mardi 13 décembre 2011

Le directeur général de GHM retenu à Reims


Droits réservés

Article : L'Union


Publié le mardi 13 décembre 2011 à 12H55


REIMS (Marne). Dominique Bernard, directeur général du Groupe Hersant Média (GHM), est actuellement retenu à Reims au siège social du journal l'union/L'Ardennais par 25 salariés d'HebdoPrint/Comareg. En visite à Reims pour établir le "plan d'action 2012" des journaux du pôle Champagne-Ardenne, Dominique Bernard a accepté de recevoir ce matin les salariés d'Hebdoprint venus à sa rencontre.
Le 5 novembre dernier, l'imprimerie Hebdoprint de Tinqueux qui compte 150 salariés, a été liquidée avec la Comareg, société éditrice de l'hebdo de petites annonces Paru Vendu (groupe GHM). Selon des représentants syndicaux de la CFTC présents sur place, "les salariés ne parviennent à établir aucun contact avec le mandataire à Lyon", ils n'auraient pas reçu de lettre de licenciement et attendent des réponses à leurs nombreuses interrogations.
Ils veulent que le directeur général profite de son passage à Reims pour joindre en direct et par téléphone Philippe Hersant, président du directoire de GHM, ce a quoi se refuserait Dominique Bernard. Face à cette situation de blocage, ils refusent de le laisser sortir depuis la fin de la matinée.
Les Hebdoprint multiplient les actions pour se faire entendre. Ils occupent leur usine, ont mené une opération escargot et ont pacifiquement pris le contrôle de la radio Champagne FM, propriété du Groupe Hersant Media, mi-novembre, pour lire un communiqué.

FLASH INFO Europe1

Le DG de Hersant retenu au siège de l'Union

Par Europe1.fr avec AFP
Publié le 13 décembre 2011 à 13h24 Mis à jour le 13 décembre 2011 à 13h24
Le directeur général du Groupe Hersant Média, Dominique Bernard, était retenu mardi au siège du journal l'Union à Reims par des salariés de l'imprimerie Hebdo Print et de la société de presse Comareg du pôle d'annonces gratuites de GHM, a-t-on appris de sources concordantes. Selon des sources syndicales et des témoins, une vingtaine de salariés exigent de Dominique Bernard qu'il appelle au téléphone Philippe Hersant, le président de GHM, pour négocier des primes extra-légales de licenciement après la liquidation d'Hebdo Print et Comareg, le 2 novembre.
Le mouvement, commencé vers 11 heures, était toujours en cours à la mi-journée, Dominique Bernard refusant d'appeler M. Hersant sous la contrainte. Dominique Bernard se trouvait au siège de l'Union pour une réunion de travail budgétaire du Pôle Cap (presse Champagne Ardenne Picardie) de GHM n'ayant rien à voir avec les questions d'Hebdo Print et de la Comareg.

FRANCE 3 - Info Champagne-Ardenne - HEBDOPRINT - 16h19

http://champagne-ardenne.france3.fr/info/le-numero-1-du-groupe-hersant-media-sequestre--71653426.html#.Tudwqo2VFwQ.google


Publié le 13/12/2011 | 17:07 par FRANCE 3 Info Champagne-Ardenne

Le numéro 1 du groupe Hersant-Média "libéré"

Par GS  
Des ex-salariés de la Comareg l'ont retenu quelques heures dans les locaux du journal L'Union au centre-ville de Reims
Depuis mardi matin, Dominique Bernard, le directeur général du groupe Hersant-Media était retenu par plusieurs dizaines d'ex salariés de la Comareg (ParuVendu) à Reims. Cette réunion "forcée" s'est déroulé au quatrième étage des locaux de l'Union rue de Talleyrand, à Reims 
Les revendications des salariés de la Comareg portent sur l'obtention de primes extra-légales de licenciement. Les négociations semblent pour le moins difficiles et toujours bloquées mardi en milieu d'après-midi. La Comareg a été liquidée le 3 novembre dernier, entrainant le licenciement de 1650 personnes. 

lundi 12 décembre 2011

SODIE n'était pas présent à la réunion (ça commence bien!), nous n'avons pas leur adresse sur AVIGNON.

Bonsoir,

Voici quelques infos suite à la réunion CSP à POLE EMPLOI. Pour les personnes qui dépendent du VAUCLUSE

Nous allons être bien suivi par le cabinet SODIE sous la tutelle de POLE EMPLOI alors que COMAREG sera suivi par BPI !.

SODIE n'était pas présent à la réunion (ça commence bien!), nous n'avons pas leur adresse sur AVIGNON.

BPI était présent .Il est peut-être négociable d'être suivi par BPI si on habite près de leur bureau qui est vers CAP SUP (à voir avec le liquidateur).

On nous a conseillé de contacter rapidement SODIE pour une prise de rendez-vous. POLE EMPLOI ne nous convoquera normalement pas avant début janvier.

Administrativement nous devrions recevoir un courrier avec des infos pour se connecter sur le site de POLE EMPLOI et la date d'un premier rendez-vous.

Si l'on à rien d'ici début janvier, contacter le liquidateur pour savoir si le dossier est bien parti, puis contacter pôle emploi.

Un numéro direct info CSP VAUCLUSE est disponible le 04 90 48 08 64. ou par internet crp.avignon@pole-emploi.fr

Newsletter Caractère 12 décembre 2011




Les investissements publicitaires se sont maintenus en octobre

Selon le baromètre de Kantar Media, ils ont progressé de 6,2%.
Depuis le début de l’année, le marché plurimédia a enregistré une hausse de 6,5% des investissements publicitaires bruts. En dépit d’une conjoncture moins favorable, le mois d’octobre s’inscrit dans cette tendance, en ligne avec la rentrée, avec une croissance de 6,2%. Tous les médias enregistrent des évolutions positives en valeur.
Et particulièrement Internet, qui voit ses recettes brutes progresser de 16,5% après des mois de ralentissement. Le Web contribue pour un tiers à la hausse du marché global. En cumul, il affiche une croissance à deux chiffres de plus de 11%. Derrière le Net, la radio enregistre la deuxième plus forte augmentation, en octobre, avec des recettes en hausse de 8,6%. Les stations généralistes (+10,6%) progressent plus vite
que les musicales (+4,8%), ces dernières accusant une baisse de volume de 4,3%. En cumul, les recettes brutes progressent de 7,3%.
Dans la presse, l’évolution des recettes brutes est restée positive
(+4,5%) mais néanmoins inférieure à la moyenne plurimédia. Les magazines enregistrent un ralentissement de croissance en valeur (+1,6%) et une pagination encore en retrait de 4%. Pourtant les secteurs significatifs comme la mode (+11,7%) ou la distribution (+18%) progressent sur ce segment, mais le repli des établissements financiers (-8,1%) et de la grande consommation (
-12%) le pénalise.
Les quotidiens nationaux affichent une croissance à deux chiffres en valeur (+11,4%) mais une pagination en léger repli de 1,7%. Parmi les annonceurs les plus dynamiques sur ce créneau, les constructeurs automobiles (+24,9%), les établissements financiers (+37,1%) et les professionnels de la mode (+27,6%). En cumul, les recettes de la presse se situent à +4,6%.
La télévision enregistre une croissance modeste en octobre (+2,6%), le repli des chaînes nationales en valeur (
-6%) et en volume (-8,7%) continuant à pénaliser ce média. À l’inverse, les chaînes de la TNT poursuivent leur forte ascension (+24,5%). En cumul, la télévision termine le mois sur une croissance supérieure à la moyenne (+7,5%).
En octobre, la croissance de la publicité extérieure (+8,4%) lui permet de stabiliser ses recettes brutes en cumul (
-0,2%). Enfin, le cinéma stabilise tout juste ses recettes brutes (+0,6%), mais, en cumul, il reste des plus solides avec une hausse de 42,2%.
Réponse du Préfet des Bouches du Rhône 
reçue ce jour le 12 décembre
à nos courriers des 15 et 22 novembre

dimanche 11 décembre 2011

Copie de l’intervention du député du Gard Jean-Marc ROUBAUD (UMP)
auprès du Ministre Xavier BERTRAND le 06 décembre 2011
suite à la Table Ronde tenue en Préfecture du Gard le 05 décembre 2011
à la demande du Président du Conseil Général (PS)





Midi-Libre-11DECEMBRE2011


samedi 10 décembre 2011

L’héritier Hersant n'a pas réussi à se faire un prénom

Nicolas Beau - Marianne | Samedi 10 Décembre 2011 à 16:01 | Lu 3683 fois

Dur, dur d'être « fils de...» et ce n'est pas donné à tout le monde. Formé par un père distant et autoritaire, le pâle Philippe Hersant ne saura guère s’imposer dans un monde où papa règne sur un empire médiatique.



Lors d’une des rares interviews que Robert Hersant ait accordée de son vivant, « le Papivore », qui régna pendant un quart de siècle sur une grande partie de la presse écrite, aura ce mot cruel : « Quant à ma succession, s’il y en a une, les solutions se trouveront d’elles-mêmes. Je ne me sens pas responsable, au-delà de ma propre capacité à exercer mon autorité. »

Brutal, le testament était prémonitoire. Le fils aîné de Robert, Jacques, brillant et convivial, disparaît prématurément en 1992. Le second, Michel, dit « Mick », s’intéresse plus au golf qu’à la presse. Le troisième, Philippe, sera l’héritier par défaut. « RH » aurait même confié à une proche : « J’ai tout réussi dans ma vie, mais je n’ai pas été totalement victorieux dans ma famille. Le reste n’a pas d’importance » (1).

Formé par un père distant et autoritaire, le pâle Philippe ne saura guère s’imposer. « Je vous envoie mon fils », disait Robert. Le présumé successeur se formera, sur le tas, dans les principaux journaux du groupe. Il apparaît figé, comme tétanisé par l’ombre du paternel.

Au sein de ce groupe extrêmement cloisonné, les grands féodaux, tout à leurs luttes intestines, ne lui laissent guère d’espace. Christian Grimaldi, un Corse sec et têtu, seul à connaître les arcanes financiers du groupe ; Yves de Chaisemartin, dit « Chaise », l’exécuteur testamentaire (et actionnaire de Marianne) ; Philippe Villin, un inspecteur des finances brillant, mais pisse-froid ; en charge du Figaro ; Cyril Duval, qui dirige Publi-Print, 2,5 milliards de francs à l’époque pour les seuls suppléments du Figaro ; et enfin Jean Miot, l’interlocuteur du syndicat CGT du livre et grand amateur de charcutaille lyonnaise.
 
Après la disparition de Robert Hersant en 1996, Serge Dassault a dû verser un joli pactole pour racheter la Socpresse (Le Figaro, France Soir, Le Progrès et quelques autres). Soit probablement 1,3 milliard d’euros, qu’encaissa le clan Hersant. Restent, pour Philippe, quelques miettes de l’empire ainsi qu’un gros paquet d’argent, que cet exilé fiscal a mis à l’abri à Genève. Mais, même cet héritage de presse passé à la lessiveuse, Philippe Hersant n’a pas su le préserver.

C’est le 2 décembre dernier à Bercy, face à des banquiers furieux, qu’ont été soldés les derniers débris du groupe patiemment constitué par Robert Hersant. Longtemps convoité par « RH », le groupe belge Rossel, propriétaire notamment du Soirà Bruxelles, prend donc une jolie revanche et obtient tout ou partie du capital de quelques beaux fleurons de la presse régionale, propriété de GHM (Groupe Hersant Médias) (2).
 
Un groupe de Bruxelles débarquant à Nice, à Marseille et jusqu’en Corse, voila une histoire belge qui pourrait bien signer la deuxième mort de Robert Hersant.

Et encore le troc, négocié entre GMH et Rossel, a été obtenu à l’arraché. Pour sauver les meubles, le fils du Papivore, plombé par une dette de 215 millions d’euros, a dû faire, cet été, le siège de Nicolas Sarkozy, histoire d’obtenir des banques la renonciation à 100 millions, et ramener peut-être à seulement 40 ou 50 millions d’euros sa dette. Pour mieux faire passer la pilule à l’Elysée, Philippe Hersant convoquait, fin août, les patrons des rédactions de plusieurs journaux. Et il leur recommandait de ne pas se montrer critiques avec l’Elysée. Seul résiste Jacques Tillier, le directeur du pôle CAP du groupe (l’Union-l’Ardennaiset l’Est éclair) à Troyes, dont François Baroin, patron de Bercy et ami de Philippe Hersant, est le maire.
 
Un exilé fiscal mendiant l’argent de l’Etat ! On est loin de l’époque glorieuse où Robert Hersant bénéficiait d’une place d’honneur le jour du mariage de la fille de Jacques et Bernadette Chirac, Claude. Où « RH » comptait dans sa rédaction jusqu’à 13 députés, anciens ministres ou autres éminences. Où enfin, il convoyait dans un Boeing ses principaux annonceurs vers le yacht qu’il possédait aux Caraïbes.

Triste bilan qui ressemble fort à une dilapidation d’héritage. Comment en est-on arrivé là ? Il faudra attendre 2007, onze ans après la disparition de Robert, pour assister à la seule action d’éclat que Philippe Hersant peut revendiquer : le rachat à Lagardère pour 160 millions d’euros de plusieurs grands journaux du sud de la France, dont Nice-Matinet la Provence. Cet investissement est possible grâce aux profits dégagés par les petites annonces gratuites d’une des filiales, la Comareg. Le Groupe Hersant Medias (GHM) était encore prospère, les financiers se pressaient à sa porte. Résultat, l’endettement finança cette grosse acquisition, une bonne vieille recette que le fiston avait apprise de son père.
 
Hélas, le tsunami du Net balaie les petites annonces papier, sans que les équipes de Philippe Hersant anticipent le virage. La Comareg s’effondre lentement, mais sûrement. Le 2 novembre dernier, Philippe Hersant vient de laisser sur le tapis les 1 500 salariés des gratuits de la Comareg, qui s’ajoutent à autant de départs depuis quinze mois. Soit le plus gros plan social de ces dernières années. Avec, à la clé, quelque 150 millions d’euros d’indemnités à la charge de l’Etat.

Que reste-t-il, quinze ans après la mort du patriarche, des amours de Robert Hersant et de la presse écrite ? La petite cagnotte de France-Antilles, constituée dès 1981 par le fondateur du groupe, lorsque la gauche arrive au pouvoir, peut arrondir les fins de mois des héritiers. Les titres outre-mer (Guyane, Guadeloupe, Martinique) sont en effet des rentes de situation. Pour ne pas mourir d’ennui à Genève, où il réside, en assistant aux concours hippiques de son épouse, ce Philippe Hersant a investi dans quelques modestes titres helvètes affaiblis par des successions difficiles : le journal vaudois la Côteà Nyon, deux quotidiens dans le canton de Neuchâtel, l’Expresset l’Impartialet enfin le Nouvellisteà Sion – soit tout de même 100 millions de francs suisses de chiffre d’affaires et 10 % de rentabilité. Un empire, si l’on peut dire… à la taille d’un canton suisse.

(1) Cette citation provient d’une enquête du Nouvel Economiste, 18 août 1995
(2) Rossel acquiert la totalité de l’Union-l’Ardennais, l’Aisne nouvelle, l’Est éclair.Et prend 50 % de Nice-Matin, Var-Matin, Corse-Matin, la Provence.

Un superbe golf, vestige du passé

Ultime humiliation, les banques créancières ont exigé que Philippe Hersant rembourse les 14 millions d’euros d’avances consenties par GHM au superbe golf d’Ivry-la-Bataille en Normandie, à deux pas de la maison familiale (dont 3,5 millions pour le seul club houseen 2008). Cerné de séquoias immenses, d’espèces rares et d’étangs peuplés de cygnes, le parc était photographié à la belle époque dans l’ancien journal du groupe, l’Ami des jardins.
De tels investissements golfiques ne sont pas une nécessité absolue pour un groupe de presse qui perd de l’argent. Mais quel affront tout de même à la mémoire du grand Robert ! Personne n’aurait osé lui demander des comptes sur son cher terrain de golf, la seule passion qu’on lui connaissait avec la presse et… ses enfants.
Lettre recue le samedi 10 décembre 2011 
alors que la limite pour la quasi totalité du personnel est le lundi 12 décembre 
pour remettre son dossier CSP

vendredi 9 décembre 2011

Mutuelle - WALCZAK

Message de la part du Mandataire Judiciaire :

Bonjour,

C’est avec un grand soulagement que je peux vous annoncer que le Directeur des Assurances Collectives de Generali nous a confirmé hier dans la soirée qu’il acceptait de maintenir les contrats Frais de santé et Prévoyance pendant 9 mois pour l’ensemble des collaboratrices, collaborateurs.

Chaque personne recevra dans le courant de la semaine prochaine à son domicile une information complète sur le fonctionnement et les modalités de portabilité.

Je vous remercie de bien vouloir communiquer en votre qualité de représentants du personnel cette information aux collaboratrices et collaborateurs.

Nous informons aussi les différentes cellules de reclassement.

Respectueusement

Bruno Walczak

Courrier de Me Walczak dépôt des offres


jeudi 8 décembre 2011

mercredi 7 décembre 2011

MIDI LIBRE 07/12/11 - Une réunion en préfecture pour sauver les salariés d'Hebdoprint

Une réunion en préfecture pour sauver les salariés d'Hebdoprint

KATHY HANIN
07/12/2011, 06 h 00
Lundi, le préfet a animé une une table ronde sur le sort des 160 licenciés.
Lundi, le préfet a animé une une table ronde sur le sort des 160 licenciés. (Photo A. DIMOU)
Que vont devenir les 80 personnes licenciées de l'imprimerie Hebdoprint aux Angles et les 80 autres du journal gratuit Paru Vendu, liquidé lui aussi, à Nîmes ? Lundi, une table ronde organisée par Hugues Bousiges, le préfet du Gard, a réuni des représentants des salariés et de la direction, des élus parmi lesquels le président du conseil général Damien Alary, les conseillers généraux Patrice Prat et Alexandre Pissas, les députés William Dumas et Jean-Marc Roubaud, le maire des Angles Jean-Louis Banino, et les Direccte (1) du Gard et du Vaucluse. "Le Gard est le département le plus touché par la liquidation judiciaire de la Comareg qui éditait les 'Paru Vendu' et d'Hebdoprint, la branche presse gratuite du groupe Hersant Média. Si l'on compte les salariés licenciés depuis le début de l'année et les emplois induits, on arrive à 273 personnes sur le carreau", explique Jean-Paul Fabre, le représentant du personnel FO d'Hebdoprint.
À l'issue d'une réunion de deux heures trente, peu de choses concrètes ont émergé si ce n'est l'assurance d'un prochain rendez-vous dans dix jours. "Le préfet veut que les Direccte analysent le profil de tous salariés pour travailler efficacement sur leur reclassement et il a demandé la convocation du liquidateur judiciaire", précise Jean-Paul Fabre. Concernant les projets d'une reprise partielle ou totale de l'activité des journaux gratuits et de l'imprimerie, plusieurs options seraient à l'étude, dont celle de la création d'une coopérative par d'ex-salariés d'Hebdoprint. "Sachant qu'il faut au moins 300 000 € pour relancer un 'Paru Vendu'".
Enfin sur l'épineuse question des supra-légales, le député Jean-Marc Roubaud a promis de "demander au ministre du Travail Xavier Bertrand de s'impliquer directement dans ce dossier car le problème reste entier".

Les Elus Gardois à la rencontre des Paru Vendu

Les élus gardois rencontrent les ex-salariés de Paru Vendu - wideo
Plus sur http://wizdeo.com/s/telemiroir - 160 employés gardois licenciés de Paru Vendu sont toujours en attente, le président du conseil général du Gard tire la sonnette d'alarme.