jeudi 22 mai 2014

Jeudi 22 mai 2014 - Le Figaro.fr : Le groupe Nice-Matin en redressement judiciaire

http://www.lefigaro.fr/flash-eco/2014/05/22/97002-20140522FILWWW00257-groupe-nice-matin-un-ce-avant-le-redressement.php
Le groupe Nice-Matinen redressement judiciaire
  • La direction du groupe Nice-Matin a convoqué demain un comité d'entreprise pour informer le personnel de l'ouverture d'une procédure collective de redressement judiciaire,  a-t-elle annoncé aujourd'hui.

    Le comité d'entreprise convoqué demain à 11h00 aura notamment à son ordre du jour "une information et une consultation sur le projet de demande d'ouverture d'une procédure collective de redressement judiciaire", selon la direction. La direction, qui évoquera vendredi"la situation économique de Nice-Matin"n'a pas précisé si les repreneurs déclarés du groupe (le fonds GXP associé à un élu local) ont renoncé ou non à leur projet d'investissement. Le comité d'entreprise donnera lieu aussi vendredi à un vote pour désigner"un représentant à la procédure collective". 


    Les syndicats du groupe ont annoncé l'organisation dans la foulée d'une assemblée générale du personnel, vers 12h30.

    "L'argent miracle de GXP n'est pas arrivé, n'arrivera pas ou arrivera trop tard. Ils nous ont amenés dans le mur", a commenté jeudi l'intersyndicale du groupe Nice-Matin dans un communiqué.


    "Les comptes de l'entreprise sont tels qu'il n'y a qu'une issue, terrible, pour qu'au moins nos salaires de mai puissent être payés. Cette issue, c'est la procédure de redressement judiciaire. La direction l'a lancée aujourd'hui en convoquant un CE extraordinaire pour demain vendredi", poursuit le texte.

    Selon les syndicats, le tribunal de commerce de Nice sera saisi du dossier lundi matin, un autre comité d'entreprise sera convoqué lundi et le redressement judiciaire sera alors lancé officiellement.


    "Le redressement judiciaire, c'est l'inconnu. La seule presque certitude, c'est qu'Hersant y perdra tout", commentent les syndicats, qui se battent depuis des mois pour qu'un plan social se fasse en douceur sans licenciements.

    L'actuel propriétaire Groupe Hersant Média (GHM) avait annoncé en février que le fonds d'investissement "GXP Capital" s'associait à l'élu local Jean Icart pour reprendre le groupe Nice-Matin. GXP Capital, dirigé par Gilles Périn, est présent dans l'hôtellerie haut de gamme et dans la construction navale. Gilles Périn avait indiqué avoir l'intention d'apporter avec Jean Icart un soutien financier de 20 millions d'euros via Nice Morning, nouvel actionnaire majoritaire du Groupe Nice-Matin. L'accord, maintes fois repoussé, devait être finalisé fin février. 


    En grande difficulté financière, le groupe Nice-Matin emploie 1.250 salariés

    Il a terminé l'année 2013 avec une perte d'exploitation de 6 millions d'euros.

    Le groupe publie les quotidiens Nice-Matin (qui tire à 90.000 exemplaires), Var-Matin (65.000 exemplaires) et Monaco-Matin. Le groupe détient aussi 50% du capital de la société Corse Presse, qui édite Corse-Matin.

    Par Le Figaro.fr avec AFP
    Mis à jour le 22 mai 2014 à 17:23
    Publié  22 mai 2014 à 16 : 45

mercredi 21 mai 2014

Mercredi 21 Mai 2014 - MEDIAPART : Nice-Matin : dépôt de bilan dès lundi ?

                                             
http://blogs.mediapart.fr/blog/ficanas/210514/nice-matin-depot-de-bilan-des-lundihttp://blogs.mediapart.fr/blog/ficanas/210514/nice-matin-depot-de-bilan-des-lundi
Le blog de Ficanas 

Nice-Matin : dépôt de bilan dès lundi ?

Il y a trois semaines de cela, le 27 avril, Dominique Bernard, le Pdg de Nice-Matin annonçait l’arrivée des deux millions d’euros, l’acompte versé par les investisseurs dirigés par Jean-Auguste Icart. Mais, lors d’une réunion ce mardi au siège du journal, le directeur général du groupe Hersant Media a du reconnaître que cet argent n’était jamais parvenu au journal.
nice_matin_1
© Droits reservés
Pourtant le quotidien local avait fait remonter son tirage en servant de bulletin électoral lors des dernières municipales, mais visiblement cela a été insuffisant pour le remettre à flot.
En réalité c’est 20 millions d’euros que le groupe suisse qui avait déménagé  de Genève au douteux canton de Zoug, devait amener au support. Et ce versement était prévu le 22 février dernier, il y a trois mois.
Décidément, personne ne semble plus vouloir acquérir Nice-Matin, Var-Matin et les régies publicitaires qui vont de pair : c’est pratiquement 1.000 personnes qui vont se retrouver au chômage. Lundi matin, si l’argent n’est pas versé d’ici là, le directeur ira au tribunal de commerce déposer le bilan.
Ce n’est pas pour cela que le journal fermera définitivement. Il peut subsister une version web et le président du tribunal peut l’offrir à l’encan à un repreneur. Mais quelle que soit la solution envisagée, le couperet du licenciement va tomber sur le quotidien local.

Christian Gallo © Le Ficanas ®

jeudi 15 mai 2014

Jeudi 15 Mai 2014 - ATLANTICO : Laurent Radix – ParuVendu : "Le Bon Coin ce n’est pas qualitatif, nous c’est notre force"


http://www.atlantico.fr/decryptage/paruvendu-bon-coin-est-pas-qualitatif-c-est-notre-force-1562823.html

Laurent Radix – ParuVendu : "Le Bon Coin ce n’est pas qualitatif, nous c’est notre force"


Au bord du dépôt de bilan il y a 4 ans, ParuVendu se prend désormais la deuxième place de la petite annonce sur internet en France dans un marché dominé par Le Bon Coin. Un sauvetage que l’on doit à Digital Virgo. La société, spécialisée dans le contenu web, a totalement repositionné Paru Vendu. Fini les journaux distribués dans les boites aux lettres des Français : place à l’internet, aux tablettes avec une cible : les professionnels, explique Laurent Radix, le directeur général de Digital Virgo.

 
© Droits réservés

Atlantico Business : Quelles recettes avez-vous appliqué pour gérer cette transition vers le web ?


Laurent Radix : Nous avons travaillé de manière assez simple : avec du bon sens, du travail et de la pertinence dans le digital, qui est l’essence même  du groupe Digital Virgo. Nous avons racheté la marque en janvier 2012, suite au dépôt de bilan. Nous avons mis fin à la version papier. Ce qui nous intéressait c’était surtout la marque. Que ce soit sur le web ou sur les activités off-line, la marque est très importante. Nous avons refondu le site de manière beaucoup plus claire et avons rebâti des offres pour les professionnels, du coup, on arrive aujourd’hui à bon un positionnement avec une équipe assez réduite : on frôle les 3 millions de visiteurs uniques, on est à 850 000 annonces.

Désormais, Paru Vendu est un site d’annonce généraliste multithématique, deuxième sur les petites annonces en France après Le Bon Coin, le troisième en immobilier, et en voiture quasiment le 4ème.

Et sur le business model ?


Notre business model n’est pas du tout sur les particuliers mais sur les professionnels. Nous avons trois sources de revenus. La première, c’est la publicité sur le site. On sait tous que les revenus publicitaires sont en phase décroissante sur le web. Même si les régies publicitaires sont fortes en matière d’imagination, la tendance générale reste que c’est un produit qui baisse. Le deuxième axe de notre business model, ce sont nos partenaires. Ils sont vraiment intégrés dans les petites annonces pour les particuliers. Et puis, les abonnements aux professionnels sont la troisième source de revenus. Sur l’immobilier, par exemple, on commence à 75 euros par mois et sur l’automobile à 150 euros par mois.

Sur le secteur, Le Bon Coin canibalise la concurrence. Quelle est votre stratégie ?

La position du Bon Coin est évidemment importante, mais sur les professionnels, elle n’est pas dominante, loin de là. Donc, il fallait trouver un système pour que le particulier qui vienne sur Paru Vendu puisse trouver ce qu’il cherche, qu’on le mette en relation avec les bons professionnels  et que ces professionnels puissent le traiter dans les meilleurs conditions possibles. On a fait en sorte que les deux se joignent. Le Bon Coin est sur 90 % de petites annonces entre particuliers. Seloger est sur quasiment 100 % de professionnels. Nous nous sommes mis au milieu et ça fonctionne. Nous sommes là pour amener du lead. Pas forcément en quantité mais en qualité. Le Bon Coin est une vitrine mais il y a beaucoup trop de curieux, ce n’est pas qualitatif, nous c’est notre force. Par exemple avec des agents immobiliers partenaires, on leur ramène des coordonnées téléphoniques, on accède aux plannings des agences pour prendre rendez-vous directement avec les conseillers immobiliers. Nous avons facilité la prise de contact et, du coup, il n’y a que des gens intéressés.

 Quels sont vos axes de développement ?

Continuer d’être très fort sur la mobilité. On est vraiment multi-support, alors que Le Bon Coin n’est pas sur les tablettes. On fait 15 % de notre audience sur la mobilité aujourd’hui. On va également continuer à proposer nos annonces via des partenaires : on est le site d’annonces du groupe RTL, de Free...
Et puis, même si cela peut paraitre paradoxal, on va se concentrer sur le retour du papier ! Le site de Paru Vendu marche tellement bien que nous avons remonté plus de 160 magasines en Province. Cela fonctionne, et c’est rentable.
Propos recueillis par Julien Gagliardi

Laurent Radix – ParuVendu : "Le Bon Coin ce n’est pas qualitatif, nous c’est notre force"

Au bord du dépôt de bilan il y a 4 ans, ParuVendu se prend désormais la deuxième place de la petite annonce sur internet en France dans un marché dominé par Le Bon Coin. Un sauvetage que l’on doit à Digital Virgo. La société, spécialisée dans le contenu web, a totalement repositionné Paru Vendu. Fini les journaux distribués dans les boites aux lettres des Français : place à l’internet, aux tablettes avec une cible : les professionnels, explique Laurent Radix, le directeur général de Digital Virgo.

Read more at http://www.atlantico.fr/decryptage/paruvendu-bon-coin-est-pas-qualitatif-c-est-notre-force-1562823.html#CQDkvoWVTrfc0F8O.99

Laurent Radix – ParuVendu : "Le Bon Coin ce n’est pas qualitatif, nous c’est notre force"

Au bord du dépôt de bilan il y a 4 ans, ParuVendu se prend désormais la deuxième place de la petite annonce sur internet en France dans un marché dominé par Le Bon Coin. Un sauvetage que l’on doit à Digital Virgo. La société, spécialisée dans le contenu web, a totalement repositionné Paru Vendu. Fini les journaux distribués dans les boites aux lettres des Français : place à l’internet, aux tablettes avec une cible : les professionnels, explique Laurent Radix, le directeur général de Digital Virgo.

L'interview Atlantico Business

Publié le 15 Mai 2014



Laurent Radix – ParuVendu : "Le Bon Coin ce n’est pas qualitatif, nous c’est notre force"

Atlantico Business : Quelles recettes avez-vous appliqué pour gérer cette transition vers le web ?

Laurent Radix : Nous avons travaillé de manière assez simple : avec du bon sens, du travail et de la pertinence dans le digital, qui est l’essence même  du groupe Digital Virgo. Nous avons racheté la marque en janvier 2012, suite au dépôt de bilan. Nous avons mis fin à la version papier. Ce qui nous intéressait c’était surtout la marque. Que ce soit sur le web ou sur les activités off-line, la marque est très importante. Nous avons refondu le site de manière beaucoup plus claire et avons rebâti des offres pour les professionnels, du coup, on arrive aujourd’hui à bon un positionnement avec une équipe assez réduite : on frôle les 3 millions de visiteurs uniques, on est à 850 000 annonces.
Désormais, Paru Vendu est un site d’annonce généraliste multithématique, deuxième sur les petites annonces en France après Le Bon Coin, le troisième en immobilier, et en voiture quasiment le 4ème.

Et sur le business model ?

Notre business model n’est pas du tout sur les particuliers mais sur les professionnels. Nous avons trois sources de revenus. La première, c’est la publicité sur le site. On sait tous que les revenus publicitaires sont en phase décroissante sur le web. Même si les régies publicitaires sont fortes en matière d’imagination, la tendance générale reste que c’est un produit qui baisse. Le deuxième axe de notre business model, ce sont nos partenaires. Ils sont vraiment intégrés dans les petites annonces pour les particuliers. Et puis, les abonnements aux professionnels sont la troisième source de revenus. Sur l’immobilier, par exemple, on commence à 75 euros par mois et sur l’automobile à 150 euros par mois.

Sur le secteur, Le Bon Coin canibalise la concurrence. Quelle est votre stratégie ?

La position du Bon Coin est évidemment importante, mais sur les professionnels, elle n’est pas dominante, loin de là. Donc, il fallait trouver un système pour que le particulier qui vienne sur Paru Vendu puisse trouver ce qu’il cherche, qu’on le mette en relation avec les bons professionnels  et que ces professionnels puissent le traiter dans les meilleurs conditions possibles. On a fait en sorte que les deux se joignent. Le Bon Coin est sur 90 % de petites annonces entre particuliers. Seloger est sur quasiment 100 % de professionnels. Nous nous sommes mis au milieu et ça fonctionne. Nous sommes là pour amener du lead. Pas forcément en quantité mais en qualité. Le Bon Coin est une vitrine mais il y a beaucoup trop de curieux, ce n’est pas qualitatif, nous c’est notre force. Par exemple avec des agents immobiliers partenaires, on leur ramène des coordonnées téléphoniques, on accède aux plannings des agences pour prendre rendez-vous directement avec les conseillers immobiliers. Nous avons facilité la prise de contact et, du coup, il n’y a que des gens intéressés.

Quels sont vos axes de développement ?

Continuer d’être très fort sur la mobilité. On est vraiment multi-support, alors que Le Bon Coin n’est pas sur les tablettes. On fait 15 % de notre audience sur la mobilité aujourd’hui. On va également continuer à proposer nos annonces via des partenaires : on est le site d’annonces du groupe RTL, de Free...Et puis, même si cela peut paraitre paradoxal, on va se concentrer sur le retour du papier ! Le site de Paru Vendu marche tellement bien que nous avons remonté plus de 160 magasines en Province. Cela fonctionne, et c’est rentable.
Propos recueillis par Julien Gagliardi

Read more at http://www.atlantico.fr/decryptage/paruvendu-bon-coin-est-pas-qualitatif-c-est-notre-force-1562823.html#CQDkvoWVTrfc0F8O.99

Laurent Radix – ParuVendu : "Le Bon Coin ce n’est pas qualitatif, nous c’est notre force"

Au bord du dépôt de bilan il y a 4 ans, ParuVendu se prend désormais la deuxième place de la petite annonce sur internet en France dans un marché dominé par Le Bon Coin. Un sauvetage que l’on doit à Digital Virgo. La société, spécialisée dans le contenu web, a totalement repositionné Paru Vendu. Fini les journaux distribués dans les boites aux lettres des Français : place à l’internet, aux tablettes avec une cible : les professionnels, explique Laurent Radix, le directeur général de Digital Virgo.

L'interview Atlantico Business

Publié le 15 Mai 2014



Laurent Radix – ParuVendu : "Le Bon Coin ce n’est pas qualitatif, nous c’est notre force"

Atlantico Business : Quelles recettes avez-vous appliqué pour gérer cette transition vers le web ?

Laurent Radix : Nous avons travaillé de manière assez simple : avec du bon sens, du travail et de la pertinence dans le digital, qui est l’essence même  du groupe Digital Virgo. Nous avons racheté la marque en janvier 2012, suite au dépôt de bilan. Nous avons mis fin à la version papier. Ce qui nous intéressait c’était surtout la marque. Que ce soit sur le web ou sur les activités off-line, la marque est très importante. Nous avons refondu le site de manière beaucoup plus claire et avons rebâti des offres pour les professionnels, du coup, on arrive aujourd’hui à bon un positionnement avec une équipe assez réduite : on frôle les 3 millions de visiteurs uniques, on est à 850 000 annonces.
Désormais, Paru Vendu est un site d’annonce généraliste multithématique, deuxième sur les petites annonces en France après Le Bon Coin, le troisième en immobilier, et en voiture quasiment le 4ème.

Et sur le business model ?

Notre business model n’est pas du tout sur les particuliers mais sur les professionnels. Nous avons trois sources de revenus. La première, c’est la publicité sur le site. On sait tous que les revenus publicitaires sont en phase décroissante sur le web. Même si les régies publicitaires sont fortes en matière d’imagination, la tendance générale reste que c’est un produit qui baisse. Le deuxième axe de notre business model, ce sont nos partenaires. Ils sont vraiment intégrés dans les petites annonces pour les particuliers. Et puis, les abonnements aux professionnels sont la troisième source de revenus. Sur l’immobilier, par exemple, on commence à 75 euros par mois et sur l’automobile à 150 euros par mois.

Sur le secteur, Le Bon Coin canibalise la concurrence. Quelle est votre stratégie ?

La position du Bon Coin est évidemment importante, mais sur les professionnels, elle n’est pas dominante, loin de là. Donc, il fallait trouver un système pour que le particulier qui vienne sur Paru Vendu puisse trouver ce qu’il cherche, qu’on le mette en relation avec les bons professionnels  et que ces professionnels puissent le traiter dans les meilleurs conditions possibles. On a fait en sorte que les deux se joignent. Le Bon Coin est sur 90 % de petites annonces entre particuliers. Seloger est sur quasiment 100 % de professionnels. Nous nous sommes mis au milieu et ça fonctionne. Nous sommes là pour amener du lead. Pas forcément en quantité mais en qualité. Le Bon Coin est une vitrine mais il y a beaucoup trop de curieux, ce n’est pas qualitatif, nous c’est notre force. Par exemple avec des agents immobiliers partenaires, on leur ramène des coordonnées téléphoniques, on accède aux plannings des agences pour prendre rendez-vous directement avec les conseillers immobiliers. Nous avons facilité la prise de contact et, du coup, il n’y a que des gens intéressés.

Quels sont vos axes de développement ?

Continuer d’être très fort sur la mobilité. On est vraiment multi-support, alors que Le Bon Coin n’est pas sur les tablettes. On fait 15 % de notre audience sur la mobilité aujourd’hui. On va également continuer à proposer nos annonces via des partenaires : on est le site d’annonces du groupe RTL, de Free...Et puis, même si cela peut paraitre paradoxal, on va se concentrer sur le retour du papier ! Le site de Paru Vendu marche tellement bien que nous avons remonté plus de 160 magasines en Province. Cela fonctionne, et c’est rentable.
Propos recueillis par Julien Gagliardi

Read more at http://www.atlantico.fr/decryptage/paruvendu-bon-coin-est-pas-qualitatif-c-est-notre-force-1562823.html#CQDkvoWVTrfc0F8O.99

jeudi 1 mai 2014

Jeudi 01 Mai 2014 - INFORMATIONS SYNDICALES FORCE OUVRIERE : Manifestations dans le Gard



Les UD FO, CGT, FSU, SOLIDAIRES se sont rencontrées et elles ont convenu d'une manifestation départementale (Gard) :


départ de la place des Carmes
à Nîmes à 10h00

avec prises de parole des OS
pour ensuite
se rendre à la
M​aison Carrée
(dislocation)
par le boulevard Gambetta.


 accord du 16/04 pour Solidaires (d'autres OS pourraient se rajouter).

lundi 28 avril 2014

Lundi 28 Avril 2014 - GraphiLine.com : Spir Communication - Un bilan qui annonce des changements

http://www.graphiline.com/article/17729/Spir-Communication---Un-bilan-qui-annonce-des-changements?fb_action_ids=10203923486758306&fb_action_types=og.likes&fb_source=aggregation&fb_aggregation_id=288381481237582

Spir Communication - Un bilan qui annonce des changements

L'entreprise de presse française, Spir Communication, a publié ses résultats du premier trimestre avec une forte baisse des médias généralistes et du secteur de l'imprimerie.


Le par   
Spir Communication a publié ses résultats du premier trimestre et présenté un chiffre d'affaires de 127,3 millions d'euros, en hausse de 1,0% par rapport au premier trimestre 2013.
La première source de revenus du groupe reste la diffusion d’imprimés publicitaires qui progresse de 8,1 %. Le chiffre d'affaires s’élève au premier trimestre à 73,8 millions d’euros. Les performances du réseau commercial en termes de conquêtes de parts de marché sont soulignés par Spir Communication. L’imprimé publicitaire confirme sa pertinence auprès des annonceurs.


La thématique immobilier se porte bien avec un chiffre d’affaires de 18,5 millions, soit une hausse de 4,5 %. Mais avec une baisse de 5,0 % de la composante presse, ce bon résultat provient d’internet qui enregistre une hausse de 12,4 %, traduisant l’amélioration de l’attractivité de la marque Logic-Immo.com, tant pour les annonceurs que pour les internautes, selon Spir Communication.
Côté automobile, le chiffre d’affaires progresse de 0,8 % au premier trimestre 2014. Il s’élève à 11,9 millions d’euros. LaCentrale.fr confirme sa position de site leader tant auprès des professionnels que des internautes.


Dans la continuité du 4e trimestre 2013, le chiffre d’affaires des médias généralistes baisse de 16,3 % pour atteindre 14,4 millions d’euros. Suite à l’arrêt de certaines publications et à la réduction de la périodicité du magazine Top, la composante presse chute de 38,4 % dans un marché particulièrement faible. En revanche, sa composante internet poursuit sa croissance à un rythme soutenu de 14,6 %.

La plus forte baisse vient du secteur de l’imprimerie qui fait une chute de 21,6 % avec un chiffre d’affaires à 8,7 millions. Mais "les adaptations engagées en termes, d’une part, d’optimisation du processus et d’autre part, de moyens de production, se poursuivent" a assuré Spir Communication

Pour le groupe, "le chiffre d’affaires du premier trimestre 2014 montre la bonne performance commerciale de l’ensemble des offres internet ainsi que celle des activités médias thématiques et diffusion d’imprimés publicitaires." Et annonce une accélération de ses transformations "tant au niveau de ses offres commerciales et de son organisation, que de ses coûts."

vendredi 25 avril 2014

Vendredi 25 Avril 2014 - 20 minutes.fr : Vers une sortie de crise à Nice-Matin

 http://www.20minutes.fr/nice/1360305-vers-sortie-crise-nice-matin

Jean Icart, futur PDG du groupe, doit entrer au conseil d'administration ce vendredi

Après de longs mois d'attente, les salariés du groupe Nice-Matin, au bord du redressement judiciaire, sont en passe de voir enfin le bout du tunnel. Le 1er mars, Jean Icart, un entrepreneur et politique niçois de 67 ans, devait pourtant reprendre le groupe de presse (Nice-Matin, Var-Matin et Monaco-Matin), propriété d'Hersant Média. Mais depuis, pour les employés, c'était silence radio. Les choses pourraient finalement bouger ce vendredi. En effet, selon une note de la direction transmise à son personnel, et que 20 Minutes a pu consulter, un conseil d'administration va se réunir pour coopter Jean Icart comme nouvel administrateur. Comme prévu, il sera bien associé au fonds d'investissement suisse GXP Capital, représenté par Gilles Périn, et devrait apporter 2 millions d'euros. Une première étape dans la prise de contrôle du journal par la société Nice-Morning, détenue par l'élu local et enregistrée, au tribunal de commerce de Nice, dans son ancienne permanence de candidat aux dernières élections municipales.

« Pas au point mort »

Toujours selon cette note, « le changement de contrôle sera réalisé avant la fin du mois de mai ». Autrement dit, « pour être actionnaires majoritaires, ils vont apporter 18 millions d'euros sur les 20 promis », résume Gérard Pitocchi, délégué syndical CGT. Contacté, Jean-Icart, le futur PDG, n'a pas souhaité communiquer. Tout juste a-t-il affirmé que « les négociations avancent et que l'affaire n'est pas au point mort ». Reste que le groupe, qui accusait une perte d'exploitation de 6 millions d'euros fin 2013, va subir un plan social : « 147 départs sont prévus dont 25 à la rédaction », affirme un délégué syndical.

 
Jean-Alexis Gallien-Lamarche
Créé le 25/04/2014 à 06h52 - Mis à jour le 25/04/2014 à 06h52


■ « Un patron de presse et pas un politique »

A l'annonce de la reprise du groupe, Jean Icart s'était engagé à démissionner de tous ses mandats politiques. Après les municipales, il ne lui reste plus que son siège de conseiller général. Contacté, le département affirme qu'il n'a pas encore abandonné sa fonction. « L'important, c'est que l'indépendance économique soit assurée et l'indépendance éditoriale acquise », souligne un journaliste. « Il doit devenir patron de presse et pas politique », ajoute un autre.

mardi 15 avril 2014

Mardi 15 Avril 2014 - Observatoire des Journalistes et de l'Information Médiatique - Nice-Matin toujours en suspens


Nice-Matin toujours en suspens

© Droits réserves

Plus aucune date n’est fixée pour la conclusion de la vente de Nice-Matin entre le Groupe Hersant Média et le fonds d’investissement suisse GXP capital. GXP doit apporter en principe 20 millions d’euros et prendre 80% du capital. Prévu initialement fin février, le closing a déjà été repoussé deux fois et ne devrait finalement pas intervenir le 15 avril comme annoncé. Du coup, la plupart des acteurs locaux, le maire de Nice Christian Estrosi en tête, doutent de la conclusion effective de l’opération annoncée fin 2013. Si c’était le cas, Nice-Matin, qui emploie environ un millier de salariés, serait placé en redressement judiciaire. 

jeudi 10 avril 2014

Jeudi 10 Avril 2014 - La Lettre A - Journalistes et Medias - Philippe HERSANT

http://www.lalettrea.fr/journalistes-medias/2014/04/10/philippe-hersant,108017848-BRL


La Lettre A N°1634 du 10/04/2014

Philippe Hersant


Philippe Hersant, président du conseil d'administration du Groupe Hersant média (GHM), entend redevenir le patron opérationnel de toutes ses sociétés dès qu'il sera parvenu à sortir du capital de Nice-Matin. Cette stratégie explique le départ de Denis Berriat, directeur général délégué de France Antilles, et de Jacques Richard, DG de la société personnelle de Philippe Hersant, Editions suisses holding (LLA nº1629). Enfin, le retrait de Dominique Bernard de la direction générale de GHM préfigure une probable mise en sommeil du groupe. L'objectif sous-jacent serait de le rendre non-solvable au cas où les 365 salariés licenciés de son ex-filiale Comareg gagneraient leurs recours aux prud'hommes, dont le jugement est prévu en septembre (LLA nº1617).



mardi 18 mars 2014

Mardi 18 Mars 2014 - INFORMATIONS SYNDICALES FORCE OUVRIERE : SE FAIRE ENTENDRE !!!

Nîmes : 
Départ de la

Maison Carrée à 15h00

pour se rendre en Préfecture.

 https://drive.google.com/file/d/0B_UDL0pm46iRN2xjWWo4U1l6TjA/edit?usp=sharing



mardi 4 mars 2014

Mardi 04 Mars 2014 - CBS News : Naissance de la régie extra-locale Media Outre-Mer


 Les régies GHM (groupe Hersant Media), Régie des Alizés et Média Outremer (groupe La Taille) viennent de se regrouper pour former « la plus importante régie privée spécialisée dans les DOM-TOM » au sein de Media Outre-Mer. Détenu à 60% par le groupe Hersant Media et à 40% par le groupe La Taille, la nouvelle structure est placée sous la présidence de Dominique de La Taille et sous la direction opérationnelle de Marie Daynes qui était jusqu'alors la directrice de la régie Outre Mer Publicité (groupe Hersant Media). Dans sa nouvelle configuration, la régie va désormais gérer les régies extra-locales de plus de 70 éditeurs (presse, TV, affichage, radio, internet...) de Guadeloupe, Martinique, Guyane, Saint Martin, La Réunion, Mayotte, Polynésie et Nouvelle Calédonie.

Le 04/03/2014 à 19:16 par Thierry Wojciak

vendredi 7 février 2014

Vendredi 07 Février 2014 - LES ECHOS : Groupe Hersant Média cède le contrôle de « Nice-Matin »

Associé à un fonds,
l'élu niçois Jean Icart achète le titre.
GHM, l'actuel propriétaire, conserverait
20 % du nouveau holding.

© Droits Réservés
C'est la fin d'un long suspense pour les salariés de « Nice-Matin ». La direction a annoncé hier la prise de contrôle du quotidien régional par l'élu niçois Jean Icart, conseiller général et municipal divers droite, associé à un fonds d'investissement privé européen, spécialisé dans l'immobilier de montagne et les yachts de luxe, dont le nom est tenu secret. C'est une énorme surprise pour les salariés. Un nouveau holding baptisé « Nice Morning », dont Groupe Hersant Média, l'actuel propriétaire du titre, conserverait 20 %, serait créé. «  Un soutien financier de l'ordre de 20 millions d'euros sera apporté au groupe dans les semaines à venir », précise la direction de « Nice-Matin ». Le journal évite ainsi le redressement judiciaire.
A quelques semaines des élections municipales, la nouvelle de la prise de contrôle de « Nice-Matin » ne devrait cependant pas manquer d'attirer l'attention de Christian Estrosi, l'actuel maire de Nice, vice-président de l'UMP, candidat à sa réélection. Car, à soixante-sept ans, son ancien collaborateur Jean Icart fait aujourd'hui campagne contre lui. La perspective de voir le principal journal local tomber entre les mains de l'un de ses opposants n'est certainement pas une bonne nouvelle pour le maire. «  Jean Icart a fait part de sa décision de démissionner de tous ses mandats politiques et de ne pas se présenter à la prochaine élection à la mairie de Nice », affirme néanmoins la direction de « Nice- Matin ». Elu à Nice depuis vingt ans, Jean Icart devait mener une liste commune pour les municipales avec Jacques Peyrat, ancien maire auquel avait succédé Christian Estrosi en 2008. Mais le premier a mis fin à leur alliance fin 2013. Le second aurait appris la nouvelle... en lisant « Nice-Matin ».

128 postes supprimés

Au cours d'un comité d'entreprise extraordinaire, hier, a été présenté un accord entre les salariés et la direction sur un plan social qui prévoit la suppression de 128 postes d'ici à fin 2015, contre 150 réclamés au départ par la direction. Au total, le plan coûterait à lui seul une quinzaine de millions d'euros. Mais le journal a besoin de davantage pour financer ses développements futurs.
De son côté, Philippe Hersant cède un journal de plus et il ne lui reste désormais que le pôle France-Antilles et une participation de 50 % dans le très rentable « Corse-Matin », aux côtés de Bernard Tapie avec qui il était encore récemment coactionnaire de « Nice-Matin » et de « La Provence ». Les deux hommes ont depuis rompu leur alliance, ne restant associés que dans « Corse-Matin », tandis que Bernard Tapie prenait le contrôle de « La Provence ».
Fabienne Schmitt

vendredi 10 janvier 2014

Vendredi 10 Janvier 2014 - LE MONDE / AFP : Bernard Tapie injecte 6 millions d'euros dans La Provence

http://www.lemonde.fr/actualite-medias/article/2014/01/10/bernard-tapie-injecte-6-millions-d-euros-dans-la-provence_4346329_3236.html
  Bernard Tapie injecte
6 millions d'euros
dans La Provence

« Depuis le 8 janvier 2014, GBT (Groupe Bernard Tapie) devient actionnaire majoritaire du groupe La Provence avec 80 % des parts ». Dans un communiqué publié vendredi 10 janvier, Marc Auburtin, président-directeur général du journal, a ainsi confirmé la reprise du journal, assortie d'une augmentation de capital de La Provence d'un montant de six millions d'euros, ainsi que de la sortie intégrale du groupe de Bernard Tapie du capital de Groupe Hersant Médias (GHM).
Les deux parties s'étaient accordées fin décembre sur un partage des titres du groupe Hersant, qui détient la totalité de Nice Matin, tandis que Corse Matin, actuellement détenu à parité, reste une filiale détenue à parts égales par La Provence et Nice Matin« C'est acté et c'est tant mieux. On sait où on va avec un actionnaire qui recapitalise La Provence, chose qui n'a pas été faite par le groupe Hersant Média », a commenté le secrétaire général du comité d'entreprise, Hervé Borello, également délégué Force ouvrière.
« Ma première réaction : un soulagement de sortir de la gestion Hersant, qui n'a jamais mis un sous dans la maison », a déclaré Serge Mercier délégué du Syndicat national des journalistes.

UN CHANGEMENT D'ACTIONNAIRES MAJEUR

Les actionnaires ont également ratifié la nomination, en tant qu'administrateur et président directeur général de La Provence, de Marc Auburtin, qui avait remplacé en décembre Dominique Bernard, démissionnaire. Ils ont aussi nommé deux nouveaux administrateurs : Claire Charbonnel, directrice générale adjointe, et Olivier Mazerolle, directeur général délégué et directeur de la rédaction.

Ce changement d'actionnaires entraîne l'ouverture automatique de la clause de cession, qui permet aux journalistes (La Provence en compte environ 200) de quitter un journal en bénéficiant des conditions d'un licenciement, lorsqu'un changement majeur d'actionnaires intervient. Seules les modalités restent à définir.

Mais, pour le délégué du Syndicat national des journalistes, « c'est beaucoup trop tôt pour dire si l'arrivée de Bernard Tapie est une bonne nouvelle », poursuit-il,« car avec l'ouverture de la clause de cession, un certain nombre de gens vont partir et Bernard Tapie ne s'engage sur aucun remplacement ».

Le Monde.fr avec AFP | 10.01.2014 à 18h57 • Mis à jour le 10.01.2014 à 19h51

mardi 31 décembre 2013

Mardi 31 Décembre 2013 - Meilleurs Voeux


Croyons en l'union de nos forces dans ce même objectif :

NOTRE RÉUSSITE
DANS NOTRE COMBAT COMMUN


Meilleurs Vœux

http://www.avenirpressepublications.blogspot.fr/
Avenir Presse Publications

vendredi 27 décembre 2013

Vendredi 27 Décembre 2013 - INFORMATIONS SYNDICALES FORCE OUVRIERE : Communiqué de Presse : Chiffres du chômage : l’inversion attendra







COMMUNIQUE



Chiffres du chômage : 
l’inversion attendra
 
Les chiffres des demandeurs d’emploi inscrits à Pôle emploi pour le mois de novembre 2013 ne constituent pas une surprise. La catégorie A augmente de 0,5 % sur un mois. Sur un an le nombre de demandeurs d’emploi inscrits sans aucune activité a augmenté de 5,6 %. La situation des chômeurs de longue durée (un an ou plus + 13,4 sur un an) et des seniors (cat. A + 11,7 sur un an) ne cessent de s’aggraver.

Face à la communication pour le moins alambiquée des pouvoirs publics, force est de constater que le nombre de demandeurs d’emploi continue sa dramatique progression. La croissance pour 2014 oscillant vraisemblablement à moins de 1 %, elle ne suffira pas à faire baisser durablement le chômage.

Comme ne cesse de le répéter, Force Ouvrière, c’est bien d’un changement de politique macro-économique dont la France et l’Europe ont besoin.

Relance de la consommation par la hausse des salaires, traitements et pensions, mise en œuvre d’une politique volontariste de grands travaux à l’échelle européenne, réforme fiscale d’ampleur remettant au centre du système l’impôt sur le revenu, fin des politiques de restrictions budgétaires et des coupes dans les dépenses publiques, remise en cause du pacte budgétaire européen, tels sont les ingrédients indispensables pour sortir de la crise. 
 C'est ce que Force Ouvrière rappellera lors du grand meeting qu’elle organisera le 29 janvier 2014 à Paris



Paris, le 27 décembre 2013

Contact :

Stéphane LARDY

Secrétaire Confédéral

dimanche 22 décembre 2013

Dimanche 22 Décembre 2013 : FR3 Côte d'Azur /AFP : Journaux du Groupe Hersant Media : Protocole d'accord trouvé sur le partage entre Hersant et Tapie

 
Côte d'Azur

Journaux du Groupe Hersant Media :
Protocole d'accord trouvé sur le partage
entre Hersant et Tapie


© VALERY HACHE / AFP

Bernard Tapie et la famille Hersant son parvenus à un accord sur le partage des titres de presse de Groupe Hersant Media (GHM), entre la famille Hersant et le groupe Bernard Tapie.

"Nous sommes parvenus à un accord mais le protocole d'accord nous impose une clause de confidentialité" a déclaré à l'AFP M. Bernard, confirmant une information des Echos. Le directeur général de GHM, qui est également PDG du groupe Nice-Matin n'a pas souhaité "faire d'autres commentaires". 

Selon les Echos, le compromis prévoit la prise de contrôle du groupe La Provence par le groupe Bernard Tapie, à hauteur de 80 % tandis que GHM en conserverait 20 %. Le groupe Tapie sortant par ailleurs du capital de GHM. 

Corse Matin, actuellement détenu à parité resterait une filiale détenue à 50/50 par La Provence et Nice Matin, selon les Echos.

Un projet d'accord annoncé mi-juillet prévoyait que la famille Hersant reprenait la main sur le groupe Nice-Matin, ainsi que sur France-Antilles, tandis que Bernard Tapie devenait actionnaire à 100% de La Provence.
Un administrateur-conciliateur avait ensuite été désigné, en octobre, pour trouver une solution au partage des titres de presse de GHM entre la famille Hersant et le groupe Bernard Tapie. 

Le 10 décembre, Marc Auburtin, directeur général délégué du groupe La Provence a été nommé président directeur général en remplacement de M. Bernard, démissionnaire.

Dans un communiqué, le groupe avait par ailleurs annoncé qu'Olivier Mazerolle, actuel directeur de la rédaction du quotidien La Provence, serait nommé administrateur lors d'une assemblée générale des actionnaires en janvier 2014.
  • AFP
  • Publié le 22/12/2013 | 10:00, mis à jour le 22/12/2013 | 10:57

jeudi 12 décembre 2013

Jeudi 12 Décembre 2013 - INFORMATIONS SYNDICALES FORCE OUVRIERE - COMMUNIQUE DE PRESSE SUR LA DESINFORMATION DE LA DIRECTION DE CONFORAMA

https://drive.google.com/file/d/0B_UDL0pm46iRMnYyY1JoN1RidGc/edit?usp=sharing
COMMUNIQUE DE PRESSE
Les magasins Conforama ouverts tous les dimanches
ne paient pas double leurs salariés


Depuis la sortie du rapport Bailly, commandé par le gouvernement, qui vise à transformer la loi sur le repos dominical et à abroger l’amendement DEBRE dit loi « CONFOKEA » autorisant les magasins de l’ameublement à ouvrir le dimanche dans toute la France, le PDG de Conforama M. Thierry GUIBERT multiplie les interventions radiophoniques et plaide en faveur des enseignes de l’ameublement dont l’autorisation d’ouvrir 52 dimanches par an pourrait être remise en cause et qualifie l’abolition de ce privilège de véritable catastrophe pour Conforama.
Que le PDG de Conforama défende le travail du dimanche, ne l’autorise pas pour autant à faire de la désinformation auprès des journalistes, du gouvernement et des Français.
En effet, lors de ces « sorties » médiatiques, il affirme que les salariés de Conforama sont payés double le dimanche.
C’est totalement FAUX, le paiement double ne concerne que les salariés qui travaillent exceptionnellement le dimanche.
Pour les employés d’Ile de France et de Plan de Campagne qui peuvent travailler tous les dimanches cela déclenche une majoration ne dépassant pas 70 € bruts. Nous sommes très loin, pour la grande majorité de ces employés, du paiement double de cette journée.
Il nous explique également que les salariés sont volontaires, alors que tous les salariés de Conforama embauchés en Ile de France et sur Plan de Campagne ont une clause dans leur contrat qui stipule qu’ils peuvent être amenés à travailler le dimanche.
Les salariés qui refusent cette clause sont-ils embauchés par la direction de Conforama ?

Des salariés de Conforama se sont mis en grève le 27 novembre 2013 pour revendiquer notamment une augmentation de salaire de 150 € bruts par mois.
Si les salaires étaient décents chez Conforama, les salariés seraient-ils « volontaires » pour travailler le dimanche ?

Le syndicat FEC-FO de Conforama, veut par ce communiqué, rétablir la vérité sur le soi-disant paiement double du dimanche et sur le soi-disant « volontariat » des salariés.
Saint-Quentin, le 12 décembre 2013.