jeudi 15 mai 2014

Jeudi 15 Mai 2014 - ATLANTICO : Laurent Radix – ParuVendu : "Le Bon Coin ce n’est pas qualitatif, nous c’est notre force"


http://www.atlantico.fr/decryptage/paruvendu-bon-coin-est-pas-qualitatif-c-est-notre-force-1562823.html

Laurent Radix – ParuVendu : "Le Bon Coin ce n’est pas qualitatif, nous c’est notre force"


Au bord du dépôt de bilan il y a 4 ans, ParuVendu se prend désormais la deuxième place de la petite annonce sur internet en France dans un marché dominé par Le Bon Coin. Un sauvetage que l’on doit à Digital Virgo. La société, spécialisée dans le contenu web, a totalement repositionné Paru Vendu. Fini les journaux distribués dans les boites aux lettres des Français : place à l’internet, aux tablettes avec une cible : les professionnels, explique Laurent Radix, le directeur général de Digital Virgo.

 
© Droits réservés

Atlantico Business : Quelles recettes avez-vous appliqué pour gérer cette transition vers le web ?


Laurent Radix : Nous avons travaillé de manière assez simple : avec du bon sens, du travail et de la pertinence dans le digital, qui est l’essence même  du groupe Digital Virgo. Nous avons racheté la marque en janvier 2012, suite au dépôt de bilan. Nous avons mis fin à la version papier. Ce qui nous intéressait c’était surtout la marque. Que ce soit sur le web ou sur les activités off-line, la marque est très importante. Nous avons refondu le site de manière beaucoup plus claire et avons rebâti des offres pour les professionnels, du coup, on arrive aujourd’hui à bon un positionnement avec une équipe assez réduite : on frôle les 3 millions de visiteurs uniques, on est à 850 000 annonces.

Désormais, Paru Vendu est un site d’annonce généraliste multithématique, deuxième sur les petites annonces en France après Le Bon Coin, le troisième en immobilier, et en voiture quasiment le 4ème.

Et sur le business model ?


Notre business model n’est pas du tout sur les particuliers mais sur les professionnels. Nous avons trois sources de revenus. La première, c’est la publicité sur le site. On sait tous que les revenus publicitaires sont en phase décroissante sur le web. Même si les régies publicitaires sont fortes en matière d’imagination, la tendance générale reste que c’est un produit qui baisse. Le deuxième axe de notre business model, ce sont nos partenaires. Ils sont vraiment intégrés dans les petites annonces pour les particuliers. Et puis, les abonnements aux professionnels sont la troisième source de revenus. Sur l’immobilier, par exemple, on commence à 75 euros par mois et sur l’automobile à 150 euros par mois.

Sur le secteur, Le Bon Coin canibalise la concurrence. Quelle est votre stratégie ?

La position du Bon Coin est évidemment importante, mais sur les professionnels, elle n’est pas dominante, loin de là. Donc, il fallait trouver un système pour que le particulier qui vienne sur Paru Vendu puisse trouver ce qu’il cherche, qu’on le mette en relation avec les bons professionnels  et que ces professionnels puissent le traiter dans les meilleurs conditions possibles. On a fait en sorte que les deux se joignent. Le Bon Coin est sur 90 % de petites annonces entre particuliers. Seloger est sur quasiment 100 % de professionnels. Nous nous sommes mis au milieu et ça fonctionne. Nous sommes là pour amener du lead. Pas forcément en quantité mais en qualité. Le Bon Coin est une vitrine mais il y a beaucoup trop de curieux, ce n’est pas qualitatif, nous c’est notre force. Par exemple avec des agents immobiliers partenaires, on leur ramène des coordonnées téléphoniques, on accède aux plannings des agences pour prendre rendez-vous directement avec les conseillers immobiliers. Nous avons facilité la prise de contact et, du coup, il n’y a que des gens intéressés.

 Quels sont vos axes de développement ?

Continuer d’être très fort sur la mobilité. On est vraiment multi-support, alors que Le Bon Coin n’est pas sur les tablettes. On fait 15 % de notre audience sur la mobilité aujourd’hui. On va également continuer à proposer nos annonces via des partenaires : on est le site d’annonces du groupe RTL, de Free...
Et puis, même si cela peut paraitre paradoxal, on va se concentrer sur le retour du papier ! Le site de Paru Vendu marche tellement bien que nous avons remonté plus de 160 magasines en Province. Cela fonctionne, et c’est rentable.
Propos recueillis par Julien Gagliardi

Laurent Radix – ParuVendu : "Le Bon Coin ce n’est pas qualitatif, nous c’est notre force"

Au bord du dépôt de bilan il y a 4 ans, ParuVendu se prend désormais la deuxième place de la petite annonce sur internet en France dans un marché dominé par Le Bon Coin. Un sauvetage que l’on doit à Digital Virgo. La société, spécialisée dans le contenu web, a totalement repositionné Paru Vendu. Fini les journaux distribués dans les boites aux lettres des Français : place à l’internet, aux tablettes avec une cible : les professionnels, explique Laurent Radix, le directeur général de Digital Virgo.

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Laurent Radix – ParuVendu : "Le Bon Coin ce n’est pas qualitatif, nous c’est notre force"

Au bord du dépôt de bilan il y a 4 ans, ParuVendu se prend désormais la deuxième place de la petite annonce sur internet en France dans un marché dominé par Le Bon Coin. Un sauvetage que l’on doit à Digital Virgo. La société, spécialisée dans le contenu web, a totalement repositionné Paru Vendu. Fini les journaux distribués dans les boites aux lettres des Français : place à l’internet, aux tablettes avec une cible : les professionnels, explique Laurent Radix, le directeur général de Digital Virgo.

L'interview Atlantico Business

Publié le 15 Mai 2014



Laurent Radix – ParuVendu : "Le Bon Coin ce n’est pas qualitatif, nous c’est notre force"

Atlantico Business : Quelles recettes avez-vous appliqué pour gérer cette transition vers le web ?

Laurent Radix : Nous avons travaillé de manière assez simple : avec du bon sens, du travail et de la pertinence dans le digital, qui est l’essence même  du groupe Digital Virgo. Nous avons racheté la marque en janvier 2012, suite au dépôt de bilan. Nous avons mis fin à la version papier. Ce qui nous intéressait c’était surtout la marque. Que ce soit sur le web ou sur les activités off-line, la marque est très importante. Nous avons refondu le site de manière beaucoup plus claire et avons rebâti des offres pour les professionnels, du coup, on arrive aujourd’hui à bon un positionnement avec une équipe assez réduite : on frôle les 3 millions de visiteurs uniques, on est à 850 000 annonces.
Désormais, Paru Vendu est un site d’annonce généraliste multithématique, deuxième sur les petites annonces en France après Le Bon Coin, le troisième en immobilier, et en voiture quasiment le 4ème.

Et sur le business model ?

Notre business model n’est pas du tout sur les particuliers mais sur les professionnels. Nous avons trois sources de revenus. La première, c’est la publicité sur le site. On sait tous que les revenus publicitaires sont en phase décroissante sur le web. Même si les régies publicitaires sont fortes en matière d’imagination, la tendance générale reste que c’est un produit qui baisse. Le deuxième axe de notre business model, ce sont nos partenaires. Ils sont vraiment intégrés dans les petites annonces pour les particuliers. Et puis, les abonnements aux professionnels sont la troisième source de revenus. Sur l’immobilier, par exemple, on commence à 75 euros par mois et sur l’automobile à 150 euros par mois.

Sur le secteur, Le Bon Coin canibalise la concurrence. Quelle est votre stratégie ?

La position du Bon Coin est évidemment importante, mais sur les professionnels, elle n’est pas dominante, loin de là. Donc, il fallait trouver un système pour que le particulier qui vienne sur Paru Vendu puisse trouver ce qu’il cherche, qu’on le mette en relation avec les bons professionnels  et que ces professionnels puissent le traiter dans les meilleurs conditions possibles. On a fait en sorte que les deux se joignent. Le Bon Coin est sur 90 % de petites annonces entre particuliers. Seloger est sur quasiment 100 % de professionnels. Nous nous sommes mis au milieu et ça fonctionne. Nous sommes là pour amener du lead. Pas forcément en quantité mais en qualité. Le Bon Coin est une vitrine mais il y a beaucoup trop de curieux, ce n’est pas qualitatif, nous c’est notre force. Par exemple avec des agents immobiliers partenaires, on leur ramène des coordonnées téléphoniques, on accède aux plannings des agences pour prendre rendez-vous directement avec les conseillers immobiliers. Nous avons facilité la prise de contact et, du coup, il n’y a que des gens intéressés.

Quels sont vos axes de développement ?

Continuer d’être très fort sur la mobilité. On est vraiment multi-support, alors que Le Bon Coin n’est pas sur les tablettes. On fait 15 % de notre audience sur la mobilité aujourd’hui. On va également continuer à proposer nos annonces via des partenaires : on est le site d’annonces du groupe RTL, de Free...Et puis, même si cela peut paraitre paradoxal, on va se concentrer sur le retour du papier ! Le site de Paru Vendu marche tellement bien que nous avons remonté plus de 160 magasines en Province. Cela fonctionne, et c’est rentable.
Propos recueillis par Julien Gagliardi

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Au bord du dépôt de bilan il y a 4 ans, ParuVendu se prend désormais la deuxième place de la petite annonce sur internet en France dans un marché dominé par Le Bon Coin. Un sauvetage que l’on doit à Digital Virgo. La société, spécialisée dans le contenu web, a totalement repositionné Paru Vendu. Fini les journaux distribués dans les boites aux lettres des Français : place à l’internet, aux tablettes avec une cible : les professionnels, explique Laurent Radix, le directeur général de Digital Virgo.

L'interview Atlantico Business

Publié le 15 Mai 2014



Laurent Radix – ParuVendu : "Le Bon Coin ce n’est pas qualitatif, nous c’est notre force"

Atlantico Business : Quelles recettes avez-vous appliqué pour gérer cette transition vers le web ?

Laurent Radix : Nous avons travaillé de manière assez simple : avec du bon sens, du travail et de la pertinence dans le digital, qui est l’essence même  du groupe Digital Virgo. Nous avons racheté la marque en janvier 2012, suite au dépôt de bilan. Nous avons mis fin à la version papier. Ce qui nous intéressait c’était surtout la marque. Que ce soit sur le web ou sur les activités off-line, la marque est très importante. Nous avons refondu le site de manière beaucoup plus claire et avons rebâti des offres pour les professionnels, du coup, on arrive aujourd’hui à bon un positionnement avec une équipe assez réduite : on frôle les 3 millions de visiteurs uniques, on est à 850 000 annonces.
Désormais, Paru Vendu est un site d’annonce généraliste multithématique, deuxième sur les petites annonces en France après Le Bon Coin, le troisième en immobilier, et en voiture quasiment le 4ème.

Et sur le business model ?

Notre business model n’est pas du tout sur les particuliers mais sur les professionnels. Nous avons trois sources de revenus. La première, c’est la publicité sur le site. On sait tous que les revenus publicitaires sont en phase décroissante sur le web. Même si les régies publicitaires sont fortes en matière d’imagination, la tendance générale reste que c’est un produit qui baisse. Le deuxième axe de notre business model, ce sont nos partenaires. Ils sont vraiment intégrés dans les petites annonces pour les particuliers. Et puis, les abonnements aux professionnels sont la troisième source de revenus. Sur l’immobilier, par exemple, on commence à 75 euros par mois et sur l’automobile à 150 euros par mois.

Sur le secteur, Le Bon Coin canibalise la concurrence. Quelle est votre stratégie ?

La position du Bon Coin est évidemment importante, mais sur les professionnels, elle n’est pas dominante, loin de là. Donc, il fallait trouver un système pour que le particulier qui vienne sur Paru Vendu puisse trouver ce qu’il cherche, qu’on le mette en relation avec les bons professionnels  et que ces professionnels puissent le traiter dans les meilleurs conditions possibles. On a fait en sorte que les deux se joignent. Le Bon Coin est sur 90 % de petites annonces entre particuliers. Seloger est sur quasiment 100 % de professionnels. Nous nous sommes mis au milieu et ça fonctionne. Nous sommes là pour amener du lead. Pas forcément en quantité mais en qualité. Le Bon Coin est une vitrine mais il y a beaucoup trop de curieux, ce n’est pas qualitatif, nous c’est notre force. Par exemple avec des agents immobiliers partenaires, on leur ramène des coordonnées téléphoniques, on accède aux plannings des agences pour prendre rendez-vous directement avec les conseillers immobiliers. Nous avons facilité la prise de contact et, du coup, il n’y a que des gens intéressés.

Quels sont vos axes de développement ?

Continuer d’être très fort sur la mobilité. On est vraiment multi-support, alors que Le Bon Coin n’est pas sur les tablettes. On fait 15 % de notre audience sur la mobilité aujourd’hui. On va également continuer à proposer nos annonces via des partenaires : on est le site d’annonces du groupe RTL, de Free...Et puis, même si cela peut paraitre paradoxal, on va se concentrer sur le retour du papier ! Le site de Paru Vendu marche tellement bien que nous avons remonté plus de 160 magasines en Province. Cela fonctionne, et c’est rentable.
Propos recueillis par Julien Gagliardi

Read more at http://www.atlantico.fr/decryptage/paruvendu-bon-coin-est-pas-qualitatif-c-est-notre-force-1562823.html#CQDkvoWVTrfc0F8O.99

jeudi 1 mai 2014

Jeudi 01 Mai 2014 - INFORMATIONS SYNDICALES FORCE OUVRIERE : Manifestations dans le Gard



Les UD FO, CGT, FSU, SOLIDAIRES se sont rencontrées et elles ont convenu d'une manifestation départementale (Gard) :


départ de la place des Carmes
à Nîmes à 10h00

avec prises de parole des OS
pour ensuite
se rendre à la
M​aison Carrée
(dislocation)
par le boulevard Gambetta.


 accord du 16/04 pour Solidaires (d'autres OS pourraient se rajouter).

lundi 28 avril 2014

Lundi 28 Avril 2014 - GraphiLine.com : Spir Communication - Un bilan qui annonce des changements

http://www.graphiline.com/article/17729/Spir-Communication---Un-bilan-qui-annonce-des-changements?fb_action_ids=10203923486758306&fb_action_types=og.likes&fb_source=aggregation&fb_aggregation_id=288381481237582

Spir Communication - Un bilan qui annonce des changements

L'entreprise de presse française, Spir Communication, a publié ses résultats du premier trimestre avec une forte baisse des médias généralistes et du secteur de l'imprimerie.


Le par   
Spir Communication a publié ses résultats du premier trimestre et présenté un chiffre d'affaires de 127,3 millions d'euros, en hausse de 1,0% par rapport au premier trimestre 2013.
La première source de revenus du groupe reste la diffusion d’imprimés publicitaires qui progresse de 8,1 %. Le chiffre d'affaires s’élève au premier trimestre à 73,8 millions d’euros. Les performances du réseau commercial en termes de conquêtes de parts de marché sont soulignés par Spir Communication. L’imprimé publicitaire confirme sa pertinence auprès des annonceurs.


La thématique immobilier se porte bien avec un chiffre d’affaires de 18,5 millions, soit une hausse de 4,5 %. Mais avec une baisse de 5,0 % de la composante presse, ce bon résultat provient d’internet qui enregistre une hausse de 12,4 %, traduisant l’amélioration de l’attractivité de la marque Logic-Immo.com, tant pour les annonceurs que pour les internautes, selon Spir Communication.
Côté automobile, le chiffre d’affaires progresse de 0,8 % au premier trimestre 2014. Il s’élève à 11,9 millions d’euros. LaCentrale.fr confirme sa position de site leader tant auprès des professionnels que des internautes.


Dans la continuité du 4e trimestre 2013, le chiffre d’affaires des médias généralistes baisse de 16,3 % pour atteindre 14,4 millions d’euros. Suite à l’arrêt de certaines publications et à la réduction de la périodicité du magazine Top, la composante presse chute de 38,4 % dans un marché particulièrement faible. En revanche, sa composante internet poursuit sa croissance à un rythme soutenu de 14,6 %.

La plus forte baisse vient du secteur de l’imprimerie qui fait une chute de 21,6 % avec un chiffre d’affaires à 8,7 millions. Mais "les adaptations engagées en termes, d’une part, d’optimisation du processus et d’autre part, de moyens de production, se poursuivent" a assuré Spir Communication

Pour le groupe, "le chiffre d’affaires du premier trimestre 2014 montre la bonne performance commerciale de l’ensemble des offres internet ainsi que celle des activités médias thématiques et diffusion d’imprimés publicitaires." Et annonce une accélération de ses transformations "tant au niveau de ses offres commerciales et de son organisation, que de ses coûts."

vendredi 25 avril 2014

Vendredi 25 Avril 2014 - 20 minutes.fr : Vers une sortie de crise à Nice-Matin

 http://www.20minutes.fr/nice/1360305-vers-sortie-crise-nice-matin

Jean Icart, futur PDG du groupe, doit entrer au conseil d'administration ce vendredi

Après de longs mois d'attente, les salariés du groupe Nice-Matin, au bord du redressement judiciaire, sont en passe de voir enfin le bout du tunnel. Le 1er mars, Jean Icart, un entrepreneur et politique niçois de 67 ans, devait pourtant reprendre le groupe de presse (Nice-Matin, Var-Matin et Monaco-Matin), propriété d'Hersant Média. Mais depuis, pour les employés, c'était silence radio. Les choses pourraient finalement bouger ce vendredi. En effet, selon une note de la direction transmise à son personnel, et que 20 Minutes a pu consulter, un conseil d'administration va se réunir pour coopter Jean Icart comme nouvel administrateur. Comme prévu, il sera bien associé au fonds d'investissement suisse GXP Capital, représenté par Gilles Périn, et devrait apporter 2 millions d'euros. Une première étape dans la prise de contrôle du journal par la société Nice-Morning, détenue par l'élu local et enregistrée, au tribunal de commerce de Nice, dans son ancienne permanence de candidat aux dernières élections municipales.

« Pas au point mort »

Toujours selon cette note, « le changement de contrôle sera réalisé avant la fin du mois de mai ». Autrement dit, « pour être actionnaires majoritaires, ils vont apporter 18 millions d'euros sur les 20 promis », résume Gérard Pitocchi, délégué syndical CGT. Contacté, Jean-Icart, le futur PDG, n'a pas souhaité communiquer. Tout juste a-t-il affirmé que « les négociations avancent et que l'affaire n'est pas au point mort ». Reste que le groupe, qui accusait une perte d'exploitation de 6 millions d'euros fin 2013, va subir un plan social : « 147 départs sont prévus dont 25 à la rédaction », affirme un délégué syndical.

 
Jean-Alexis Gallien-Lamarche
Créé le 25/04/2014 à 06h52 - Mis à jour le 25/04/2014 à 06h52


■ « Un patron de presse et pas un politique »

A l'annonce de la reprise du groupe, Jean Icart s'était engagé à démissionner de tous ses mandats politiques. Après les municipales, il ne lui reste plus que son siège de conseiller général. Contacté, le département affirme qu'il n'a pas encore abandonné sa fonction. « L'important, c'est que l'indépendance économique soit assurée et l'indépendance éditoriale acquise », souligne un journaliste. « Il doit devenir patron de presse et pas politique », ajoute un autre.

mardi 15 avril 2014

Mardi 15 Avril 2014 - Observatoire des Journalistes et de l'Information Médiatique - Nice-Matin toujours en suspens


Nice-Matin toujours en suspens

© Droits réserves

Plus aucune date n’est fixée pour la conclusion de la vente de Nice-Matin entre le Groupe Hersant Média et le fonds d’investissement suisse GXP capital. GXP doit apporter en principe 20 millions d’euros et prendre 80% du capital. Prévu initialement fin février, le closing a déjà été repoussé deux fois et ne devrait finalement pas intervenir le 15 avril comme annoncé. Du coup, la plupart des acteurs locaux, le maire de Nice Christian Estrosi en tête, doutent de la conclusion effective de l’opération annoncée fin 2013. Si c’était le cas, Nice-Matin, qui emploie environ un millier de salariés, serait placé en redressement judiciaire. 

jeudi 10 avril 2014

Jeudi 10 Avril 2014 - La Lettre A - Journalistes et Medias - Philippe HERSANT

http://www.lalettrea.fr/journalistes-medias/2014/04/10/philippe-hersant,108017848-BRL


La Lettre A N°1634 du 10/04/2014

Philippe Hersant


Philippe Hersant, président du conseil d'administration du Groupe Hersant média (GHM), entend redevenir le patron opérationnel de toutes ses sociétés dès qu'il sera parvenu à sortir du capital de Nice-Matin. Cette stratégie explique le départ de Denis Berriat, directeur général délégué de France Antilles, et de Jacques Richard, DG de la société personnelle de Philippe Hersant, Editions suisses holding (LLA nº1629). Enfin, le retrait de Dominique Bernard de la direction générale de GHM préfigure une probable mise en sommeil du groupe. L'objectif sous-jacent serait de le rendre non-solvable au cas où les 365 salariés licenciés de son ex-filiale Comareg gagneraient leurs recours aux prud'hommes, dont le jugement est prévu en septembre (LLA nº1617).



mardi 18 mars 2014

Mardi 18 Mars 2014 - INFORMATIONS SYNDICALES FORCE OUVRIERE : SE FAIRE ENTENDRE !!!

Nîmes : 
Départ de la

Maison Carrée à 15h00

pour se rendre en Préfecture.

 https://drive.google.com/file/d/0B_UDL0pm46iRN2xjWWo4U1l6TjA/edit?usp=sharing



mardi 4 mars 2014

Mardi 04 Mars 2014 - CBS News : Naissance de la régie extra-locale Media Outre-Mer


 Les régies GHM (groupe Hersant Media), Régie des Alizés et Média Outremer (groupe La Taille) viennent de se regrouper pour former « la plus importante régie privée spécialisée dans les DOM-TOM » au sein de Media Outre-Mer. Détenu à 60% par le groupe Hersant Media et à 40% par le groupe La Taille, la nouvelle structure est placée sous la présidence de Dominique de La Taille et sous la direction opérationnelle de Marie Daynes qui était jusqu'alors la directrice de la régie Outre Mer Publicité (groupe Hersant Media). Dans sa nouvelle configuration, la régie va désormais gérer les régies extra-locales de plus de 70 éditeurs (presse, TV, affichage, radio, internet...) de Guadeloupe, Martinique, Guyane, Saint Martin, La Réunion, Mayotte, Polynésie et Nouvelle Calédonie.

Le 04/03/2014 à 19:16 par Thierry Wojciak

vendredi 7 février 2014

Vendredi 07 Février 2014 - LES ECHOS : Groupe Hersant Média cède le contrôle de « Nice-Matin »

Associé à un fonds,
l'élu niçois Jean Icart achète le titre.
GHM, l'actuel propriétaire, conserverait
20 % du nouveau holding.

© Droits Réservés
C'est la fin d'un long suspense pour les salariés de « Nice-Matin ». La direction a annoncé hier la prise de contrôle du quotidien régional par l'élu niçois Jean Icart, conseiller général et municipal divers droite, associé à un fonds d'investissement privé européen, spécialisé dans l'immobilier de montagne et les yachts de luxe, dont le nom est tenu secret. C'est une énorme surprise pour les salariés. Un nouveau holding baptisé « Nice Morning », dont Groupe Hersant Média, l'actuel propriétaire du titre, conserverait 20 %, serait créé. «  Un soutien financier de l'ordre de 20 millions d'euros sera apporté au groupe dans les semaines à venir », précise la direction de « Nice-Matin ». Le journal évite ainsi le redressement judiciaire.
A quelques semaines des élections municipales, la nouvelle de la prise de contrôle de « Nice-Matin » ne devrait cependant pas manquer d'attirer l'attention de Christian Estrosi, l'actuel maire de Nice, vice-président de l'UMP, candidat à sa réélection. Car, à soixante-sept ans, son ancien collaborateur Jean Icart fait aujourd'hui campagne contre lui. La perspective de voir le principal journal local tomber entre les mains de l'un de ses opposants n'est certainement pas une bonne nouvelle pour le maire. «  Jean Icart a fait part de sa décision de démissionner de tous ses mandats politiques et de ne pas se présenter à la prochaine élection à la mairie de Nice », affirme néanmoins la direction de « Nice- Matin ». Elu à Nice depuis vingt ans, Jean Icart devait mener une liste commune pour les municipales avec Jacques Peyrat, ancien maire auquel avait succédé Christian Estrosi en 2008. Mais le premier a mis fin à leur alliance fin 2013. Le second aurait appris la nouvelle... en lisant « Nice-Matin ».

128 postes supprimés

Au cours d'un comité d'entreprise extraordinaire, hier, a été présenté un accord entre les salariés et la direction sur un plan social qui prévoit la suppression de 128 postes d'ici à fin 2015, contre 150 réclamés au départ par la direction. Au total, le plan coûterait à lui seul une quinzaine de millions d'euros. Mais le journal a besoin de davantage pour financer ses développements futurs.
De son côté, Philippe Hersant cède un journal de plus et il ne lui reste désormais que le pôle France-Antilles et une participation de 50 % dans le très rentable « Corse-Matin », aux côtés de Bernard Tapie avec qui il était encore récemment coactionnaire de « Nice-Matin » et de « La Provence ». Les deux hommes ont depuis rompu leur alliance, ne restant associés que dans « Corse-Matin », tandis que Bernard Tapie prenait le contrôle de « La Provence ».
Fabienne Schmitt

vendredi 10 janvier 2014

Vendredi 10 Janvier 2014 - LE MONDE / AFP : Bernard Tapie injecte 6 millions d'euros dans La Provence

http://www.lemonde.fr/actualite-medias/article/2014/01/10/bernard-tapie-injecte-6-millions-d-euros-dans-la-provence_4346329_3236.html
  Bernard Tapie injecte
6 millions d'euros
dans La Provence

« Depuis le 8 janvier 2014, GBT (Groupe Bernard Tapie) devient actionnaire majoritaire du groupe La Provence avec 80 % des parts ». Dans un communiqué publié vendredi 10 janvier, Marc Auburtin, président-directeur général du journal, a ainsi confirmé la reprise du journal, assortie d'une augmentation de capital de La Provence d'un montant de six millions d'euros, ainsi que de la sortie intégrale du groupe de Bernard Tapie du capital de Groupe Hersant Médias (GHM).
Les deux parties s'étaient accordées fin décembre sur un partage des titres du groupe Hersant, qui détient la totalité de Nice Matin, tandis que Corse Matin, actuellement détenu à parité, reste une filiale détenue à parts égales par La Provence et Nice Matin« C'est acté et c'est tant mieux. On sait où on va avec un actionnaire qui recapitalise La Provence, chose qui n'a pas été faite par le groupe Hersant Média », a commenté le secrétaire général du comité d'entreprise, Hervé Borello, également délégué Force ouvrière.
« Ma première réaction : un soulagement de sortir de la gestion Hersant, qui n'a jamais mis un sous dans la maison », a déclaré Serge Mercier délégué du Syndicat national des journalistes.

UN CHANGEMENT D'ACTIONNAIRES MAJEUR

Les actionnaires ont également ratifié la nomination, en tant qu'administrateur et président directeur général de La Provence, de Marc Auburtin, qui avait remplacé en décembre Dominique Bernard, démissionnaire. Ils ont aussi nommé deux nouveaux administrateurs : Claire Charbonnel, directrice générale adjointe, et Olivier Mazerolle, directeur général délégué et directeur de la rédaction.

Ce changement d'actionnaires entraîne l'ouverture automatique de la clause de cession, qui permet aux journalistes (La Provence en compte environ 200) de quitter un journal en bénéficiant des conditions d'un licenciement, lorsqu'un changement majeur d'actionnaires intervient. Seules les modalités restent à définir.

Mais, pour le délégué du Syndicat national des journalistes, « c'est beaucoup trop tôt pour dire si l'arrivée de Bernard Tapie est une bonne nouvelle », poursuit-il,« car avec l'ouverture de la clause de cession, un certain nombre de gens vont partir et Bernard Tapie ne s'engage sur aucun remplacement ».

Le Monde.fr avec AFP | 10.01.2014 à 18h57 • Mis à jour le 10.01.2014 à 19h51

mardi 31 décembre 2013

Mardi 31 Décembre 2013 - Meilleurs Voeux


Croyons en l'union de nos forces dans ce même objectif :

NOTRE RÉUSSITE
DANS NOTRE COMBAT COMMUN


Meilleurs Vœux

http://www.avenirpressepublications.blogspot.fr/
Avenir Presse Publications

vendredi 27 décembre 2013

Vendredi 27 Décembre 2013 - INFORMATIONS SYNDICALES FORCE OUVRIERE : Communiqué de Presse : Chiffres du chômage : l’inversion attendra







COMMUNIQUE



Chiffres du chômage : 
l’inversion attendra
 
Les chiffres des demandeurs d’emploi inscrits à Pôle emploi pour le mois de novembre 2013 ne constituent pas une surprise. La catégorie A augmente de 0,5 % sur un mois. Sur un an le nombre de demandeurs d’emploi inscrits sans aucune activité a augmenté de 5,6 %. La situation des chômeurs de longue durée (un an ou plus + 13,4 sur un an) et des seniors (cat. A + 11,7 sur un an) ne cessent de s’aggraver.

Face à la communication pour le moins alambiquée des pouvoirs publics, force est de constater que le nombre de demandeurs d’emploi continue sa dramatique progression. La croissance pour 2014 oscillant vraisemblablement à moins de 1 %, elle ne suffira pas à faire baisser durablement le chômage.

Comme ne cesse de le répéter, Force Ouvrière, c’est bien d’un changement de politique macro-économique dont la France et l’Europe ont besoin.

Relance de la consommation par la hausse des salaires, traitements et pensions, mise en œuvre d’une politique volontariste de grands travaux à l’échelle européenne, réforme fiscale d’ampleur remettant au centre du système l’impôt sur le revenu, fin des politiques de restrictions budgétaires et des coupes dans les dépenses publiques, remise en cause du pacte budgétaire européen, tels sont les ingrédients indispensables pour sortir de la crise. 
 C'est ce que Force Ouvrière rappellera lors du grand meeting qu’elle organisera le 29 janvier 2014 à Paris



Paris, le 27 décembre 2013

Contact :

Stéphane LARDY

Secrétaire Confédéral

dimanche 22 décembre 2013

Dimanche 22 Décembre 2013 : FR3 Côte d'Azur /AFP : Journaux du Groupe Hersant Media : Protocole d'accord trouvé sur le partage entre Hersant et Tapie

 
Côte d'Azur

Journaux du Groupe Hersant Media :
Protocole d'accord trouvé sur le partage
entre Hersant et Tapie


© VALERY HACHE / AFP

Bernard Tapie et la famille Hersant son parvenus à un accord sur le partage des titres de presse de Groupe Hersant Media (GHM), entre la famille Hersant et le groupe Bernard Tapie.

"Nous sommes parvenus à un accord mais le protocole d'accord nous impose une clause de confidentialité" a déclaré à l'AFP M. Bernard, confirmant une information des Echos. Le directeur général de GHM, qui est également PDG du groupe Nice-Matin n'a pas souhaité "faire d'autres commentaires". 

Selon les Echos, le compromis prévoit la prise de contrôle du groupe La Provence par le groupe Bernard Tapie, à hauteur de 80 % tandis que GHM en conserverait 20 %. Le groupe Tapie sortant par ailleurs du capital de GHM. 

Corse Matin, actuellement détenu à parité resterait une filiale détenue à 50/50 par La Provence et Nice Matin, selon les Echos.

Un projet d'accord annoncé mi-juillet prévoyait que la famille Hersant reprenait la main sur le groupe Nice-Matin, ainsi que sur France-Antilles, tandis que Bernard Tapie devenait actionnaire à 100% de La Provence.
Un administrateur-conciliateur avait ensuite été désigné, en octobre, pour trouver une solution au partage des titres de presse de GHM entre la famille Hersant et le groupe Bernard Tapie. 

Le 10 décembre, Marc Auburtin, directeur général délégué du groupe La Provence a été nommé président directeur général en remplacement de M. Bernard, démissionnaire.

Dans un communiqué, le groupe avait par ailleurs annoncé qu'Olivier Mazerolle, actuel directeur de la rédaction du quotidien La Provence, serait nommé administrateur lors d'une assemblée générale des actionnaires en janvier 2014.
  • AFP
  • Publié le 22/12/2013 | 10:00, mis à jour le 22/12/2013 | 10:57

jeudi 12 décembre 2013

Jeudi 12 Décembre 2013 - INFORMATIONS SYNDICALES FORCE OUVRIERE - COMMUNIQUE DE PRESSE SUR LA DESINFORMATION DE LA DIRECTION DE CONFORAMA

https://drive.google.com/file/d/0B_UDL0pm46iRMnYyY1JoN1RidGc/edit?usp=sharing
COMMUNIQUE DE PRESSE
Les magasins Conforama ouverts tous les dimanches
ne paient pas double leurs salariés


Depuis la sortie du rapport Bailly, commandé par le gouvernement, qui vise à transformer la loi sur le repos dominical et à abroger l’amendement DEBRE dit loi « CONFOKEA » autorisant les magasins de l’ameublement à ouvrir le dimanche dans toute la France, le PDG de Conforama M. Thierry GUIBERT multiplie les interventions radiophoniques et plaide en faveur des enseignes de l’ameublement dont l’autorisation d’ouvrir 52 dimanches par an pourrait être remise en cause et qualifie l’abolition de ce privilège de véritable catastrophe pour Conforama.
Que le PDG de Conforama défende le travail du dimanche, ne l’autorise pas pour autant à faire de la désinformation auprès des journalistes, du gouvernement et des Français.
En effet, lors de ces « sorties » médiatiques, il affirme que les salariés de Conforama sont payés double le dimanche.
C’est totalement FAUX, le paiement double ne concerne que les salariés qui travaillent exceptionnellement le dimanche.
Pour les employés d’Ile de France et de Plan de Campagne qui peuvent travailler tous les dimanches cela déclenche une majoration ne dépassant pas 70 € bruts. Nous sommes très loin, pour la grande majorité de ces employés, du paiement double de cette journée.
Il nous explique également que les salariés sont volontaires, alors que tous les salariés de Conforama embauchés en Ile de France et sur Plan de Campagne ont une clause dans leur contrat qui stipule qu’ils peuvent être amenés à travailler le dimanche.
Les salariés qui refusent cette clause sont-ils embauchés par la direction de Conforama ?

Des salariés de Conforama se sont mis en grève le 27 novembre 2013 pour revendiquer notamment une augmentation de salaire de 150 € bruts par mois.
Si les salaires étaient décents chez Conforama, les salariés seraient-ils « volontaires » pour travailler le dimanche ?

Le syndicat FEC-FO de Conforama, veut par ce communiqué, rétablir la vérité sur le soi-disant paiement double du dimanche et sur le soi-disant « volontariat » des salariés.
Saint-Quentin, le 12 décembre 2013.

mardi 3 décembre 2013

Mardi 03 Décembre 2013 - INFORMATIONS SYNDICALES FORCE OUVRIERE - COMMUNIQUE DE PRESSE CONTRE LES TENTATIVES DE TOUS BORDS POUR OFFRIR LE TRAVAIL DU DIMANCHE AU PATRONAT DU COMMERCE



COMMUNIQUE DE PRESSE
BAILLY signe un PACT avec le patronat du Commerce

Depuis 2006, seule, FO est repartie en lutte contre le travail illégal le dimanche. Au fur et à mesure d’autres se sont greffés à notre action. Jusqu’à aujourd’hui, FO a démontré que les plus grandes enseignes du commerce faisaient travailler illégalement des salariés le dimanche. Ces actions étaient menées en lieu et place des pouvoirs publics, silencieux en la matière (sauf quelques exceptions). En parallèle, Le lobbying patronal aura trouvé des oreilles parlementaires… 

2008, Isabelle DEBRE, Sénatrice, propose un amendement à la loi Chatel sur la consommation et rend légal le travail illégal dans le secteur de l’ameublement. Certains appellent cet amendement CONFOKEA.

2009, Richard MALLIE, Député, propose une loi pour finir de rendre légal ce qui est illégal en créant le PUCE et de nouvelles règles pour les zones touristiques. C’est la quasi-totalité des grandes enseignes condamnées pour travail illégal le dimanche qui se frottent les mains.

2013, la loi MALLIE n’étant pas encore assez efficace, le rapport BAILLY propose d’augmenter les possibilités de rendre légal ce qui est illégal et en rajoute une couche :
De 5 dimanches, il propose de passer à 12 dont cinq à la discrétion du patron. Aucun volontariat n’est proposé, donc le salarié non volontaire pourra sûrement être viré.
• Il propose de faire disparaître les PUCE et les ZONES TOURISTIQUES par le PACC et le PACT avec des possibilités plus importantes d’ouvrir des magasins le dimanche, en modifiant les règles de délimitation. Il suffit de 20 000 m2 de zone commerciale pour repartir avec son PACC (une grande surface d’ameublement ou de bricolage les couvre largement).
• Les salariés des TPE ne seraient plus que des salariés de seconde zone, car ils seraient exclus des majorations obligatoires. On règle les distorsions de concurrence entre les entreprises par la discrimination entre les salariés.
• La remise en cause des textes nationaux (code du travail, conventions collectives) par des accords dans les territoires, sur les sites et/ou d’entreprises… 

Comme le disait JAURES : « Quand les hommes ne peuvent plus changer les choses, ils changent les mots ». Dans ce cas tout est une question de volonté. Nous allons continuer d’analyser l’impact d’une telle proposition et en particulier le risque sur les emplois CDI – TEMPS PLEIN de la semaine et dans les magasins qui n’auront pas la force d’ouvrir un 7ème jour.

TOUS les Parlementaires depuis trois législatures et les deux derniers Présidents de la République ont été régulièrement informés par FO, aux moyens de différents courriers sur les problèmes engendrés par l’amendement DEBRE et la loi MALLIE.

Aujourd’hui, la solution proposée est pire, FO continuera à informer les représentants de la République une et indivisible de l’impact anti-démocratique de cette proposition. C’est par l’appel à la grève des employés du Commerce, le 23 mai 1869, et par la constitution de syndicats prémices de la FEC FO, que 37 ans plus tard fut obtenu le repos dominical en 1906, qui permit de ratifier la convention 106 de l’OIT en 1971. C’est en 5 ans, que les patrons voudraient anéantir ce droit avec l’aide de Parlementaires peu regardant, tels que Mme DEBRE, M. MALLIE et ceux qui ont voté les textes. Qui, en connaissance de cause, portera un projet de loi qui finirait d’anéantir le REPOS HEBDOMADAIRE COMMUN ?

FO demande le respect de la convention 106 de l’OIT et de l’article L.3132-3 du Code du Travail qui dit : « Dans l'intérêt des salariés, le repos hebdomadaire est donné le dimanche. »

Paris, le 3 décembre 2013

jeudi 21 novembre 2013

Jeudi 21 Novembre 2013 - DECLARATION DE LA COMMISSION EXECUTIVE CONFEDERALE FORCE OUVRIERE SUR LA LOI SCELERATE SUR LES RETRAITES



DECLARATION DE LA COMMISSION
EXECUTIVE CONFEDERALE



Augmentation du nombre de plans sociaux et du chômage, baisse du pouvoir d’achat, accroissement de la pauvreté, remise en cause du service public républicain, recul de l’âge du départ en retraite marquent la situation actuelle et le mécontentement des salariés, actifs, chômeurs et retraités.



Dans ce contexte, le rôle du syndicalisme libre et indépendant est de représenter et défendre les intérêts matériels et moraux des salariés, par la négociation comme par l’action.



Pour la Commission Exécutive de FORCE OUVRIERE, il est prioritaire de rompre avec la logique d’austérité suicidaire socialement, économiquement et démocratiquement découlant du Pacte Budgétaire Européen. On ne guérit pas les effets sans s’attaquer aux causes.



Il en est de même en matière de lutte contre le racisme, la xénophobie et l’antisémitisme, lutte consubstantielle au syndicalisme libre et indépendant.



Sans remise en cause de la politique économique menée au plan européen et national, faite de rigidité économique et de flexibilité sociale, cette lutte ne serait que de la communication politicienne.



Dans ce contexte et sans s’immiscer dans les campagnes politiques du 1er semestre 2014, la Commission Exécutive de FORCE OUVRIERE soutient la manifestation devant l’Assemblée Nationale, le 26 novembre, et les initiatives départementales contre le projet de loi sur les retraites que FORCE OUVRIERE rejette.



Elle décide :



  • De demander à ses structures de développer des réunions et assemblées générales afin de dresser les revendications et d’alimenter le rapport de force, la Commission Exécutive étant mandatée pour décider de toute action, y compris la grève ;



  • Grand Meeting National à Paris le mercredi 29 janvier 2014.



Pour la Commission Exécutive toute action interprofessionnelle aujourd’hui nécessaire, compte tenu de la situation sociale tendue, doit porter sur l’augmentation des salaires, la défense de l’emploi, le service public républicain, contre l’austérité, la loi sur les retraites et la loi sur la sécurisation de l’emploi issue de l’ANI du 11 janvier.



Pour sa part, la Commission Exécutive déclare que la confédération FORCE OUVRIERE est prête à toute initiative sur ces bases.



Adoptée à l’unanimité

Paris, le 21 novembre 2013


mercredi 6 novembre 2013

Mercredi 06 Novembre 2013 - Réactions dans la Presse suite à la Conciliation

http://www.jeanmarcmorandini.com/article-312194-des-ex-salaries-de-paru-vendu-assignent-hersant-media-aux-prud-hommes.html

Des ex-salariés de Paru Vendu assignent Hersant Média aux prud'hommes 

Les Prud'hommes de Lyon examineront le 30 septembre 2014 le dossier opposant des ex-salariés de Comareg, l'éditeur du journal gratuit d'annonces "Paru Vendu" liquidé fin 2011 et d'Hebdoprint à leur ancien employeur, Groupe Hersant Médias (GHM), a-t-on appris mardi auprès de leur avocat.
Ces quelque 356 anciens salariés de Comareg et d'Hebdoprint contestent la validité de leur licenciement et réclament des dommages-intérêts à GHM, propriétaire des deux sociétés liquidées.
Une audience de conciliation, qui s'est tenue mardi, n'a pas abouti et le tribunal a donc fixé une audience de jugement au 30 septembre prochain, a expliqué à l'AFP Me Gilles Bauer, défenseur des licenciés de Hebdoprint.
Selon Jean-Paul Fabre, ex-secrétaire du Comité d'hygiène, de sécurité et des conditions de travail(CHSCT) de Hebdoprint, les 217 anciens salariés de la Comareg et les 139 de Hebdoprint font valoir leur situation de "coemploi", puisque GHM "intervenait directement dans les affaires de ses filiales".
Selon Me Bauer, GHM se comportait donc "comme un coemployeur" et avait par conséquent "l'obligation de conserver" ses salariés - ou de les licencier en respectant les critères légaux.
Les 356 requérants contestent en outre la cause de leur éviction. Les difficultés économiques du pôle presse gratuite de GHM avaient conduit en novembre 2011 à la liquidation judiciaire des deux entités, prélude aux licenciements. 


http://rhone-alpes.france3.fr/2013/11/06/le-groupe-hersant-assigne-aux-prud-hommes-par-les-ex-salaries-de-paru-vendu-352415.html

Les ex-salariés de "Paru-vendu" assignent le groupe Hersant aux Prud'hommes

Les 356 salariés licenciés de Comareg et Hebdoprint liquidés fin 2011 vont assigner aux Prud'hommes le groupe Hersant Médias pour licenciement abusif. Ces ex-salariés travaillaient pour "Paru-vendu". La conciliation qui s'est tenue hier n'a pas abouti, l'audience est donc fixée au 30 septembre 2014.

Les salariés de "Paru -vendu" lors d'une manifestation à Paris en Mars 2012
Les salariés de "Paru -vendu" lors d'une manifestation à Paris en Mars 2012
Les Prud'hommes de Lyon examineront le 30 septembre 2014 le dossier opposant des ex-salariés de Comareg, l'éditeur du journal gratuit d'annonces "Paru Vendu" liquidé fin 2011 et d'Hebdoprint à leur ancien employeur, Groupe Hersant Médias (GHM), selon leur  avocat,Me Gilbert Bauer .

Ces quelque 356 anciens salariés de Comareg et d'Hebdoprint contestent la validité de leur licenciement et réclament des dommages-intérêts à GHM, propriétaire des deux sociétés liquidées. Une audience de conciliation, qui s'est tenue mardi, n'a pas abouti et le tribunal a donc fixé une audience de jugement au 30 septembre prochain.

Selon Jean-Paul Fabre, ex-secrétaire du Comité d'hygiène, de sécurité et des conditions de travail(CHSCT) de Hebdoprint, les 217 anciens salariés de la Comareg et les 139 de Hebdoprint font valoir leur situation de "coemploi", puisque GHM "intervenait directement dans les affaires de ses filiales". Selon Me Bauer, GHM se comportait donc "comme un "coemployeur" et avait par conséquent "l'obligation de conserver" ses salariés - ou de les licencier en respectant les critères légaux.

Les 356 requérants contestent en outre la cause de leur éviction. Les difficultés économiques du pôle presse gratuite de GHM avaient conduit en novembre 2011 à la liquidation judiciaire des deux entités, prélude aux licenciements.

Par Philippe Bette
Publié le 06/11/2013 | 08:45, mis à jour le 06/11/2013 | 09:34

 
http://www.lyonpremiere.com/Des-ex-salaries-de-Paru-Vendu-assignent-Hersant-Media-aux-prud-hommes_a2960.html

Des ex-salariés de Paru Vendu assignent Hersant Média aux prud'hommes

Mardi 5 Novembre 2013


Les Prud'hommes de Lyon examineront le 30 septembre 2014 le dossier opposant des ex-salariés de Comareg, l'éditeur du
journal gratuit d'annonces Paru Vendu liquidé fin 2011, et d'Hebdoprint, à leur ancien employeur, Groupe Hersant Médias.
 
Ces quelque 356 anciens salariés de Comareg et d'Hebdoprint contestent la validité de leur licenciement et réclament des dommages-intérêts à GHM, propriétaire des deux sociétés liquidées.
 
Une audience de conciliation, qui s'est tenue ce mardi, n'a pas abouti et le tribunal a donc fixé une audience de jugement au 30 septembre prochain. Les 217 anciens salariés de la Comareg et les 139 de Hebdoprint font valoir leur situation de "co-emploi", puisque GHM "intervenait directement dans les affaires de ses filiales".
 
Les 356 requérants contestent en outre la cause de leur éviction. Les difficultés économiques du pôle presse gratuite de GHM avaient conduit en novembre 2011 à la liquidation judiciaire des deux entités, prélude aux licenciements.

Avec AFP


 





Paru Vendu : les prud’hommes régleront le contentieux entre Hersant et les anciens salariés

Ce mardi, une audience de conciliation avait lieu entre les 356 ex-salariés de Comareg et Hebdoprint et leur ancien employeur.

Et le Groupe Hersant Médias ne les a pas convaincu. La justice se saisira alors du dossier avec une audience des prud'hommes de Lyon le 30 septembre 2014. Ces derniers s'exprimeront sur la validité du licenciement des anciens salariés de l'éditeur du journal gratuit Paru Vendu.

Selon les anciens salariés, GHM, propriétaire des deux sociétés liquidées, avait pour obligation de les conserver ou bien de les licencier en respectant les critères légaux après la fin de Paru Vendu en 2011. L'avocat des ex-salariés d'Hebdoprint, Me Bauer, dans des propos relayés par l'AFP, met également en cause la "mauvaise gestion" de GHM qui absorbait les profits de Comareg et Hebdoprint sans les réinvestir pour préparer "le passage au numérique".

Pour rappel, la liquidation de Paru Vendu, journal gratuit d'annonces, avait laissé 1650 salariés sur le carreau en 2011. Trois repreneurs potentiels avaient fait preuve d'intérêt à l'époque mais l'un s'était retiré et les deux autres avaient été jugés non recevables par l'administrateur judiciaire.

 

http://www.tahiti-infos.com/Des-ex-salaries-de-Paru-Vendu-assignent-Hersant-Media-aux-prud-hommes-le-30-septembre_a87293.html?com

Des ex-salariés de Paru Vendu assignent Hersant Média aux prud'hommes
le 30 septembre


Des ex-salariés de Paru Vendu assignent Hersant Média aux prud'hommes le 30 septembre
LYON, 5 novembre 2013 (AFP) - Les Prud'hommes de Lyon examineront le 30 septembre 2014 le dossier opposant des ex-salariés de Comareg, l'éditeur du journal gratuit d'annonces Paru Vendu liquidé fin 2011, et d'Hebdoprint, à leur ancien employeur, Groupe Hersant Médias (GHM), a-t-on appris mardi auprès de leur avocat.

Ces quelque 356 anciens salariés de Comareg et d'Hebdoprint contestent la validité de leur licenciement et réclament des dommages-intérêts à GHM, propriétaire des deux sociétés liquidées.

Une audience de conciliation, qui s'est tenue mardi, n'a pas abouti et le tribunal a donc fixé une audience de jugement au 30 septembre prochain, a expliqué à l'AFP Me Gilles Bauer, défenseur des licenciés de Hebdoprint.

Selon Jean-Paul Fabre, ex-secrétaire du CHSCT de Hebdoprint, les 217 anciens salariés de la Comareg et les 139 de Hebdoprint font valoir leur situation de "co-emploi", puisque GHM "intervenait directement dans les affaires de ses filiales".

Selon Me Bauer, GHM se comportait donc "comme un co-employeur" et avait par conséquent "l'obligation de conserver" ses salariés - ou de les licencier en respectant les critères légaux.

Les 356 requérants contestent en outre la cause de leur éviction. Les difficultés économiques du pôle presse gratuite de GHM avaient conduit en novembre 2011 à la liquidation judiciaire des deux entités, prélude aux licenciements.

Rédigé par () le Mardi 5 Novembre 2013 à 07:52