’obligation de céder ce site si l’une des offres proposées reçoit la validation du Tribunal de commerce et un avis positif des instances représentatives du personnel.
Les aides publiques à la presse, accordées sans contrepartie à certains groupes de presse devront aussi être refondées. Les aides à la presse doivent avoir des contreparties en terme de politique sociale.