2550 familles sacrifiées par Ph.HERSANT Ce site retrace le combat de la plus grande liquidation de 2011 passée sous silence par les politiques de tous bords en pleine campagne présidentielle : De "Sarkosy à Hollande - "Moi President ! en scooter" un silence assourdissant.... Ce blog était le lien sur l'ensemble de la France pour tenir informer les sacrifiés de la Presse Gratuite d'Annonces par GMH et son actionnaire principal Philippe HERSANT - 100 eme plus grosse fortune de France
mardi 30 septembre 2014
Mardi 30 Septembre 2014 - Le Progrès.fr : Comareg : décision le 17 février au conseil de prud'hommes de Lyon
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mardi, septembre 30, 2014
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samedi 20 septembre 2014
Samedi 20 Septembre 2014 - Le Monde.fr : Le groupe belge Rossel veut investir 50 millions d'euros pour racheter « Nice-Matin »
Le groupe belge Rossel veut investir
50 millions d'euros
pour racheter « Nice-Matin »
Le Groupe Nice-Matin. | AFP/ÉRIC ESTRADE © Droits réservés |
Le groupe de presse belge Rossel,
associé au groupe familial de BTP
monégasque Marzocco
et à
l'homme d'affaires
franco-libanais Iskandar Safa,
veut investir
50 millions d'euros
pour reprendre
le groupe Nice-Matin,
a
indiqué, samedi 20 septembre,
une source proche du dossier.
Lire : « Nice-Matin »
: l'identité de quatre repreneurs potentiels dévoilée
Les trois partenaires du groupement baptisé
« Nice-Matin Avenir », qui investissent à parts égales,
préconisent dans le même temps des coupes sévères dans les
effectifs (environ 40 % des 1 106 emplois), s'attirant les foudres du
personnel. Ils viendront détailler leur proposition lundi à Nice
aux trois comités d'entreprise du groupe, de même que tous les
autres repreneurs en lice.
TAPIE DEMANDE DES «
GARANTIES INACCEPTABLES »
Les salariés écouteront d'autant plus
attentivement que leur propre projet de reprise via une coopérative,
déjà contesté en interne, vient de perdre l'appui de l'homme
d'affaires Bernard Tapie qui devait amener 35 % des 20 millions
d'euros prévus. « Il nous demande des garanties
inacceptables », a précisé un représentant syndical CGT,
tout en évoquant désormais des « contacts avec d'autres
partenaires ».
Lire : Divorce
entre Bernard Tapie et les salariés de « Nice-Matin »
L'offre menée par le belge Rossel (Le Soir, La Voix
du Nord, L'Union) propose une somme de 10 millions d'euros pour
l'acquisition (dont le plan social), 10 millions de trésorerie
immédiate et 15 millions d'investissements. S'y ajouterait 15 autres
millions d'investissements les deuxième et troisième années.
« C'est de l'argent frais qui n'est pas prélevé sur le
groupe », soulignent les partenaires, qui s'engagent à ne pas
toucher aux murs du siège pendant cinq ans, contrairement à
certaines offres moins bien loties financièrement.
Ils appellent à trois grands axes de développement
pour relancer le groupe: une logique davantage tournée vers les
sites internet, le développement d'un pôle événements, et le
développement d'un pôle radio/télévision locales.
Ils veulent aussi maintenir les 14 éditions locales et la plus grande partie des agences locales du groupe, un maillage jugé essentiel.
Lire aussi : Le
crowdfunding au secours de « Nice-Matin »Ils veulent aussi maintenir les 14 éditions locales et la plus grande partie des agences locales du groupe, un maillage jugé essentiel.
Le Monde.fr avec AFP |
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vendredi 19 septembre 2014
Vendredi 19 Septembre 2014 - LeMonde.fr : Divorce entre Bernard Tapie et les salariés de « Nice-Matin »
« La SCOP [société
coopérative et participative] continue… mais sans Tapie. »
C'est ainsi que les personnels de
Nice-Matin ont annoncé, vendredi 19 septembre,
la rupture
de l'alliance qu'ils avaient nouée
avec l'homme d'affaires.
Les représentants des salariés du groupe Nice-Matin, placé en redressement judiciaire, veulent sauver leur journal. | Nice-Matin - © droits réservés |
« Ce partenariat a vécu, écrivent les
représentants des salariés dans un mail envoyé aux équipes,
vendredi après-midi. Pas de clash, ni de divorce retentissant. Juste
le constat que certaines conditions suspensives à ce partenariat
n'ont hélas pas pu être remplies dans les délais qui avaient été
fixés entre Bernard Tapie et nous dès la fin du mois de juillet. »
Le détail de ces « conditions » n'a
pas été donné, mais il est probable qu'il s'agit notamment du
nombre minimal de départs prévus dans le projet imaginé entre les
salariés et M. Tapie. Les représentants des salariés refusent
de s'engager à procéder à des licenciements si le nombre de 169
départs prévu dans leur projet n'était pas atteint par la voie du
volontariat.
CINQ
OFFRES CERTAINES
« Bernard Tapie est désormais un candidat
à la reprise de Nice-Matin - Var-Matin comme les autres »,
rappellent les salariés. L'actionnaire principal de La Provence a en
effet déposé une offre de reprise au nom du groupe marseillais.
Initialement qualifiée de « plan B », cette offre devient
donc son plan A. Il en a d'ailleurs communiqué les détails aux
administrateurs judiciaires. Selon nos informations, l'offre de La
Provence prévoierait 328 suppressions de postes.
Quatre autres offres restent en course, portées
par Clepsydre – spécialiste de l'assistance aux personnes
dépendantes –, Georges Ghosn – précédent propriétaire de La
Tribune et de France Soir –, Paris Normandie et Rossel – groupe
propriétaire de La Voix du Nord. Ces offres prévoieraient de 253
suppressions de postes, pour celle de Georges Ghosn, à 428 pour
l'offre du groupe Rossel. Celle de Clepsydre en anticiperait 328 et
celle de Paris Normandie, 367.
Les salariés, eux, veulent toujours croire en
leur capacité à formuler une offre de reprise avant le 13 octobre,
date à laquelle le tribunal de commerce de Nice choisira un
repreneur. Mais ils doivent désormais compenser l'absence de
M. Tapie, qui promettait de financer 35 % de leur offre,
soit 8 millions d'euros.
« A ce jour deux investisseurs sont
susceptibles de se substituer à Tapie et d'apporter les 8 millions
d'euros qui manquent encore à notre plan de financement »,
annoncent les représentants, avant de conclure : « Il nous
reste dix jours. »
Lire : Le
crowdfunding au secours de « Nice-Matin
Le Monde.fr I 19.09.2014 à 15h22
Mis à jour le 19.09.2014 à 16h38
par Alexis DELCAMBRE
Mis à jour le 19.09.2014 à 16h38
par Alexis DELCAMBRE
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vendredi, septembre 19, 2014
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mercredi 3 septembre 2014
Mercredi 03 Septembre 2014 - LE FIGARO.FR : La consolidation de la presse régionale se poursuit
INFOGRAPHIE - La Dépêche va devenir
le troisième éditeur de quotidiens régionaux.
le troisième éditeur de quotidiens régionaux.
À mesure que la situation économique se tend,
les manœuvres se poursuivent dans la presse quotidienne régionale
française. La consolidation du secteur, prédite par nombre
d'observateurs, s'impose aux différents groupes. Dernier
rapprochement en date, le
groupe La Dépêche du Midi de Jean-Michel Baylet devrait devenir,
d'ici à la fin de l'année, le premier actionnaire et l'opérateur
de Midi
Libre et de L'Indépendant (groupe
Midi Libre), cédés par le groupe Sud Ouest. De
son côté, Hersant est définitivement sorti du marché français en
métropole depuis que le groupe Nice-Matin, dont il était le
propriétaire, a été placé en redressement judiciaire en mai
dernier.
«Pour les groupes Midi Libre ou Nice-Matin, ce
sont en réalité deux situations qui découlent de deux échecs,
rappelle Jean-Clément Texier, banquier d'affaires spécialiste de la
presse. Sud Ouest et Hersant avaient racheté respectivement Midi
Libre et Nice-Matin en 2007, juste avant la
crise. Dans les deux cas, l'opération devait être financée par la
rentabilité des pôles de presse gratuite des deux groupes. Or ce
sont des activités qui se sont totalement effondrées entre 2008 et
2012.»
Le sort de Nice-Matin ne sera
connu qu'en octobre. L'un des acteurs de la consolidation, le groupe
belge Rossel (éditeur duSoiren Belgique et deLa Voix du
Norden France), est sur les rangs pour reprendre le quotidien
azuréen. Fin 2012, il avait déjà repris l'ancien pôle
Champagne-Ardenne-Picardie du groupe Hersant (L'Union, L'Est
Éclair, L'Ardennais…). S'il devait être choisi
par le tribunal de commerce, Rossel deviendrait une exception dans la
logique de continuité territoriale qui s'impose dans le mouvement en
cours.
© Droits Résevés |
Conduire les synergies
Dans la prise de contrôle du groupe Midi
Libre par La Dépêche,
il semble que les différentes parties ont considéré que le groupe
toulousain était le mieux placé pour conduire les synergies.
«Comme Le Télégramme,
un autre indépendant, La
Dépêche continue de bien tirer
son épingle du jeu, estime Jean-Clément Texier, qui rappelle
qu'après l'avoir envisagé, le groupe de Jean-Michel Baylet avait
finalement renoncé, en 2007, à reprendre le groupe Midi
Libre conjointement avec Sud
Ouest. Cela semblait trop risqué et
la suite leur a donné raison.» De même, la discontinuité
territoriale de l'ex-Groupe Hersant Média (GHM), qui était présent
en Normandie, en Champagne-Ardenne et dans le Sud-Est, s'est avérée
impossible à viabiliser sur le plan économique.
Après la cession du groupe Midi
Libre, la hiérarchie de la presse
quotidienne régionale sera modifiée. Détenu par le Crédit mutuel,
EBRA (Est, Bourgogne, Rhône-Alpes), qui édite Le
Progrès, Le
Dauphiné libéré, Les
Dernières Nouvelles d'Alsace ouL'Est
républicain, restera le premier
groupe de presse quotidienne régionale avec 1,2 million
d'exemplaires vendus tous les jours, devant le groupe Ouest France
(Ouest-France, Le
Courrier de l'Ouest, Presse
Océan…), avec 1,1 million
d'exemplaires. En prenant le contrôle deMidi
Libre et de L'Indépendant,
le groupe La Dépêche devrait
devenir numéro trois avec environ 380.000 exemplaires, en
surclassant le groupe Sud Ouest (Sud
Ouest, La
Charente libre) qui vend
300.000 quotidiens par jour.
Alexandre Debouté
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mercredi, septembre 03, 2014
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